Controle Par Un Organe Politique

l’on suit cette logique, tous les organes de pouvoir sont soumis, directement ou indirectement, à la Constitution. Un État sans Constitution, est un État dont toute l’organisation est régit par la coutume. Or la coutume ne garantie pas réellement la stabilité juridique et aurait plutôt tendance à laisser place à un gouvernement arbitraire. Donc la Constitution apparaît comme nécessaire, afin de garantir le respect de ses droits et définir les différents organes de l’État. La Constitution occupe

loi ne peut être liberticide. Pourtant, la constitution de 1958 s’est accompagnée d’un contrôle de constitutionnalité. Ce contrôle de constitutionnalité a pour but de contrôler la constitutionnalité des lois, donc la conformité des lois par rapport à la Constitution. L’État de droit est un concept juridique, philosophique et politique qui suppose la prééminence, dans un État, du droit sur le pouvoir politique, et c’est également l’idée suivant laquelle les autorités publiques sont-elles mêmes

lui-même ; et les États ne peuvent différer réellement que par l'organisation différente de ces trois éléments. », un extrait de « du politique ». Il est le précurseur de la théorie de séparation des pouvoirs. La séparation des pouvoirs est un principe qui tend à prévenir les abus du pouvoir en confiant l'exercice de celui-ci non à un organe unique, mais à plusieurs organes, chargés chacun d'une fonction différente et en mesure de se faire mutuellement contrepoids. L’origine de cette théorie est britannique

1 : Présentation du Droit constitutionnel Paragraphe 1 : Evolution de l’objet du DC En 1987, Mr Jean Gicquel a dit : «  l’objet du Droit Constitutionnel est l’encadrement juridique des phénomènes politiques » Le DC s’intéresse surtout au fonctionnement et à l’existence de l’Etat. L’activité politique au niveau national est d’après cette définition un phénomène justifiable du Droit. En limitant le droit de l’Etat, le Droit Constitutionnel garantit le droit et la liberté des personnes. Sous la

détaillé) D’après Georges Clémenceau, « il y’ a deux organes inutiles : la prostate, et le chef de l’État ». Cet homme, ayant vécu de 1841 à 1929, a donc connu la France sous l’égide de la 3ème République. Cette période est donc le point de contact avec notre sujet «

il existe des règles applicables à l’Etat et que ces dernières doivent être connues , dans le Droit Constitutionnel réside donc une idée de progrès . Le Prince de Machiavel ne cesse de détermine les règles du bon gvt et donc du Bon Prince (Enjeux Politique ) , le siècle des lumières traduit le combat entre les gouvernant et les gouvernant la reconnaissance des règles implique que l’Etat doit respecter ses règles et pour cela il faut les connaître (progrès des hommes / élément de civilisation ) Le Droit

républiques précédentes une forte instabilité politique. Le Parlement rassemble des élus qui représentent les citoyens, légifèrent (c’est-à-dire votent les lois) et contrôlent le Gouvernement. Auparavant, Vote et contrôle étaient étroitement liés. Aujourd’hui, les deux fonctions se sont étendues et séparées. Le Parlement délibère puis vote la loi. Le Gouvernement, qui a pu participer à l’élaboration de la loi, l’exécute. Parallèlement, le Parlement contrôle l’action du Gouvernement, en ayant la

est acquise par la naissance (filiation, droit du sol), par méthode artificiel (temps passer sur le territoire etc.) ? Cette notion de nationalité est à ne pas confondre avec celle de citoyenneté (le citoyen est celui qui participe à la décision politique dans son Etat). (Selon certains, la présence de certaines populations n’est pas tolérable sur un territoire, hors le traité de Maastricht, il doit y avoir libre circulation des personnes.) Selon certains, il faut que la population conjoncture un

pouvoir exécutif. Il s'agit donc d'une forme de régime représentatif dans lequel le Parlement détient la primauté sur les autres autorités. Le régime parlementaire recouvres des réalités très diverses tant les nombreux pays l'ayant choisi comme régime politique le mettent en œuvre différemment. On notera notamment la différence entre le parlementarisme dualiste dans lequel le gouvernement est responsable à la fois devant le Parlement et devant le Président de la République et le parlementarisme moniste

classification des régimes politiques A- L'équilibre légitimité - responsabilité - pouvoirs Le peuple n’accepte d’être gouverne que par des gens que l’on peut contrôler, c’est le principe de base du régime parlementaire, c’est le contrôle du pouvoir politique. Ces régimes instaurent un équilibre parfait entre 3 notions : légitimité (idée qu’on se fait de ce qui est juste), la responsabilité (pouvoir contrôler et révoquer a tout instant), et le pouvoir de chaque organes (combinaison entre les 2 premières