Corniche

Depuis qu'il avait quitté la France, les couleurs étaient de retour. La musique aussi. Quand il débarqua à Tanger, il dut attendre l'après-midi pour prendre le car de Casablanca. Il déposa sa valise à la consigne et partit marcher sur le sable de la corniche. Tout avait changé depuis sa première découverte de la mer. Des jeunes jouaient au foot, d'autres traînaient, des mendiants l'arrêtèrent et il leur donna des pièces. Autour, de plus en plus d'immeubles en construction. Il s'installa dans un café

classe sociale dans les immeubles disparaît peu à peu. Description de l’immeuble haussmannien : au réez de chaussée il y a les commerces, au-dessus se trouve l’entresol, puis l’étage noble avec un bacon filant en fer forgé, puis au-dessus il y a des corniches. Les petites fenêtres toutes en haut de l’immeuble ce sont les chiens-assis, c’est là où vivent les plus démunis. - De son vrai nom Georges Eugène Haussmann, né le 27 mars 1809. Couramment appelé, le Baron Haussmann, il était protestant comme sa

glorieusement ses splendeurs inachevées. Le café étincelait. Le gaz lui-même y déployait toute l’ardeur d’un début, et éclairait de toutes ses forces les murs aveuglants de blancheur, les nappes éblouissantes des miroirs, les ors des baguettes et des corniches, les pages aux joues rebondies traînés par les chiens en laisse, les dames riant au faucon perché sur leur poing, les nymphes et les déesses portant sur leur tête des fruits, des pâtés et du gibier, les Hébés et les Ganymèdes présentant à bras tendu

avancées de toiture devant une baie ou une façade ( cf. croquis ); Les terrasses non couvertes, de plain-pied avec le rez-de-chaussée ( cf. croquis ); Les éléments de modénature tels que : acrotères ( cf. croquis ) bandeaux ( cf. croquis ) corniches ( cf. croquis ) ou marquises ( cf. croquis ) tous les vides, qui par définition ne constituent pas de surface de plancher, et notamment ceux occasionnés par les trémies d'escalier, ( cf. croquis ) d'ascenseur, ( cf. croquis ) ou de

Jacques Cœur), corniches pourvues de gargouilles, personnages sculptés aux angles du premier niveau de la surélévation hexagonale, dont un toit couvrait primitivement les créneaux. On retrouve aussi la galerie en encorbellement qui reliait deux tours vers l'extrémité sud.A l'est, la porte principale. Opposé à la sévérité quasi générale à l'ouest, on trouve un décor riche, abondant et dense d'étages en étages. A la base de l'étage on retrouve des culots en formes de masques; la corniche, porte une balustrade

composé d’un panneautage de briques et de cordons larmiers reliant les seuils des fenêtres et traversant la façade. • A l’étage, 3 fenêtres verticales à 1 jour sont délimitées par des meneaux en pierre, linteaux droits et en calcaire alors que la corniche est en pierre en cavet. • Bâti aligné et parallèle à la voirie, dominé par des maisons traditionnelles de style classique du 18 ème siècle. Conclusion : c’est un espace dit commercial et résidentiel aux étages, associé à une voirie de desserte. Son

américain) , dans la nuit. Deux d’entre elles ont l’air proches tandis que le serveur et la dernière personne n’entretiennent pas de conversation. Le tableau est rigoureusement construit car le peintre utilise les éléments d’architecture, piliers, corniches, baies, fenêtre, pour organiser la surface peinte. On retrouve donc dans cette manière de faire, le goût de Hopper pour l'architecture, les bâtiments. (Composition) La présence de lignes obliques nous ramènent a une ligne de fuite. Dans cette

et un autre pont mène à un escalier qui conduit derrière la tour. Ces ponts paraissent se multiplier : Piranèse en a représenté au premier plan, mais également plusieurs en arrière plan. S’ajoute à cela des chemins en situés en hauteur, sur des corniches, protégés par des balustrades et longeant les murs, soutenus par des piliers rectangulaires massifs. D’autre passages ont étaient aménagés sous les premiers. Des poutres encastrées dans le mur retiennent des cordes, dont on ne connaît pas la fonction

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de Dublin en Irlande. Ce bâtiment, inspiré du style géorgien comme le prouve c’est caractéristiques :  Une maison en forme de cube, et strictement symétrique.  Une porte d'entrée centrée, complétée par des fenêtres rectangulaires.  Une corniche embellie par des moulures à denticules décoratives.  Les vitres des fenêtres sont toujours en nombre impair, et les fenêtres sont symétriques (que ce soit verticalement ou horizontalement). Plan de l’édifice Dans