Contre-pouvoir

Dans ce commentaire de texte je vais répondre à la question de si c’est nécessaire de se soumettre à des lois ou si par contre il ne faut pas les respecter, je vais comparer avec des extraits d’Antigone de Jean Anouilh. Voici mon opinion sur ce sujet : Les lois sont obligatoires et doivent se faire respecter puisqu’elles sont crées dans la perspective d’être juste. Les lois permettent à l’homme de respecter sa propre société et de nous respecter mutuellement. Les lois sont les mêmes pour

plus la peine d’investir tous ces efforts pour voter. Par exemple, un membre de la société pourrait réfuter la valeur de voter en soulignant la corruption qui est d’actualité au Québec ce qui aliène le pouvoir de l’électeur. Il est vrai que nos désirs personnels sont rarement comblés. Par contre, il faut nuancer nos désirs personnels de nos désirs de société. Dans une démocratie, la majorité remporte toujours sur l’individu. Par extension, les désirs collectifs de la majorité vont toujours empoter

à la toute puissance prétendue de leurs passions ou de leur volonté. Enfin, une fois que nous aurons déterminé si l’homme est capable d’être l’esclave de lui-même, nous pourrons nous demander s’il a également le pouvoir de se libérer de sa propre emprise, et de choisir la liberté contre l’asservissement qu’il s’impose à lui-même. Un esclave est une personne placée sous la dépendance absolue d’un maître. Cette dépendance implique l’abdication de son libre arbitre au profit d’autrui, c'est-à-dire

Définition du pouvoir : Le pouvoir c’est d’abord une relation. Une relation de pouvoir n’est pas forcément politique. Dans une relation de pvr il y a 4 éléments, la volonté de celui qui émet des ordres ou interdictions ; L’obéissance de celui à qui l’ordre va être adressé ; La désobéissance possible ; La punition. Ces 4 relations donnent lieu à différents modes spécifique du pvr. Le 1 er mode est celui de la puissance Cette puissance peu utiliser la violence, la volonté est liée à l’utilité possible

fils de Claudius, avez nommé César l’heureux Domitius » , On devine à ce moment tout le poids de la culpabilité dans sa réponse V.21-22-23 « Il me le doit, Albine. Tout, s’il est généreux lui prescrit cette loi. Mais tout, s’il est ingrat lui parle contre moi. ». Par les derniers vers d’Agrippine, Jean Racine nous plonge littéralement dans le drame, le risque de tout un peuple d’hériter d’un tyran que personne ne soupçonne mais qu’Agrippine, elle, a lu, deviné et qu’elle déclame à ce moment de la

Résumé AUTORITE POLITIQUE Énonce les différentes sortes d'autorités. 1er paragraphe : 1ère ligne → aucun homme dès la naissance ne reçoit le pouvoir de diriger, il le gagne. La liberté on l'obtient quand on peut penser par soit même. Si jamais la nature a put donner une autorité, se serait la puissance paternelle (autorité paternelle). Mais elle a des limites, dès que l'enfant est en mesure de différencier le bien et le mal elle se finit. Si il y a une autre autorité, elle ne vient

l'histoire, du moins c'est à titre de règle qu'elles s'imposent. ainsi comprise, la constitution est essentielle créatrice de l’état de droit. ce résultat est acquis, d'une part en raison de la signification que l'existence d'une constitution donne au pouvoir, d'autre part en raison de la situation qu'elle confère aux gouvernants. Juridiquement et politiquement, la constitution est créatrice d'ordre et d'unité.juridiquement, elle introduit dans la multiplicité des règles de principes d'une

naturelles ou sur des circonstances propres à telle ou telle situations. Comme si les forces qui s'exercent sur nous pouvaient quelque chose contre notre volonté, contre nos décisions. Ainsi, je ne suis pas fatigué au point de ne plus avancer, je me déclare fatigué, je donne à ma fatigue une valeur telle que je ne puis que la subir. J'ai accordé un pouvoir à la fatigue, j'ai décidé de la valeur de la fatigue, en fait, j'ai décidé de la subir. Pourtant il ne tenait qu'à moi de poursuivre ma route

quelconque attaque extérieure. Ce rapprochement peut aussi se faire lorsque la puissance de l’étranger s’exprime avec un caractère autoritaire que le peuple craint. Il serait en effet plus raisonnable de se lier au plus puissant plutôt que de se liguer contre lui lorsque l’on est le plus faible, car nous serions dans l’incapacité d’y faire face. Cette envie de se rapprocher du plus puissant semble être plus raisonnée, à l’inverse de la fascination et de l’admiration. Cependant, il reste difficile d’entrer

Fiche de lecture n°4 : Partie 4, chapitre III : « Que les sentiments des peuples démocratiques sont d’accord avec leurs idées pour les porter à concentrer le pouvoir » Dans ce chapitre, Tocqueville nous explique comment l’égalité a permis la mise en place d’un gouvernement démocratique aux Etats-Unis. En effet selon Tocqueville, l’égalité permet aux « hommes qui habitent dans des pays démocratiques n’ayant ni supérieurs, ni inférieurs, ni associés habituels et nécessaire, se replient volontiers