Cortisol

gorge sèche… Dans un second temps, l’organisme va rentrer en action, et mobiliser toutes ses ressources (oxygène, glucose…) pour réagir. C’est ce qu’on nomme « la phase d’activation ». Durant cette période, le stress s’accompagne d’une élévation du cortisol . Ce dernier a pour rôle de réparer les lésions éventuelles (grâce à son effet anti-inflammatoire). Si la mobilisation des ressources de l’organisme est venue à bout du processus de stress, tout rentre dans l’ordre. Mais, si l’organisme et le psychisme

Malnutrition | Perturbations de la phase inflammatoire et de la synthèse de collagène | Irradiation de la lésion | Diminution de l'irrigation sanguine par suite du rétrécissement de la lumière vasculaire | Stress important | L'augmentation du cortisol diminue le nombre de lymphocytes circulants et inhibe la réaction inflammatoire | Corticoïdes | Ralentissement de l'épithélialisation et de la néovascularisation, et inhibition de la contraction |   Maladies systémiques associées à des troubles

et du potassium en régulant l'élimination. l'hormaone essentielle de ce groupe est l'aldostérone 2) hormone métabolique ou gluco-corticoïde : agissent sur le métabolisme des lipides, glucides, protides. l'hormone essentielle de ce groupe est le cortisol ou hydrocortisone. en plus petite quantité, devient la cortisone. 3) hormone androgène ou 17 cétostéroïde : très proche des hormones génitales mâles. la principale est la DHA. - les cortico-surrénales : elles obéissent : * à la commande

choix qui favorise un déséquilibre énergétique qui, avec le temps, favorise la maladie (hormones de stress, pression artérielle…). La flexibilité apportée par des émotions spécifiques réduit l'usure du corps (par exemple, les poussées inutiles de cortisol). La granularité émotionnelle est une aptitude qui s'apprend, souligne la chercheuse. Beaucoup de gens peuvent améliorer la leur en apprenant de nouveaux concepts d'émotion. Littéralement, précise-t-elle : apprendre de nouveaux mots et leur signification

ratons séparés de leur mère se calment si on leur injecte de l’ocytocine (Insel et al., 1992). Si on administre de l’ocytocine pendant cinq jours consécutifs au rat, on constate que son taux de cortisol reste bas pendant plus de dix jours. L’ocytocine injectée augmente la synthèse des récepteurs au cortisol, situés dans l’hippocampe, structure frein de l’axe hypothalamo-hypophysaire du stress (Petersson & Uvnas-Moberg, 2003). Autrement dit, les hormones de l’attachement sont aussi des hormones anti-stress

liés: trop de stress provoque des altérations des cycles veille- sommeil et de la structure interne du sommeil et trop peu de sommeil ( dette de sommeil) cause du stress et de l'anxiété. Le stress engendre une sécretion plus importante d'hormones de cortisol. Or les phases descendantes de sécrétion de cette hormone sont en rapport avec l'apparition du sommeil profond et les phases ascendantes en rapport avec la survenue d'éveils intrasommeil. C'est ce qui explique que le stress agit sur différentes fonctions

burn-out, la personne atteinte est toujours en situation de stress chronique, alors que ce n’est pas toujours le cas pour la dépression. Des différences physiologiques ont aussi été constatées. Par exemple, les individus déprimés produiraient trop de cortisol (stéroïde jouant un rôle dans la réaction de l'organisme face au stress ainsi que dans le métabolisme des aliments) et ceux qui sont en épuisement professionnel, pas assez. b. Les causes Ce phénomène résulterait en bonne partie des transformations

hyperglycémie -glandes corticosurrénales :produisent des corticostéroides => metabolisme .minéralo-corticoides = metabolisme des substances minérales ( regulation sodium sang) .gluco-corticoides = metabolisme substance organique(lipides glucides,…) cortisol agit sur reins => elimination de l’eau => >< homrone antidiurétique pancréas endocrine exocrine et endocrine role digestion alim celule alpha secretant glucagon cellule beta secretant insuline Elles participent a la regulation de la glycemie

et la métaplasticité synaptique Le stress réduit les performances mnésiques et bloque le développement de la PLT hippocampique Deux exemples d’’observation de la métaplasticité et les changements en cause: - Le stress (avec une augmentation du cortisol) - Le vieillissement (avec une augmentation d’’interleukine IL-1 , augmentation de ROS et une diminution des kinases) une Diamond et al., 2004, Neuropsychopharmacology 42 Point 3 : le stress et la métaplasticité synaptique Le stress

héréditaire (suite à un mauvais métabolisme des graisses ou des sucres) > un manque d'activité physique, sédentarité. > le stress : en effet cet état peut favoriser la prise de poids, ce processus est lié aux hormones libérées par le stress (cortisol, adrénaline) qui peuvent influencer sur divers processus de la prise de poids comme l'envie de manger. > des nuits trop courtes (manque de sommeil ), c'est-à-dire des nuits de moins de quatre heures de sommeil. En effet si peu dormir pourrait