Contrôle Interne Coso 1

| SOMMAIRE Introduction…………………………………………………….…………………………… 4 Objectifs…………………………………………………………….………………………... 4 Pré-requis…………………….……………………………………………………….……… 4 Séquence 1 : Le rôle de l’audit dans l’organisation d’une entreprise………5 I. Principes et normes…………………………………………………………………… 5 1.1 Principes fondamentaux…….………………………………………………..…..… 5 1.2 Normes…………………………………………………………………………………… 6 II. Compréhension du rôle de

risques sera présentée par M. Lajtha, enfin l’intervention de M. Munier permettra un croisement entre les approches théoriques et pratiques de la gestion du risque dans une entreprise. Pierres-Charles Pradier, maître de conférence, Université de Paris 1 : « La notion de risque dans les entreprises aujourd’hui » Je présenterai dans un premier temps une typologie des risques tels qu’ils sont vus par les économistes afin d’aborder les outils d’analyse des risques de la théorie économique ; je m’intéresserai

Mémoire de fin d’étude pour l’obtention du Diplôme des Etudes Supérieures Approfondies «Audit et Contrôle Internes Publics : Evolution profonde des métiers de contrôle»  Cas de la Trésorerie Générale du Royaume Samir SAMRI UFR Management et Audit des Organisations Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales de Fès UNIVERSITE SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH Sous la direction de Mme Asmae DIANI Membre de jury  m. elghali saadani président

Synthèse CI Activités de contrôle Objectif : prévenir et détecter les erreurs, défaillances et fraudes Processus : analyser l’environnement de contrôle → évaluer les risques → implantation des activités de contrôle par la direction (mais tout le monde participe) Principes directeurs : Activités de contrôle doivent être liées aux objectifs de l’entreprise et servir à minimiser l’impact et les probabilités des risques (car les risques sont créés selon la nature des activités de l’entreprise

conseil et e-front, le Centre d’Etudes Recherches de l’ISTEC (CERI), organise le colloque scientifique : Approches du risque opérationnel : Entre conformité, fiabilité et résilience Le 6 décembre 2011 ISTEC, 12 rue Alexandre Parodi, 75010 PARIS 1 Colloque du 6 décembre 2011 – ISTEC Paris Après les prises de consciences écologiques, les crises sanitaires et les controverses nées de l’édiction d’un « principe de précaution », la société du risque prédite dès les années 1980 par Ulrich Beck

Ainsi au lieu des trois phases de Taylor, Deming présente quatre phases, résumées dans le sigle PDCA :     Ces phases sont illustrées par la roue de Deming (ci-dessus). Un tour de roue correspond à un cycle d’obtention du produit. A la phase « contrôle » (see pour Taylor, check pour Deming), comportant entre autres choses, le tri des bons et des mauvais produits, succède, en effet, la phase « amélioration » qui tient compte des résultats obtenus dans le cycle en achèvement, afin d’améliorer les

matière de contrôle interne Avant-propos u cours des dernières années, les législateurs à travers le monde ont émis de nouvelles lois dans le but d’améliorer la gouvernance des entreprises. Le 15 février 2007, la Financial Services Agency, agence de surveillance du système financier au Japon (ci-après « la FSA »), a émis la « Norme d’évaluation et d’audit du contrôle interne sur le reporting financier » et la « Norme de mise en œuvre de l’évaluation et de l’audit du contrôle interne sur le reporting

Evaluation du dispositif de Contrôle interne Chapitre I. Le guide de l’auditeur Contrairement à un ensemble de métiers, celui d’un auditeur est très normé. Devant se suffire à un assortiment de procédures et de lois, l’auditeur doit avant tout élaborer un plan de travail. Connaître, évaluer et finalement consentir ou non. Ainsi dans toute mission d’ audit, et précisément après la phase de la prise de connaissance, l’auditeur procède à une appréciation du contrôle interne de l’entité auditée et ce

1 (IFRS - US GAAP / Bâle 2 - Solvency 2) Docteur (Ph.D) Université Laval (Québec) Docteur Université René Descartes (Paris V) Docteur Université de la Sorbonne (Paris III) PDG / Riskosoft 1 2 ! • Introduction page 3 page 6 page 6 page 7 I- Position de l’ERM en tant que système Global d’information de gestion 1- Le débat initial chez SIEBEL sur la complémentarité nécessaire de l’ERM et du CRM 2- Les cinq exigences réglementaires qui ont déterminé le positionnement de l'

d’un système d’information automatisé IV. Les ressources informatiques V. Processus informatiques VI. Notion de gouvernance des technologies de l’information Chapitre II : Contrôles informatiques et normes de bonnes pratiques I. Politique de sécurité informatique II. Contrôle de gestion informatique III. Contrôles techniques informatique IV. Référentiels et normes de bonnes pratiques Chapitre III : Introduction a l’audit informatique I. Notion d’audit II. Définitions et objectifs de