Constitution apostolique

d’Ivoire. II) Les faits. III) Les réactions nationales et internationales. IV) Derniers rebondissements. I) Le régime politique de la Côte d’Ivoire. En Côte d'Ivoire " La constitution est la loi suprême, la loi fondamentale, celle qui a autorité sur tous les autres textes législatifs. " Les constitutions ivoiriennes sont les différents textes écrits qui ont organisé les institutions de la Côte d'Ivoire à un moment donné de son histoire et primé sur les autres textes législatifs (en vertu

votée, on n'en parle plus, elle est acceptée. Pas de remise en cause permanente sauf que l'on a un peu réinventé l'incertitude législative avec la QPC qui permet quelques années après de se poser la question de savoir si la loi est conforme à la constitution. Le conseil constitutionnel décide que la garde à vue n'est pas constitutionnelle et il donne un délai au législateur pour remédier à ce problème. Pose le problème du moment du contrôle de constitutionnalité. Dans ce consensus qui émerge, il

Les problèmes liés à la dualité de juridiction.( juridiction adm et judi ) Le poids de l'histoire a toute son importance dans la formation d'un dualisme judictionnel en France. En effet, les lois des 16 et 24 aout 1790 et le décret du 16 fructidor an III distinguent les fonctions administratives des fonctions judiciaires. Le dualisme juridictionnel qui résulte de ces textes est à la fois structurel, statuaire et procédural : il n'y a aucun lien entre les juridictions celles-ci sont composées

exécutif participe également à l’édiction du droit pénal, par le biais d’ordonnances et de règlements administratifs. Certains actes relèvent donc du pouvoir exécutif. Ainsi, alors que les règlements ne pouvaient définir les sanctions avant la Constitution de la Ve République, le domaine règlementaire propre à l’exécutif s’est vu élargi et donne désormais plus de possibilités à cet organe. Les autres règlements administratifs comme les arrêtés municipaux ou autres constituent également une source

Introduction: Au XVIIIème siècle, la France est une monarchie absolue. C’est-à-dire que le Roi ( Louis XVI) a tous les droits ( politique, exécutif et juridique) et qu’il a une image de la réincarnation de Dieu sur Terre. Ce type de régime politique domine alors presque toute l’Europe I) Une société française divisée en trois ordres A. Le Clergé, minoritaire et privilégié Jusqu'à la Révolution, le clergé est le premier des deux ordres privilégiés. En raison du respect attaché au caractère

Dissertation d'Histoire niveau Lycée décrivant l'état de la France et des Français à la veille de la Révolution de 1789. Quelles raisons conduisent les Français à choisir la voie de la Révolution ? Extrait: Depuis le règne personnel du « roi soleil » Louis XIV de 1661 à 1715, le régime politique français est une monarchie absolue. Cela signifie que le Royaume de France est dirigé par le Roi qui possède les pleins pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire). Tous les Français doivent ainsi

Cbapitre 3 L'évolution des regimes politiques dans l'histoire constitutionnelle française Ce qui caractérise l'évolution des regimes politiques dans l'histoire constitutionnelle française est la diversité, on dénombre 17 Constitutions, le nombre considéré de Constitution varie selon les auteurs. Pour étudier l'histoire constitutionnelle française il faut d'abord s'interresser au cadre constitutionel, puis aux périodes de l'histoire constitutionnelle française. Section 1 Le cadre de l'histoire

La preuve des droits L’étude de la preuve doit être guidée par la recherche de ses finalités. En amont du procès, la preuve a un rôle de prévention. La partie qui sait que le juge lui donnera tort doit s’abstenir de recourir au juge. La pré-constitution de preuve a donc une vertu dissuasive. En aval du procès, le droit de la preuve articule idéal (la recherche de la vérité) et contingence (la recherche d’un apaisement du conflit). Ainsi se comprennent les textes qui réglementent la preuve et ceux

poser dans chaque matière les règles fondamentales et à déterminer les formes essentielles, les détails d’exécution sont du ressort des règlements ». Cette entrée en matière définit clairement la distinction entre la loi et le règlement. Dans la constitution une distinction formelle est faite entre ces deux actes : la loi émane du parlement tandis que le règlement vient de l’exécutif. Pourtant si cette distinction est claire, dans la pratique elle demeure floue. En effet l’autorité qui édicte les

portent un regard critique sur l'action du gouvernement sont taxés " d'opposants ", aussitôt indexés, ils seront aussi marginalisés par le pouvoir. Cette fébrilité du pouvoir avait été manifeste lorsque Paul Biya avait décidé de faire modifier la constitution pour supprimer la clé de la limitation des mandats ; ceux qui avaient osé des articles d'opinion contraires à cette ligne étaient voués aux gémonies. Le pouvoir au Cameroun vit en permanence dans la psychose du complot. Il se laisse croire que