Corpus Valet

interrogés ne seraient pas étonnés qu'il revienne cette année ! Il est très rare que vous ayez étudié en classe les extraits choisis par les concepteurs de sujets. On attend de vous des rapprochements entre les textes, que vous montriez l'unité du corpus ("ces deux textes ont pour point commun..."). Il faut aussi connaître les différents registres (comédie, drame, etc.) et maîtriser les notions propres au théâtre (didascalies, scène d'exposition...). Le texte théâtral... et sa représentation Les professeurs

STEFAN Théo Devoir de Français Première S Questions sur le Corpus Question 1 : Le Corpus de textes est composé de trois extraits de pièces de théâtre. Le premier extrait est la scène 6 de l’acte III de la comédie Le Jeu de l’amour et du hasard écrite par Marivaux en 1730. Le deuxième est la scène 3 de l’acte V de de Ruy Blas écrite par Victor Hugo en 1838. Le troisième est la scène 5 de l’acte V de la de la comédie d’Edmond Rostand : Cyrano de Bergerac. Nous allons chercher comment les

où le bouffon, personnage dont l’emploi est de faire rire par des gestes et plaisanteries de mauvais gout est utilisé pour provoquer les éclats de rire des spectateurs. Dans les  fourberies de Scapin  de Molière, nous assistons à une scène où le valet, Scapin, veut se venger de son maître Géronte en lui faisant croire qu’il est attaqué par des spadassins étrangers, Scapin va employer beaucoup d’accent différent en exagèrent sur les tonalités pour pouvoir battre son maître qui pense être tapé par

qui se poursuivent, se donnent des coups de bâton ; comique que l'on retrouve chez Molière lorsque | | |Scapin roue de coups son maître enfermé dans un sac ou chez Marivaux quand Iphicrate poursuit Arlequin avec son épée ou que le valet boit, chante | | |et danse à la scène 1. | | |b) le comique de situation est également distrayant

d’œuvres, écrit en 1730, où il met en scène de nombreux quiproquos et conflits amoureux. Dans la scène 13 de l’acte II, nous retrouvons les idées de Marivaux. En effet, Araminte met à l’épreuve son jeune intendant, l’aimant mais qui sous les conseils du valet Dubois, ne lui annonce point son amour. Araminte invente donc un stratège pour forcer Dorante aux aveux. Elle lui fait écrire une lettre à un rival pour obliger son intendant, sous la rivalité amoureuse, de lui faire part de son amour profond. Nous

connaître par cœur des phrases de l’ouvrage, mais expliquez en quoi telle œuvre, tel texte ou tel auteur est utile pour illustrer votre raisonnement. • Dans le sujet du bac, un corpus de documents accompagne le sujet, vous y trouverez forcément des exemples pertinents. Un élève qui ne citerait comme exemple que des extraits du corpus ne doit pas être sanctionné. 3 Schéma d’une partie de développement Je saute une ligne avant le début de ma première partie REVISION EXPRESS Les étapes-clés de

a) Portrait de Dom Juan par Sganarelle (I,1) [fiche n°1] b) Tirade de l’inconstance (I,2) [fiche n°2] c) Dom Juan, le séducteur entre deux proies (II,4) [fiche n°3] d) Le dénouement (V,5 et 6) [fiche n°4] Documents complémentaires : Corpus de textes, répondant à la problématique suivante : quelles sont els constantes et les variations de la représentation de la fin de Dom Juan ? De quelle manière cette fin contribue-t-elle au mythe des personnages ? a) Le trompeur de Séville ou

femmes ! Et que me conseilles- tu, Ciuta ? Quelle ressource puis-je encore trouver ? CIUTA. – Je vous conseille d'abord de sortir d'ici, car voici son mari qui la suit. Ils sortent. Entrent Claudio et Tibia CLAUDIO. – Es-tu mon fidèle serviteur ? Mon valet de chambre dévoué ? Apprends que j'ai à me venger d'un outrage. TIBIA. – Vous, Monsieur ! CLAUDIO. – Moi-même, puisque ces impudentes guitares ne cessent de murmurer sous les fenêtres de ma femme. Mais, patience ! tout n'est pas fini. Ecoute un peu

expire). » (Acte V-Scène III). D’autre part, l’exagération n’est pas que là pour créer une ambiance tragique, mais au contraire, elle peut aussi apporter une tonalité comique à la pièce interprétée. Certes, ceci se perçoit dans le premier texte du corpus, Juste la fin du monde par Jean-Luc Lagarce. Alors que le titre retombe déjà de façon exagérée et même apocalyptique, le comportement enfantin d’Antoine, où l’auteur insiste beaucoup trop sur sa réaction, provoquera certainement quelques moqueries

« au fait, dites donc vos, … ! » (Texte 2, ligne 1), « Allez retrouver Madame » (texte 2, ligne 33), « N’étalez donc pas votre savoir » (Texte 3, ligne 9), « Taisez-vous, restez assise » (Texte 3, ligne 18). Ainsi dans les différents textes du corpus, nous n’assistons pas réellement à un cours mais plutôt à ce que l’on pourrait appeler un « déballage de pseudo savoir » entre un élève et son maître. Ces extraits mettent en évidence des rapports de soumission et de pouvoir, liés à la connaissance