Corpus Lyrisme

ses métaphores, ses jeux de miroir, la description des métamorphoses de la nature et des sentiments humains, la fuite du temps et les aléas de la destinée on retiendra les noms de Saint Amant, Marbeuf et Voiture La poésie évolue ensuite car le lyrisme qui lui était propre jusqu’alors se développe amplement dans les tirades de la tragédie (Corneille et Racine) et parce qu’elle doit aussi instruire et plaire (la Fontaine ou Boileau). La poésie devient entièrement didactique au siècle des Lumières

qui est l’acte de naissance de la modernité poétique : le poète est celui qui par la nouveauté du regard qu’il pose sur le monde fait jaillir la puissance poétique enfouie dans les objets les plus quotidiens de la modernité. Une nouvelle forme de lyrisme autobiographique, les séductions de la nouveauté n’empêchent pas le poète de s’inscrire dans une tradition, un spiritualisme qu’avec humour le poète associe à cette modernité. Les nombreuses notations autobiographiques dans la suite du texte donnent

- les énumérations soulignées par des homéoptotes : « mêlés, traversés, mariés » Ce registre fait naître chez le lecteur un sentiment d’enthousiasme, d’allégresse, d’exaltation contagieux. On relève les champs lexicaux qui accentuent le lyrisme poétique : lexique de - de l’abondance (accumulation) : « troncs, rameaux, feuilles, fibres, touffes, vrilles, sarments, épines », - de la croissance « les ronces étaient montées », « la plante avait grimpé » - de l’exubérance « fête

fond Titus sait que tout est perdu. III-Une tonalité tragique L’expression lyrique de la solitude   Les questions oratoires Provoquent, tourmentent Titus et le ramènent à cette décision qu’il doit prendre seul 1, 27 exclamations Lyrisme du monologue délibératif Tu, tes..  Nombreuses occurrences de la 2° pers. du sing. Interpellation constante : dédoublement cruel du bourreau et de la victime Ts les vers sauf 1, 13, 14, 15, 19, 21, 24, 25, 26 Alexandrins réguliers

C'est en août 1854 que Victor Hugo écrit ce poème, extrait du recueil Les contemplations publié en 1856. Il est alors en exil à Jersey depuis trois ans suite au coup d’État de Napoléon Bonaparte en 1851. Dans ce poème lyrique et descriptif composé de huit quatrains, il évoque les difficiles répercussions de cette expatriation sur son état psychologique, les regrets liés à sa vie d'avant et la difficulté à supporter l'absence de toute vie sociale. Dans un premier temps, nous mettrons donc en évidence

Du Bellay dit que son écriture va être assez naturelle donc il est en décalage avec Ronsard. Du Bellay refuse de s’associer avec Hésiode donc avec les autres auteurs de la Pléiade. Cette démarcation n’empêche pas que l’épopée soit encore présente, et il ne faut pas en conclure que Du Bellay à arrêter de faire de l’épopée car il fait Les antiquité de Rome dans les regrets car il fait les épopées des civilisations. Le style des regrets se caractérise par des rimes assez simples reprisent dans les

leur sacrifice et les élève au rang de martyrs. Ensuite, en des vers à portée universelle, le poète se plaît à imaginer les fondations d'un monde meilleur (...) Plan du commentaire: Introduction I) L'hommage aux résistants A. Un poème au lyrisme exacerbé B. Des martyrs C. Des saints II) Le rêve universel d'un monde parfait A. La généralisation B. Le triomphe de la liberté C. Un poème hymne Conclusion Poème étudié: O mes frères dans les prisons vous êtes libres Libres les

dramaturge, il est considéré comme l’un des plus importants auteurs français. Il est poète lyrique pour son recueil les contemplations contenant plus de 150 poèmes reparties sur 6 livre. Victor Hugo va y expérimenter la poésie autobiographique. Le lyrisme quand a lui est un genre poétique datant de l’antiquité grecs ou il était chanter avec une lyre dans le but de susciter des émotions pour l’auditeur. Il est le plus souvent lier au romantisme. Introduction le poème que nous allons étudier est extrait

briser le miroir dans le but de ce détruire lui même «  dans la glace lance son siège à toute volée en hurlant «  . De plus d'être considéré comme un soliloque pathétique par l'attitude de Caligula envers lui même , ce soliloque exprime un certain lyrisme poétique par la marque de la 1ere personne «  j'avais «  , » je rencontre «  , et avec l'utilisation d'images poétiques telle que celle de la douleur , soulignée par la comparaison «  cette nuit est lourde comme la douleur humaine «  ainsi que la

associe à ses sentiments ( registre lyrique. Forme de déclaration amoureuse mais pas dépourvue de nostalgie. L’automne est associé au tps qui passe et à une mort prochaine. Axe 1 : Un poème de grande musicalité : Ce poème uni les ressources d’un lyrisme associé à une versification moderne, libre qui s’adapte au mouvement d’âme du poète. • L’automne comme une saison musicale : Au vers 14 il est question des rumeurs de l’automne, avec un sentiment qu’elles parcourent le poème : alliance des sonorités