Coupe Stanley

CRITIQUE DE «SHINING» http://www.otakia.com/wp-content/uploads/V_1/article_3451/6240.jpg Fiche technique Titre du film : Shining Nom du réalisateur : Stanley Kubrick Directeur: Roy Walker Date de sortie du film : 1980 Durée du film : 146 Minutes (version intégrale) Musique de :Rachel Elcino et Wendy Carlos A quel public s'adresse l'histoire : + de 12 ans Petites indications : Film en noir et blanc et sous-titré Noms des principaux acteurs : -Jack Nicholson, -Shelley

INTRODUCTION Titre : FULL METAL JACKET (1987) Réalisateur : Stanley Kubrick Nationalité : Américain Britannique Genre : Film de Guerre Film basé sur le roman Le Merdier et sur des mémoires de guerre. Choix de l’œuvre : J'ai choisie ce film car en troisième l'on étudie le XXe siècle, siècle de guerre ( 1ere guerre mondial, seconde guerre mondial, guerre froide... ) et ce film est en rapport avec cela, en effet ce film retrace le parcours de jeunes marines pendant la guerre du Vietnam. J'ai

 DOSSIER : BARRY LYNDON Recherches et Analyses Stanley KUBRICK Stanley Kubrick est un réalisateur, photographe, scénariste et producteur américain né le 26 juillet 1928 dans la ville de New York à Manhattan, et est mort le 7 mars 1999 dans son manoir de Childwickbury. Après des débuts dans la photographie, Kubrick, autodidacte, sera également son propre directeur de la photographie, producteur, scénariste ou encore monteur. Ses treize longs métrages en quarante-six ans de carrière l'imposent

d’une hiérarchie est l’un des fondements de toute société. Cette obéissance à des règles, et permet aux individus de vivre ensemble et empêche que leur besoins et désirs entrent en conflit mettant à mal la structure de la société. Partant de cela, Stanley Milgram ne considère pas l’obéissance comme un mal. Là où l’obéissance devient dangereuse est lorsqu’elle entre en conflit avec la conscience de l’individu. C’est donc l’obéissance aveugle qui est dangereuse. Toutefois, l’un des autres moteurs de

RÉALISATEUR MODE D’EMPLOI Du monumental pour les masses armi les films d’épouvante, rares sont ceux dont l’épais- P 5 seur de mystère reste intacte passée la surprise d’une première vision. Si Shining est de ceux-là, c’est par la maniè- re dont Stanley Kubrick inscrit les procédés connus de la peur 6 7 8-9 10-11 Kubrick traverse l’histoire du cinéma fantastique, en reprend les 12-13 libérer le récit des conventions de la progression linéaire. 14-15 ANALYSE DE SÉQUENCE Tes est pris qui croyait

Kissinger-Lê Dúc Tho Paix provisoire Conséquences du cessez-le-feu Conclusion 6.1. 6.2. 6.3. 6.4. 6.5. 6.6. 6.7. 6.8. 6.9. 6.10. 6.11. 6.12. 6.13. 7. 8. 9. Conclusion Bilan personnel Bibliographie - 2- 1. Introduction Il va s’en dire que Stanley Kubrick fut un des metteurs en scène les plus remarquables de sa génération. C’était un innovateur qui n’avait aucun goût pour les habitudes et les formules conventionnelles. S’il aimait réussir, le succès ne suffisait pas à justifier le travail mal

STANLEY KUBRICK : MACHINE - HEAD Stanley Kubrick, avec son « Dr Folamour ou comment j’ai appris à ne plus m’en faire et aimer la bombe », atteint un point de non-retour dans une dialectique qui s’impose entre machine et machination – assemblage et complot. C’est on ne peut plus limpide : la course à l’armement nucléaire entre les blocs de l’Est et de l’Ouest, comme mécanisme, symptôme d’une plus grande machine générée par des années de guerre froide, culmine à son couronnement par la mise

le silence opposé à la musique hard rock, l’exhibition à la clandestinité, la foule à une seule personne et le discours fanatique au discours contestataire montre une tension paroxystique. Scène 7 : La scène de nuit qui se passe à l’école est coupée par du noir. Le vendredi débute par un plan noir progressif coulissant vers la droite sur un tiers de la surface de l’écran : Rainer et Anke sont endormis dans une lumière matinale Un plan noir s’intercale entre le dernier plan d’une séquence et

de l’âme des personnages par une image sans cesse en mouvement. La caméra peut enfin avoir une « fonction rythmique» et ou « chorégraphique » ; la caméra ne suit pas les évolutions des acteurs, elle imprime à l’image le mouvement de la danse (Cf. Stanley Kubrick avec le ballet des vaisseaux spatiaux de 2001 : l’Odyssée de l’espace (1969), ou avec Orange mécanique (1971), dont les scènes de violence deviennent dans l’œil de la caméra des moments de danse). 1) Le panoramique - Le mouvement panoramique

ou encore Né un 4 juillet où Stone critique le comportement de la société américaine face à ses soldats.... B) Les Sentiers de la gloire, 1957 Réalisation : Stanley Kubrick Scenario: Stanley Kubrick, Carter Willingham et Jim Thompson d’après le roman de Humphrey Coob Production: Kirk Douglas, James B. Harris et Stanley Kubrick Directeur de photographie : Georg Krouse Musique : Gérald Fried Studios : Munich Société de distribution : United Artists Budget : 835000 $ Langue : Anglais