Confrontation Ressort Au Théâtre

III/ Dissertation : Le théâtre vous semble-t-il un genre propice à la contestation ? Vous fonderez votre réponse sur les scènes du corpus et sur les pièces de théâtre que vous avez lues ou vues. Le terme moderne de contestation peut recouvrir une position intellectuelle générale de remise en question, de refus critique d’un ordre établi quel qu’il soit (très fréquent en littérature) et/ou déboucher sur l’idée du théâtre militant ou engagé, mais le corpus par l’échantillonnage permet de ne

exploite une gamme de conflits par la diversité des forces en présence des enjeux et des d’actions.Au théâtre il y a souvent des scènes de conflits, de disputes, dans les comédies aussi bien que dans les tragédies. Les conflits sont une ressource théâtrale riche car il permet de nombreuses interpretations de mises en scène. Le conflit et sa concrétisation, la dispute, sont primordiaux au théâtre. dans L'Avare de Molière, Valère se dispute avec maître Jacques,il lui donne des coups de bâton. Une

mis en scène une relation de domination du valet sur le maître. Dans Dom Juan, comme dans la plupart des comédies de l'âge classique, le couple valet/maître joue un rôle fondamental et la pièce est structurée autour de leurs oppositions de leurs confrontations et des dialogues qu'ils échangent. Les relations entre le faible et le fort, le riche et le pauvre, le puissant et le gueux, le pouvoir de l'argent.  Dès la fin du XVIIe siècle, on assiste à la naissance d'un nouveau type de valet : les fourberies

Introduction (rédigée) Curieusement, dans le théâtre grec, le mot qui désignait l'action d'une pièce – « agôn » – signifiait aussi le « jeu », le « concours », la « lutte », le « combat » ; ce terme marquait déjà clairement que le conflit, ainsi que sa concrétisation – l'affrontement – sont primordiaux au théâtre. Pascal, au XVIIe siècle, va dans le même sens quand il affirme : « Les scènes contentes » (c'est-à-dire les scènes où les personnages sont en harmonie) « ne valent rien ». Le texte théâtral

était attendu. QUESTION DE CORPUS I/ Questions transversales Quatre extraits de théâtre reposant sur le dialogue. L’intensité des dialogues est lisible dans la ponctuation expressive (exclamations, interrogations), dans le rythme (phrases courtes, anaphores, parallélismes…) et dans la répartition de la parole (chaque scène comporte au moins une tirade. Le théâtre permet ici la formulation puis la confrontation des idées en direct, sans intermédiaire, et laisse le spectateur juger des positions

Introduction : a) La figure du roi= figure traditionnelle dans le théâtre tragique. Les dramaturges de la fin du XIX et du XXè s’en emparent, notamment en reprenant les mythes de l’Antiquité (exemple Cocteau, Giraudoux, Anouilh, Sartre). Avant eux, Alfred Jarry, dramaturge précurseur du théâtre de l’absurde, s’empare de cette figure d’ordinaire noble pour créer un personnage grotesque et tyrannique, Ubu, dans la pièce intitulée Ubu roi parue en 1896. Situation du passage + résumé. b) Pbtiques

l’essentiel de ce qui était attendu. I/ Questions transversales Quatre extraits de théâtre reposant sur le dialogue. L’intensité des dialogues est lisible dans la ponctuation expressive (exclamations, interrogations), dans le rythme (phrases courtes, anaphores, parallélismes…) et dans la répartition de la parole (chaque scène comporte au moins une tirade. Le théâtre permet ici la formulation puis la confrontation des idées en direct, sans intermédiaire, et laisse le spectateur juger des positions

Britannicus, Racine Acte III, scène 8 Objet d’étude : le théâtre, la tragédie classique (XVII°) Objectifs notionnels - les stichomythies, le style (le rythme des alexandrins) - la tension dramatique au cœur de la pièce (Acte III central) Objectifs culturels - le jeu des acteurs : le théâtre comme texte et comme spectacle (dynamisme) - le nœud de l’action et le conflit tragique inévitable - vers le dénouement tragique : la crainte grandissante du spectateur face au fatum (catharsis)

bien évidemment à l’ esprit les Choéphores d’ Eschyle qui traitaient de cette même séquence du mythe ou le jeune Oreste vient à Argos après des années d’ exil pour venger son père et rétablir son pouvoir. De la comparaison avec les Choéphores il ressort clairement que Sophocle a donné au personnage de la jeune Electre une place centrale qu’ il n’ avait pas chez Eshcyle, le personnage d’ Electre disparaît complè-tement après la reconnaissance dans la seconde partie de la tragédie consacrée à la vengeance

Temps scientifique, temps théâtral      Le théâtre et le temps   Anne Ubersfeld   Ouvrir un tel colloque est un honneur, mais un honneur dangereux. Comment éviter sur une question pareille de se révéler cuistre ou banal ? Sans compter le danger d’être à la fois cuistre et banal… Acceptons de dire des vérités qui courent les rues. Le théâtre est un lieu du temps ; pour mieux dire, sa matière est le temps, parce qu’il est le lieu de l’irréversible. Sur scène la seconde qui s’enfuit a dit