Corrigé Bts 1999 Sciences Appliques

..12 4.3. Troisième approche, les processus de décisions RH comme base de l’évaluation ...........15 4.4. Vers une quatrième approche, la sociologie interactionniste .......................................15 5. Brèves approches des démarches des sciences de l’éducation .........................................16 II. Les composantes d’un processus d’évaluation ........................................................ 17 1. Les visées de l’appréciation ..............................................

.................................................................................. 99 Calcul du coefficient de détermination ................................................................................................... 101 Modèle de marché appliqué à 1 portefeuille ............................................................................................102 ACTUALISATION appliquée AUX ACTIONS - Modèle général ....................................105 4 Le modèle de Gordon-Shapiro .

les UF 5 et 6 sont agrégées dans le DC 4. Les deux certifications de ce dernier ont supplanté l’unique épreuve écrite dite du « questionnaire ». D’une durée de 2 h 30, elle avait « pour objet de vérifier la maîtrise des acquisitions essentielles de sciences humaines et sociales qui porte sur le programme des unités de formation Vie collective, Économie et société et Unité juridique2 . » Comme l’illustre l’encart suivant, les questions rattachées aux unités de formations 4, 5 et 6 se concentraient sur

largement en retrait dans l'approche "méso-économique" développée en France. 19 20 21 18 Voir, en particulier, Hayek (1953 et 1993), chap. 6. Cité par Auerbach, Campbel et Stone (1992). Une position proche de celle-ci est assez répandue en sciences de gestion concernant la question de la segmentation stratégique : "On voit l'aspect crucial [de la segmentation stratégique], à partir de laquelle se déroule la démarche stratégique, mais aussi la difficulté de donner une dimension objective à cette

MINISTERE DE L’ENSEIGENEMENT SUPERIEUR ET DE LARECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DES SCIENCES JURIDIQUES ET POLITIQUES FACULTE DE DROIT PRIVE COURS DE DROIT DU TRAVAIL 3ème Année Droit Privé –Groupe D 2013– 2014 FASSOUN COULIBALY Chargé

conditions pour satisfaire et fidéliser ses clients, éditions d‟organisation Eyrolles, Collection marketing, Paris, 2010, page 53. 25 Nehmé Azoury et Charbel Salloum « L'impact de l'affect de marque sur la fidélité des consommateurs», La Revue des Sciences de Gestion, volume 3, Direction et Gestion, n° 261-262, 2013, p. 69-76. 13 DAWKINS J. et REICHHELD F.F.26, en 1990, expliquent que retenir un client coûterait jusqu‟à cinq fois moins cher qu‟en conquérir de nouveaux. Par ailleurs, les stratégies

la représentation de l’activité économique en termes de circuit (Chapitre 2) A partir du dossier sur « L’objet de la science économique », pages 6 à 7 et 12 à 15 et du dossier sur « Les deux méthodes d’analyse de l’économie », pages 20 à 33. Chapitre 1. Le domaine de l’économie : de l’objet aux systèmes économiques 1) L’objet de la science économique La science économique étudie les actes et les efforts humains (la production) réalisés en vue de lutter contre la rareté naturelle

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 • Coût de location et aides de l’État . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 • L’activité de gestionnaire (chiffre 1999) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 • LES MULTIPLES POLITIQUES DE L’ÉTAT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20

certifiés, le calcul est identique : 18 séquences de 55 minutes représentaient un temps d’enseignement par semaine de 990 minutes, soit 165 heures. 31 des écoles situées en zone rurale et le nombre d'élèves par classe y est aussi plus important. En 1999-2000, les écoles maternelles rurales accueillaient en moyenne 49,4 enfants par école contre 110,5 pour celles situées en zone urbaine. Les écoles élémentaires rurales accueillaient 57,8 élèves contre 177,9 dans les écoles urbaines. Les écoles maternelles

charge des services compétents, par des évaluations, au moins en ordre de grandeur, des impacts économiques et sociaux des mesures préconisées. On disposerait ainsi d’une base solide pour des réflexions, des concertations puis des décisions afin de corriger les imperfections de la situation présente et de préparer un avenir équilibré, garantissant leur juste place à toutes les formes de commerce qu’attendent nos concitoyens, respectant les modes de vie typiquement français auxquels nous sommes attachés