Controle Budgétaire Bancaire

constituent la première ressource des CL (47,5% des recettes de gestion en 2007). Ils ont augmenté fortement ces dernières années ; les engagements hors‐bilan sont très limités, voire inexistants ; la flexibilité fiscale est réduite ; la planification budgétaire est insuffisante ; la définition du champ de compétences des CL, malgré les avancées apportées par la charte communale de 2002, pourrait être améliorée. Analystes  Mehdi Ali Fadli + 33 1 44 29 91 45 mehdi.fadli@fitchratings.com Christophe Parisot

BIBLIOGRAPHIE  Ouvrage : Alazard, C., « Contrôle de gestion manuel et applications.-paris »: Edition Dunod, ,2001. Boisselier, P, (2001) : «  Contrôle de gestion-paris », Edition Valbert ,2001-pp-9-15. Charpentier, M.,(1998) : « Secteur publique et contrôle de gestion ». Editor D’organisation, pp-24-30 De Guorny, J, (1998) : « contrôle de gestion et choix stratégiques » ,Edition DELMAS, pp-55-173 De René,D ,(2002) :« Le contrôle de gestion dans le secteur public ». Collection L.G.D.J.pp :32-196

des périodes sombres. De la même manière, le déficit du budget a pu être financé sans pression sur les taux. Bien au contraire, le mouvement des taux a continué sa tendance à la baisse. Je reviendrai d’ailleurs tout à l’heure, sur la politique budgétaire quand j’attaquerai la politique monétaire. Je dirai, enfin, que nous connaissons une accélération de l’investissement public. Et il faut souligner à cet égard le rôle central et stratégique joué par le fond Hassan II. Nous remarquons son intervention

transactions courantes. 7) Qu’appelle-t-on l’effet d’éviction ? Est le fait que l’Etat utilise toute l’épargne au détriment de l’initiative privée. 8) Quels principaux indicateurs permettent de mesurer le déficit budgétaire ? Principaux indicateurs qui mésurent le déficit budgétaire: ce sont les dépenses (modification de la structure des dépenses par fonction ou par ministère, évolution de la répartitition entre dépense de fonctionnement et dépense d’investissement, aide aux entreprises ou reduction

Organigramme : La trésorerie provinciale de Nador est assimilée à une division de l’administration centrale, elle est composée de trois services dont chacun s’occupe de l’exécution de ses tâches : • Le service des recettes publiques, des opérations bancaires et de la comptabilité. • Le service des dépenses publiques. • Le service des collectivités locales et des affaires générales. Ces services sont assimilés à des services de l’administration centrale, l’organigramme suivant, nous montre la disposition

des deux grands piliers de la politique économique, avec la politique budgétaire, elle a longtemps été considérée comme un instrument devant contribuer à la réalisation des objectifs de la politique économique. Le rôle dévolu en principe à la politique monétaire dans le cadre de la politique générale est de contrôler la quantité de monnaies disponibles dans l’économie et de faire en sorte que l’activité du système bancaire puisse se dérouler dans de bonnes conditions afin de satisfaire l’intérêt

11 * Les services disponibles à la TP d’Ouarzazate 12 Bureau d’ordre  12 Service Informatique  12 Secrétariat  . 12 La caisse  12 Service perception  13 Service contrôle dépenses engagement  13 Service bancaire  20 Service comptabilité  22 CONCLUSION......................................................................................................23 INTRODUCTION La formation universitaire constitue une base

consommateur en passant par ceux des intervenants dans le secteur céréalier, s’est pris en charge la gestion de cette ressource. A cet effet, l’Office National Interprofessionnel des Céréales et des Légumineuses, instrument étatique, est chargé de contrôler, réguler et approvisionner, réglementairement le marché des céréales et des légumineuses et de faire appliquer la loi par la filière céréalière. L’objet de ce rapport est de présenter l’ONICL, plus précisément la division financière et comptable

fallu attendre que la crise de la dette publique révèle les vices de construction de l’UEM pour que ce sujet soit à nouveau à l’ordre du jour. Outre ce besoin de renforcer la coordination des politiques économiques – et non seulement la surveillance budgétaire –, les erreurs du passé, individuelles comme collectives, nous forcent à envisager une solidarité accrue pour surmonter cette crise. Les auteurs nous rappellent que cette solidarité n’est pas basée sur la générosité mais sur l’intérêt de chaque

pertes cumulées d’output, certaines analyses du FMI (1998) livrent un diagnostic plus inquiétant : les crises de change des années 90 créeraient des déficits cumulés d’output, relativement au trend, de 4 à 7%, et les crises jumelles, combinant crises bancaires et crises de change, susciteraient des pertes de production de l’ordre de 15%. L’ampleur de ces chocs s’explique par la taille des reflux de capitaux. Lors de la crise asiatique de 1997, les sorties nettes de capitaux provenant des cinq pays les