Corpus Les Fleurs Du Mal

représentation de la femme ; la courtoisie médiévale ; Autres lectures : Luc FERRY, De l’amour, 2012 (essai philosophique) ; Maurice SCEVE, « Le front », 1536, manuel p. 271 ; Charles BAUDELAIRE, « Une charogne », Les Fleurs du mal, 1857 ; Claude ROY, « Dormante », Clair comme le jour, 1943 ; corpus du bac 2014 Autres travaux et activités personnelles : Documents iconographiques : David BAILLY, Autoportrait avec symboles de vanité, 1625 ; Quentin METSYS, Vieille femme grotesque, 1513 Objet : Réplique d’une

d’inspiration en poésie.En nous aidant du corpus et de nos connaissances personnelles, nous montrerons en quoi la ville est-elle source d’inspiration en poésie.Dans un premier temps, nous allons aborder le sujet de la beauté puis dans un deuxième temps la modernité. En effet, la beauté est une des composantes de source d’inpiration de la ville. La beauté peut-être représentée par les habitants, comme par exemple « A une passante », Les Fleurs du Mal de Charles baudelaire. Dans ce poème, Charles

BAC FRANÇAIS PREMIERE L I – La question ÉCRITURE I – Après avoir lu attentivement les textes du corpus, vous répondrez d'abord à la question suivante (4 points) : En quoi le texte B est-il une réécriture du texte A, et le texte D une réécriture du texte C ? Vous vous en tiendrez aux éléments principaux. Il s’agit de deux éloges : faire un parallèle entre les différentes époques d’écriture est opportun. Penser à bien citer le texte à chaque fois. En conclusion, souligner le fait que dans les deux

l'annonce des pluies : c'est la déglutition de deux perles gonflant leur gosier jaune... Vagissement des eaux tournantes et lumineuses ! Corolles, bouches des moires4 : le deuil qui point5 et s'épanouit ! Ce sont de grandes fleurs mouvantes en voyage, des fleurs vivantes à jamais, et qui ne cesseront de croître par le monde... Ô la couleur des brises circulant sur les eaux calmes, les palmes des palmiers qui bougent ! Et pas un aboiement lointain de chien qui signifie la

mythique. Textes et travaux complémentaires: 1) Tragédie et fatalité: corpus de textes: Eschyle, Prométhée enchaîné, Racine, Phèdre, (1677), Victor Hugo, Hernani (1830); Jean Anouilh, Antigone (1944). 2)La représentation de la violence: Article de Louise Vigeant « Questions autour de la violence au théâtre : Seoul Performing Arts Festival", publié dans Jeu, revue de théâtre (2003 N°106, p. 162-171). 3) Les relations mère-fils: corpus de textes (Eschyle, Les Choéphores (458), Molière, Tartuffe (1669)

certaine forme poétique, doit se plier à des exigences qui influenceront grandement le choix des termes et des tournures. Rentrer dans le cadre s’apparenterai alors même à un jeu de logique et de réflexion comme un sudoku par exemple. Dans ces textes du corpus on remarque très facilement cette aspect de recherche approfondie des sonorités. Prenons « Ces cheveux d’or… » de Joachim Du Bellay, ce poème versifié est garni de phrases extrèmement bien construite :  « Amour la flamme autour du cœur éprise »[L :3]

Textes et travaux complémentaires: 1) Tragédie et fatalité: corpus de textes: Eschyle, Prométhée enchaîné, Racine, Phèdre, (1677), Victor Hugo, Hernani (1830); Jean Anouilh, Antigone (1944). 2)La représentation de la violence: Article de Louise Vigeant « Questions autour de la violence au théâtre : Seoul Performing Arts Festival", publié dans Jeu, revue de théâtre (2003 N°106, p. 162-171). 3) Les relations mère-fils: corpus de textes (Eschyle, Les Choéphores (458), Molière, Tartuffe (1669)

Sujets de l’épreuve anticipée de Français (EAF) : objets d’étude et textes du corpus. (Zone d’Europe de l’Est 2004-2010) Les sujets sont disponibles en version papier au CDI. Demander à Mme Gendras. Certains se trouvent sur le site Magister : http://www.site-magister.com/ Les textes donnés à commenter son notés [C] ►2004 : ES/S : Le théâtre : Texte et représentation. Texte A : Molière, L’Avare, Acte II, scène 5, 1668. Texte B : Samuel Beckett, En attendant Godot, Acte I, 1953. Texte

de la femme dans Mignone allons voir si les roses de Ronsard ou un animal qui pourrait évoquer la sensualité de la femme comme dans « Le Serpent qui Danse », Les Fleurs du Mal de Baudelaire. Du XVIème au XXème, du classicisme au surréalisme, les poètes ont su voir la femme à travers ce thème vaste et complexe. A travers le corpus de poèmes que je vais vous présenter je me suis poser la question comment l’auteur entrevoit la figure féminine à travers la nature ? Dans A Mme Lullin de Voltaire ou

Chacun défend un poème de ce corpus, l’un penchant pour les formes anciennes, l’autre pour des formes nouvelles. Vous rédigerez leur dialogue en veillant à y intégrer des exemples précis. Texte 1. Charles Baudelaire, « Rêve parisien », Les Fleurs du mal, 1857 Texte 2. Paul Verlaine, « Cauchemar », Poèmes saturniens, 1866 Texte 3. Raymond Queneau, « En cas d’arrêt même prolongé », Courir les rues, 1967 1. Charles Baudelaire, « Rêve parisien », Les Fleurs du mal A Constantin Guys De