Corrigé Nobl Etoffe

apparaît maladroit. Il est un bourgeois qui cherche à changer de statut social, il veut devenir noble et croit que son argent lui permet ce changement. Alors il veut tout apprendre, il fait venir 3 maîtres pour l’aider à apprendre ce que font les nobles. Le lecteur ou le spectateur comprend aisément que M. Jourdain n’inspire pas le respect. Ses façons "donnent à rire à tout le monde". Ses nouveaux vêtements manquent de goût et M. Jourdain déclenche le rire et les moqueries de son entourage. Ainsi

des personnages stéréotypés. - L’héritage de Molière. Il retient de l’héritage italien les lazzi, bouffonneries et prouesses verbales, et fait de ses comédies un spectacle d’agilité physique. Il donne plus d’épaisseur aux personnages stéréotypés et étoffe les intrigues traditionnelles. Le rire devient l’instrument privilégié d’une critique lucide de la société. 2 - Les différentes formes de la comédie - La comédie classique. On la trouve aux XVIIe et XVIIIe siècles. Elle se distingue par : • Un

registre de l'humour. Elle met généralement en scène des personnages de bas niveaux. Elle se propose de «corriger les vices des hommes en les divertissant», dit Molière. -La tragédie qui est un genre théâtral dont l’origine remonte au théâtre grec antique. Elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Elle tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières. D'abord en montrant les dégâts que

à cause des dépenses de guerre et de la Dette). Les ministres ont recours à l’emprunt, créent de nouveaux impôts (ce qui provoque le mécontentement du Tiers-État), tentent de remettre en cause les privilèges (ce qui provoque le mécontentement des nobles)… Tout cela sans succès. • Crise économique : Des accidents climatiques (inondations en 1787, puis sécheresse, grêle en 1788, hiver très rigoureux en 1788-1789…) provoquent de mauvaises récoltes en 1788 et 1789, qui ont pour conséquences la hausse

Roy ». S'en suit l’écriture de différentes pièces telles que L'école des femmes ou l'Avare en 1662 et 1668 ou encore Dom Juan, écrit en prose en 1665. Dans toutes ses œuvres, Molière dénonce la société de son temps, il défend les mœurs, accuse les nobles, avec l'aide de personnages emblématiques tels que Jourdain, harpagon ;comme la plupart des autres comédiens de l'époque. Contrairement à ses contemporains, Molière s’initie très peu à s'inspirer de figures et de schémas antiques ou étrangers pour

PERSINET, jeune homme du peuple, amant de Lina. HERMOCRATE, autre noble. Troupe de femmes, tant nobles que du peuple. La scène est dans une île où sont abordés tous les acteurs. Scène première ARTHÉNICE, MADAME SORBIN ARTHÉNICE Ah çà ! Madame Sorbin, ou plutôt ma compagne, car vous l’êtes, puisque les femmes de votre état viennent de vous revêtir du même pouvoir dont les femmes nobles m’ont revêtue moi-même, donnons-nous la main, unissons-nous et n’ayons qu’un même esprit toutes

nouveau monde qui lui était inconnu, où il voit régner également le vice et la politesse, et où tout lui est utile, le bon et le mauvais. » (VIII, 9) LC répondent à la devise de la comédie « castigat ridendo mores » qui signifie « elle (la comédie » corrige les mœurs par le rire ». Mais au-delà du rire, il s'agit bien d'instruire la société, car plaire et instruire sont les deux enjeux du classicisme. LB a d'ailleurs précisé dans sa Préface, « on ne doit écrire que pour l'instruction. » II-Former et

: riches, moins riches, aisés ou plus nécessiteux. Aussi, L’uniforme rassure les parents qui ont des petits moyens : ils font un investissement au début, ensuite ils ne doivent pas étoffer la garde-robe de l’enfant avec la dernière marque à la mode. Par ailleurs, Le port de l’uniforme contribuerait aussi à la cohésion et aux bonnes relations au sein des élèves, l’école se construirait alors

de Madame Sorbin. PERSINET, jeune homme du peuple, amant de Lina. HERMOCRATE. Troupe de femmes, tant nobles que du peuple. La scène est dans une île où sont abordés tous les acteurs. - 4 -SCÈNE PREMIÈRE. Arthénice, Madame Sorbin. ARTHÉNICE. Ah çà ! Madame Sorbin, ou plutôt ma compagne, car vous l'êtes, puisque les femmes de votre état viennent de vous revêtir du même pouvoir dont les femmes nobles m'ont revêtue moi-même, donnons-nous la main, unissons-nous et n'ayons qu'un même esprit toutes les deux

homme du peuple, amant de Lina. Hermocrate. Scène 1 : Arthénice, Madame Sorbin Arthénice. - Ah çà! Madame Sorbin, ou plutôt ma compagne, car vous l'êtes, puisque les femmes de votre état viennent de vous revêtir du même pouvoir dont les femmes nobles m'ont revêtue moi-même, donnons-nous la main, unissons-nous et n'ayons qu'un même esprit toutes les deux. Madame Sorbin - Conclusion, il n'y a plus qu'une femme et qu'une pensée ici. Arthénice. - Nous voici chargées du plus grand intérêt que notre