Contremaître

planificateur. Section 2 : Taylor et les théories physiologiques de l’organisation Taylor (1856 – 1915) issu d’une famille aisée américaine contraint d’arrêter ses études pour des problèmes de santé. Il intègre rapidement l’entreprise comme apprenti contremaître puis ingénieur. En 1911, il publie son ouvrage de référence : Le principe de la direction scientifique. I. Les théories de Taylor 1. Le scientisme Taylor a la certitude que la science peut résoudre tous les problèmes et qu’elle peut

-OST (organisation scientifique du travail) : inventé par Taylor : parallélisassions des taches, notion de poste. -La fonction RH est absente à sa plus simple expression. -Salaires versés en espèces -formation sur le tas, dispensée par le contremaître -Recrutement rudimentaire -Conditions de travail difficiles. Travail difficile notamment physiquement -Répartition des tâches verticalement (col blanc/col bleu) Influence des idées : les travaux de l’école classiques (Gilbreth, Taylor, Fayol

machiniste mécanicien. « Vers la fin de la dépression », en 1878 (22 ans), il rentre à l’atelier d’usinage chez Midvale Steel Company. Son parcours dans l’entreprise l’amène des postes d’ouvrier à employé de bureau, puis machiniste, chef d’équipe, contremaître d’atelier et enfin ingénieur en chef. Il va déposer des brevets, notamment en matière de découpe rapide des métaux, ses 1ères publications concernent ce domaine et datent de 1894 (38 ans). En tant qu’ingénieur, il s’entoure très vite de collaborateurs

incontestable est s’applique à tous. Un système de contrôle étroit : L’organisation doit être complétée par un encadrement : supervision par fonction (contremaitres : ils préparent, mettent en œuvre, réparer) ordre (discipliner, ordonnancement des travaux, fiches d’instructions, enregistrement des temps et des couts…) Pour Taylor les contremaitres constituent un premier étage d’un département centralisé et puissant qui est chargé de penser c'est-à-dire qu’il a pour mission tout travail d’organisation

solutions qui résolvent le problème posé. La clé est le management ou plutôt les managers. Toutes les actions sont élaborées et mises en place par des personnes ayant un certain niveau de responsabilité hiérarchique. Le plus petit niveau étant le contremaître ou le chef d’atelier. Les opérateurs n’apparaissent pas et sont considères comme des exécutants qui obéissent de façon mécanique, une composante des machines. . Le seul levier de mobilisation évoqué est la modulation du système de prime qui doit

Face à de tels changements, le système d’organisation du travail hérité de la manufacture était devenu obsolète et de moins en moins adapté, parce que ce système se caractérisait essentiellement par un face à face entre 2 catégories d’acteurs : contremaitre et ouvrier. Il gardé en effet leurs compétences techniques dont ils étaient les seuls maitres et qui les rendaient irremplaçable. L’apparition des ingénieurs va bouleverser tout ça et vont développer un puissant mouvement de rationalisation,

standardisé qui s’applique à tout. Les travailleurs sont sélectionnés et formés de manière précise à des tâches. Contrôle du travail réalisé par des contremaitres. On est formé sur des tâches extrêmement spécifiques qu’on va appliquer de manière répétitive sur des cadences assez élevée. Il y a un contrôle de travail qui est réalisée par des contremaitres pour le suivit. Rémunération au rendement pour améliorer la productivité On est rémunéré au rendement pour essayer d’améliorer la productivité

comme l’usage de la langue gaélique et surtout la religion catholique, empêchent leur assimilation au sein de populations majoritairement anglophones et protestantes. La deuxième génération réussit à se hisser à des emplois mieux considérés comme contremaître, postier ou conducteur de tramway et parfois à faire fortune. La fi gure du policier irlandais devient ainsi familière aux habitants de New York. *Tous les Irlandais gardent une identité forte et entretiennent le souvenir de l’Irlande, en soutenant

des prud’hommes par la loi du 27 mai 1848 que confère à l’institution un élément fort de sa forme actuelle avec l’apparition du paritarisme. La loi de 1848 déclarait électeurs pour les conseils de prud’hommes tous les patrons, chefs d’atelier, contremaîtres, ouvriers et compagnons âgés de 21 ans et résidant depuis six mois au moins dans la circonscription du conseil de prud’hommes. Ainsi, au cours du 19ieme siècle, les conseils de prud’hommes s’ancrent dans le paysage judiciaire et social de la

distinguer rigoureusement les exécutants des concepteurs du travail Système de salaire au rendement : L'homme n'aime pas le travail et cherche juste une récompense matérielle (=salaire) Système de contrôle du travail (ouvrier surveillé par un contremaître) Apports et limites Apports : hausse du niveau de production car économie de temps et de geste ainsi qu'une convergence d'intérêts entre l'entreprise et les salariés. Limites : vision très appauvrie de l'homme au travail (rôle de la rémunération