Consensus de Washington

stratégie. 3. LA NÉCESSITÉ DE « L’ÉTAT PRO ». L’émergence des pays asiatiques a aussi été, tout comme dans certains pays d’Amérique latine, comme l’indiquait M. Tamini, sur un État impliqué. Notre analyse, c’est que d’une certaine façon le « Consensus de Washington » n’est pas célébré. Pour le Dr Su, « L’ÉTAT-PRO » se décline comme suit : État programmeur : Les États africains doivent être animés par une volonté de travailler sur le long terme. État protecteur : Les États africains doivent protéger

mondialisation au niveau du pays, mais avec une répartition très inégale de ces gains (Brésil, Mexique, Chine). - Pays pauvres : Au niveau économique, les pays les plus pauvres restent largement en dehors du processus de mondialisation. Le consensus de Washington requiert des institutions stables et un niveau de développement humain (santé, éducation) que ne présentent pas la plupart de ces pays. Leur ressource économique principale, l'agriculture, reste dominée par les stratégies protectionnistes

technocrates à Washington. CF Joseph Stieglitz : La grande désillusion Qu 4 Comment l’initiative PPTE pourrait sortir le continent africain de la spirale de la dette et de la paupérisation ? Vers un management à l’Africaine ? Qu 5 Quels sont les 5 facteurs explicatifs de la crise actuelle ? Chocs pétroliers, insuffisance de l’accumulation du capital humain, détérioration des termes de l’échange, marginalisation dans les échanges mondiaux, mauvaise gouvernance locale et étrangère (cf consensus de Washington)

de mesures à prendre par les pays emprunteurs. B. Son fonctionnement politique... Le FMI est gouverné aujourd'hui par les 184 pays membres, soit quatre fois plus qu'à sa création et emploie 2800 fonctionnaires, issus de 141 pays. Il siège à Washington. Il est dirigé par Christine Lagarde, ancienne ministre de l'économie, qui a succedé à Dominique Strauss-Kahn en 2011. Il prend de nombreuses décisions en concertation avec la Banque Mondiale au sein du « Comité de développement ». Sa gestion courante

qui, au contraire, en est sorti renforcé. Ainsi, certains pays se sont lancés dans des politiques eugéniques après la première guerre mondiale et à partir de 1930, les scientifiques eux mêmes adopteront l'eugénisme comme idéologie dominante. Ce consensus est illustré par le manifeste des meilleurs généticiens du moment, à Edimbourg, en 1937, qui, tout à la fois, condamnait la politique nazie de préservation de la race et prônait une politique favorisant les plus doués. Ue des caractéristiques

siècle comme la conférence de 1944, qui a créé le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, a stabilisé les relations financières entre pays membres dans la seconde moitié du XXe siècle. Le Sommet qui a réuni des dirigeants mondiaux à Washington en novembre 2008 a amorcé un processus qui pourrait conduire à un tel accord. Que faudrait-il pour aboutir, et quels types d’impulsion ou d’engagement seraient nécessaires? L’Histoire nous offre des leçons utiles à cet égard. À plusieurs reprises

(CAC allshares, CAC40, Euronext,…) b. Explications de l’évolution Début septembre Axa affiche la plus forte baisse du Cac 40, souffrant comme l'ensemble des valeurs financières des inquiétudes autour de Lehman Brothers et de Washington Mutual. En effet le Groupe détient environ 0,05% du total des actions ordinaires de Lehman Brothers et environ 0,02% du total des actions ordinaires d'AIG C'est un véritable krach boursier qui a succédé au rejet du plan Paulson par le Congrès

aussi, à rejoint le " club " des pays critiques envers la politique américaine. L'un des actes fondateurs de la politique du Brics est la non-reconnaissance du Kosovo. En effet, aucun des membres n'a reconnu le Kosovo jusqu'à présent, alors que Washington pratique un lobbying important pour la reconnaissance de l'ex-république. Le Brics s'est aussi opposé aux interventions armées en Libye et en Côte d'Ivoire. Tous membres actuels du Conseil de Sécurité, ces pays se sont abstenus lors du vote de

secteur le plus bouleversé par l'interopérabilité mondiale et les technologies de l'information d'où leur rôle important dans les phénomènes de mondialisation en général. Sous l'influence des différents acteurs, le FMI et la Banque mondiale (consensus de Washington, 1989), ainsi que de la Communauté européenne (les « quatre libertés » de l'Acte unique, 1986) les marchés ont subi à la fin du xxe siècle une triple évolution (parfois nommée « les 3 D »): déréglementation, abolition du contrôle des changes

étrangers. Ailleurs en Afrique ou en Amérique latine, la diffusion du capitalisme est encourager de façon systématique par les institutions internationales ( FMI, Banque mondiale..) et ses institutions ont mis tout en œuvre (notamment par le consensus de Washington) pour que l'ensemble des pays en voie de développement adopte un mode de système capitalisme. Dans ces conditions, la mondialisation déborde de beaucoup le champ simple et géopolitique et aussi et avant tout un processus de contournement