Cosmopolitisme

d’esthétiques a. Modèles esthétiques (ex: Barbie, Marylin Monroe...) b. Influence des médias (ex : stars, pubs, magazines...) c. Volonté de ressemblance (ex : Chirurgies, régimes, gymnase) II. Idéaux de pensée a. Elite intellectuelle/ Cosmopolitisme (ex : Universités, grandes Ecoles...) b. Liberté de pensée et de parole (ex : traditions) c. Évolution de ces idéaux dans les sociétés modernes (ex : politique, travail, femmes, études...) III. Exceptions à la règle. a. Divergences

mariée, une « fille », non) dans le groupe des gens qui peuvent prétendre accéder au savoir, production divine, et, partant, leur valeur d’êtres humains à part entière. En plus de cette ouverture « proto-féministe », Gargantua fait preuve de cosmopolitisme, c’est-à-dire d’ouverture sur les plans culturel et religieux, acceptant comme valables les expériences et les témoignages de personnes issues d’horizons différents du sien : « Puis avec soin, relis les livres des médecins : grecs, arabes

de tous les coins de l’Europe. Ce sentiment d’appartenance à une même civilisation mène à l’idée de cosmopolitisme puis au pacifisme. Le cosmopolitisme et le pacifisme Cosmopolite : littéralement signifie « citoyen du monde ». Dès le début du 18ème siècle ce terme apparaît un peu partout en Europe. En France c’est en 1721 que pour la première fois un dictionnaire intègre ce terme. Le cosmopolitisme est en vogue dans l’Europe des Lumières et repose sur l’idée d’un fond culturel commun mais aussi

rejetées. On attache désormais plus de prix à l’originalité qu’à la recherche du beau et de la perfection. L’imagination évince la raison ; aucun motif n’est exclu de l’esthétique moderne : on admet le grotesque, le trivial même le laid. -Le Cosmopolitisme : L’influence grecque et latine est abandonnée. D’autre part, le français, qui perd son universalité, se met à l’école des littératures étrangères et les limite parfois sans discrétion. Mme de Staël a beaucoup contribué à propager cette tendance :

« le dernier des frères ». Cette idée est représentative de l’ouverture d’esprit du philosophe, qui remet en cause les idées reçues, ici la vision biblique et aristotélicienne du monde. 2) La curiosité du philosophe Penseur attaché au cosmopolitisme, Montaigne s’intéresse aux autres cultures, sociétés et leurs mythes et croyances. Ici, il abord le thème des richesses des peuples Inca et Aztèque, avec notamment le mythe de l’Eldorado, une utopie persistante chez les conquérants espagnols.

référence dans leur titre, à l’Europe : « L’Europe savante », ou « l’Histoire littéraire de l’Europe » … La plupart des hommes et des intellectuels du continent se sentent européens, qu’ils soient nationalistes ou qu’ils militent en faveur du cosmopolitisme. Certains se sentent tellement européens qu’ils en viennent à souhaiter la disparition des patrimoines. Au 18ème siècle, l’Europe constitue une réalité bien vivante et l’idée européenne s’affirme. 2 : Le contexte politique : Au 18ème

retourne en Angleterre il y rédige l'Eloge de la Folie et le dédie à Thomas More alors proche d'Henry VIII, avec lequel il partage son goût pour l'érudition. C'est ainsi qu'il a milité pour la paix en Europe. Cet engagement européen est fondé sur son cosmopolitisme : “ Le monde entier est notre patrie à tous”, proclame-t-il dans la Querela pacis. Il est également fondé sur son pacifisme. La discorde sanglante qui divise les Anglais, les Allemands, les Français et les Espagnols lui semble une absurdité. “Pourquoi

droit du sol et droit du sang, mais d’agir, quand on en a les moyens, sur un marché. Les États-nations sont ainsi en quelque sorte mis en compétition, et si celui d’où l’on procède propose moins que d’autres, et bien, on le quitte. Non pas par cosmopolitisme, pour devenir citoyens du monde. Non pas pour construire de nouvelles formes de citoyenneté, à une autre échelle, par exemple européenne. Mais pour rejoindre une autre Nation. Les grands discours sur l’identité nationale ont ici perdu sens

barbares… Voyons ici la volonté du souverain de ne pas exclure les « barbares » de la vague de fond macédonienne. Cependant, remarquons que même Plutarque est obligé de reconnaître que cette politique accommode bien les vues d’Alexandre. 1/cosmopolitisme avant la lettre ?… 2/… Ce qui évite des combats inutiles… 3/et le mariage de Roxane illustre bien cela. III)… Et l’influence des élites macédoniennes. Voyons ici, une fois de plus la clairvoyance d’Alexandre mettant à profit les différentes

(esclavage) Du point de vue social et économique: le droit au confort matériel et aux bienfaits de la civilisation Du point de vue culturel: importance, pour l'histoire comme pour la vie, des sciences, des lettres et des arts, et non des conquêtes. Le cosmopolitisme: intérêt pour les autres civilisations, désir d'échanges dans le domaine de la culture, avec les autres pays. II. L'humanisme L'humanisme au sens large Des valeurs: esprit de découverte, éloge du savoir, activité de la raison qui impose