Cordonniers

comme on fait des bourses à courroie, il ne laissait qu’un orifice et liait la peau au milieu du ventre ; c’est ce qu’on appelle le nombril. Puis il polissait la plupart des plis et façonnait la poitrine avec un instrument pareil à celui dont les cordonniers se servent pour polir sur la forme les plis du cuir ; mais il laissait quelques plis, ceux qui sont au ventre même et au nombril, pour être un souvenir de l’antique. Or, quand le corps eut été ainsi divisé, chacun, regrettant sa moitié, allait à

problème de la justice dans l'échange. Il prend l'exemple de l'éthique de l'échange entre un architecte et d'un cordonnier. La valeur dans les sociétés modernes est le travail parce que chez les classiques, ce sont les choses produites qui comptent dans l'échange, or chez Aristote, ce qui est important dans l'échange est le statut des co-échangistes (valeur de l'architecte et du cordonnier). Il n'y a pas de séparation entre les individus et les choses produites. On trouve deux formes d'économies chez

- Pour faire chier les mômes.» «L'être ou le néant, voilà le problème.» «Si tu comprends autant que moi, alors c'est que t'es moins con que t'en as l'air.» «Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire.» «C'est marrant les cordonniers, ils arrêtent jamais de travailler, on dirait qu'ils aiment ça, et pour montrer qu'ils arrêtent jamais, ils se mettent dans une vitrine pour qu'on les admire.» «Aucun métier n’est bien marrant.» 6. Bibliographie Mes ressources sont :

Paris] ; Monclard [boulanger, Marseille] ; Mazau [Mazaud Jacques, cocher de fiacres, Seine] ; Braun [Braun Joseph, ouvrier mécanicien] ; Garnery [Garnery Auguste, bijoutier, Seine] ; Luquet [Luquet Alexandre, coiffeur, Paris] ; Dret [Dret Henri, cordonnier, Paris] ; Merzet [Merzet Etienne, mineur, Saône-et-Loire] ; Lévy [Lévy Albert, employé] ; G. Thil [Thil G., lithographe] ; Ader [Ader Paul, ouvrier agricole, Aude] ; Yvetot [Yvetot Georges, typographe, Seine] ; Delzant [Delzant Charles, verrier

force dans les vingt-quatre heures, est aussi ridicule qu'encadrée dans le vestibule. Toute action a sa durée propre comme son lieu particulier. Verser la même dose de temps à tous les événements ! appliquer la même mesure sur tout ! On rirait d'un cordonnier qui voudrait mettre le même soulier à tous les pieds. Croiser l'unité de temps à l'unité de lieu comme les barreaux d'une cage, et y faire pédantesquement[6] entrer, de par Aristote[7], tous ces faits, tous ces peuples, toutes ces figures que la

menuiseries douze en tout, les deux brasseries deux, une fabrique de chicorée un, une fabrique de pannes, sept ; les deux briqueteries, douze, et trois entrepreneurs autant ; les quatre sabotiers emploient neuf ouvriers, une blanchisserie cinq, les cordonniers vingt et un, la raffinerie de pétrole douze. Pour vivre, on se réfugie dans le bricolage et la débrouillardise, on s’adonne aux petits métiers qui n’offrent pas de grand débouché. Dans les rues et sur les places, on rencontre des marchands de tout

mariage. Autoportrait indirect. Jeune fille de très bonne famille, qui a reçu son éducation dans un couvent strict -> décalage entre le milieu mondain et le couvent strict. Elle n’a pas était préparée à sa vie à l’extérieur (elle va prendre le cordonnier comme son futur mari). Naïveté. Le style de Cécile (écriture limitée) traduit la naïveté du personnage. L’auteur fait croire à une vrai correspondance : forme de la lettre, soucis de discrétion (noms incomplet, date non complète). On a le

n’aurions pu espérer faire pour la tolérance, pour la justice, pour la compréhension mutuelle des hommes, ce que nous faisons aujourd’hui par hasard. Nos paroles, nos vies, nos souffrances ne sont rien. Mais qu’on nous prenne nos vies, vies d’un bon cordonnier et d’un pauvre vendeur de poissons, c’est cela qui est tout ! Ce dernier moment est le nôtre. Cette agonie est notre triomphe. » Bibliographie Ronald Creagh, L'affaire Sacco et Vanzetti, Lyon, Atelier de création libertaire, 2004. Pierre Duchesne

des plus grands philosophes allemands, fondateur de la philosophie critique. Il est issu d'une famille modeste de Königsberg, où il demeurera toute sa vie. Sa mère piétiste et dévote protestante influence profondément son esprit. Grâce à un oncle cordonnier aisé, il peut suivre des études complètes de théologie, de philosophie et de sciences (mathématiques). A la sortie de l'université, il passe quelques années hors de sa ville natale comme précepteur. Puis, à partir de 1755, Kant enseigne la logique

sacristains : ils se tiennent en arrière du curé, à gauche du cercueil et sont vêtus de blanc. L'un d'entre eux est le porte-croix ; c'est un propriétaire-vigneron (7). Les deux autres en (5) et (6) sont respectivement un musicien et un artisan cordonnier. Les deux enfants de chœur : le premier (8) lève la tête vers le porteur, dont il vient de toucher le chapeau avec son cierge. Le second (9) au premier plan porte le vase d'eau bénite. Les deux bedaux( 11-12): employés laïcs d’église, ils s'assurent