Cool jazz

d’espoir. Pour ce Lalala Gershwin, entre images projetées et explosion gestuelle, c’est le Broadway des années 30 qui résonnera : seront immergés quelques-unes des plus belles plages musicales de Mr. G., compositeur aux influences mélangées, entre jazz, ragtime et musique savante européenne. Le duo Montalvo/Hervieu impose une nouvelle fois sa marque de fabrique qui est le mélange des genres et la transversalité entre les arts, tel la transparence de l’eau. Lunettes de soleil, masque et tuba seront

 Le swing. Introduction En langue anglaise, swing, c'est balancement. Le Swing n'est donc pas une musique, mais un élément du jazz qui se rapporte à son interprétation. Swing désigne la période du jazz des années 1930 illustrée par les grands orchestres blancs (Benny Goodman, par exemple) ou noirs, à l'origine de cette musique (Fletcher Henderson, Jimmy Lunceford, Count Basie, Duke Ellington) et les petits ensembles de la même époque. 1 - Le swing en ses débuts. Entre 1915 et le début

Fiche N° : 1 Discipline : Education Musicale Œuvre de référence : City Life Leçon : Ecoute N°1 « Cheek It Out » Thème : Séquence N°2 « Société contemporaine » ARTS DU SON Thématique concernée : Arts, Espace et Temps Documents : La flûte

Strange fruit chantée par Billie HOLIDAY Analyse de l'œuvre : L'auteur de cette chanson est Billie HOLIDAY. Elle est née le 7 avril 1915 et morte le 17 juillet 1959. Elle chante Strange Fruit, une musique de jazz, illustré d'une photo pour mieux percevoir l'horreur de la scène. Billie HOLIDAY chante ce texte à partir de 1939 à New York , dans un café. Elle avait le don de pétrifier l'assistance chaque fois qu'elle le chantait et n'a jamais perdu de son impact au fils des années. Strange

deuxième roman L'Écume des jours 1), apparaît très étroitement liée à la référence au jazz. Voyons les prétendus date et lieu de rédaction : « La Nouvelle-Orléans. / 10.3.462) ». La date coïncide avec le 26éme anniversaire de l'auteur, et le lieu, la Nouvelle-Orléans, est le berceau du jazz ; l'œuvre constituerait donc un hommage au jazz que l'auteur a adoré toute sa vie. Par ailleurs, les références au jazz abondent dans toute l'histoire ; ainsi la nomenclature fictionnelle des rues, «

français né en 1920 et mort en 1959. En outre il est également ingénieur car il est reçu dans la prestigieuse école d’ingénieur Centrale. Très tôt il se fascine pour la musique et plus particulièrement pour le Jazz. Il devient trompettiste et passe le plus clair de son temps dans des clubs de Jazz. Cependant il montre également une attirance pour le mouvement existentialiste, un courant philosophique du XIX et du XXème siècle qui consiste à s’interroger sur son existence personnelle, auquel il contribue

chansons sont axées sur le nationalisme et la révolution.  La musique de Marcel Khalifé n'a pas de frontières.  "Il y a toutes les cultures du Maroc. C'est varié, alors il y a tout dans la musique, il y a l'Orient, l'Occident, le folklore, le jazz, la musique africaine, ils y a tout, parce-qu'il faut aller plus loin. Il y a l'horizon, la lumière qui est là-bas, il faut y aller tous ensemble", dit Marcel Khalifé. Autre style avec le Marocain Med Jbara. Artiste rock, il joue de la guitare depuis

Le jazz dans le cinéma 1. Jazz et documentaire Pourtant, il faut attendre l’après-guerre et l’apparition des documentaires pour que la rencontre se concrétise. La spécificité rythmique du jazz retient l’intérêt des documentaristes et se marie parfaitement avec ce type de narration. Le premier exemple marquant est «Le Vampire » De Jean Painlevé en 1947. Un documentaire sur les chauve-souris sur une musique de Duke Ellington. Quelques années plus tard, en 1956, André Hodeir met en musique

1) On retrouve par exemple, dans la mélodie, à plusieurs reprises, des syncopes, caractérisant souvent le ragtime, qui est un genre musical d'origine américaine et principalement initiateur du Jazz : A la mesure 14, par exemple, on retrouve des accentuations sur "Black, Black, Black" et notamment aux mesures 25 et 26 sur "you" et "I". L'alternance notamment des basses et des accords plaqués au piano, aussi appelée "faire des pompes" est présente dans cette pièce : Aux mesures 10, 14 et 17, par

au lycée Condorcet. Boris Vian entre à l'École centrale de Paris en 1939. A l'issue de ses études, il travaille, jusqu'en 1946, comme ingénieur à l'AFNOR (Association française de normalisation). Durant ses loisirs, il écrit et joue de la musique de jazz tout en fréquentant les cafés de Saint-Germain-des-Prés. Boris Vian publie des romans, noirs et sarcastiques, qui lui permettent de vivre, sous le pseudonyme de Vernon Sullivan. Le plus célèbre et controversé est "J'irai cracher sur vos tombes", écrit