Côte de Beauté

Deux femmes sont assises sur le rebord du sarcophage au premier plan. La première à gauche porte une robe blanche sous laquelle dépasse une manche rouge. Elle a les deux mains gantées. Dans la main elle tient des roses cueillies sur le rosier placé à côté d’elle. Elle appuie l’autre coude sur un vase rond doré. A l’autre bout du sarcophage, la deuxième femme a rejeté son manteau en arrière pour dévoiler son corps. Elle tient dans la main gauche une lampe ou un flambeau allumé. Elle baisse la tête en

aux objets artistiques toute valeur interne et les faire dépendre de la perception ou de l’usage ? Dès qu’un objet est exposé au regard, leur valeur semble de fait tributaire des opinions et des émotions subjectives. Faudrait-il donc chercher non du côté de la réception mais de la création , démarche qui permettrait de définir l’art, ce qui relève d’une fonction artistique ? Paul Klee : « l’art ne reproduit pas le

plus qu’important dans celles-ci. Je compte d’ailleurs vous en fournir la preuve à l’aide des différents symboles que représente la femme dans ses textes, soient : la beauté, la religion ainsi que l’amour. Tout d’abord, la poésie de Baudelaire montre bien que la femme joue un grand rôle dans plusieurs poèmes puisqu’on parle de sa beauté digne d’une esquisse à plusieurs reprises. Par exemple, la description physique est l’une des nombreuses approches utilisées pour décrire la splendeur de la femme

relation qui s’instaure entre la divinité (la beauté) et ses sujets (les poètes). Le texte met ainsi en relief, la capacité du poète à percevoir le beau, car elle est d’une forme parfaite, éternelle et immuable et la malhabileté à l’exprimer. D’abord, il semble que la beauté inspire les poètes parce qu’elle est une forme parfaite, éternelle et immuable. Dès le début, nous pouvons voir l’interpellation adressée aux « mortels » qui met en relation la beauté et ses admirateurs. Il y a une différence

poeme d’albert lozeau, il est vrai qu’il y a beaucoup d’ambiguité par rapport au sentiment qu’il éprouve envers l’automne, qui est considéré comme sa saison favorite. Selon moi, Lozeau est charmé par la beauté de celle-ci. Cependant, comme le titre de son poeme l’indique, il y voit aussi le côté sombre de ce charme. En effet, il accuse l’automne de mener les gens vers la mort, plus précisement ceux possédant une âme faible. Selon moi, la raison pour laquelle l’auteur pense cela s’explique par le

LA PRINCESSE DE CLEVES 1678 INTRODUCTION / Roman précieux, La Princesse de Clèves s’inscrit dans l’idéalisation des personnages et des sentiments. L’extrait est organisé en deux parties : un éloge global de la beauté de la princesse, héroine du roman, accompagné d’une description précise, elle, de l’éducation qu’a reçue ladite princesse. Nous étudierons donc la nature des informations fournies au lecteur par ce portrait. Elles sont de deux sortes : premièrement

qu’il a publié en 1857. Parmi les nombreux poèmes qui se retrouvent dans ce recueil de poésie, Baudelaire perçois les femmes comme quelque chose de complexe dans leur simplicité, tout comme l’auteur Johann Wolfgang perçois les idées telle que la beauté et la laideur comme quelques choses d’égale en soi même. Pour ce faire, Baudelaire présente la femme comme étant idéal mais à la fois ombreuse. Baudelaire interprète les femmes d’une manière compliquer et simple à la fois

bonheur .parcontre elle est à différencier de la notion de beauté. Plus spécialement encore ce qui concerne l'intérêt au sens étroit par opposition non seulement à l'idéal, mais même au plaisir. L’art avec sa dimension contemplative est different de la technique.en effet la technique recherche l’utilité de manière revelé et interressé alors que l’art quand tas elle recherche la beauté de manière libre et desiré. Selon la definition de l’utilité

elles est anormal, de par leur beauté idéale, mais aussi par certains de leur actes et caractéristiques physiques qui les présentent comme bestiales ou même démoniaques. La description des trois jeunes femmes faite par Jonathan illustre parfois la beauté idéale, la bestialité ou encore l’œuvre du démon. Dans cet extrait, le narrateur met tout d'abord en lumière la beauté idéale des trois succubes. Dans sa description, Jonathan utilise le champ lexical de la beauté qui est constitué de: "la jolie

CASSANDRE dans LES AMOURS de RONSARDHERSANT 1 La Princesse de Clèves (1678) Mme de LAFAYETTE T 1 : "Le portrait de "l'honnête femme"" 1 Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son