Confrontation Héros Monstre

défiguré et difforme, devenu une attraction de foire. John Merrick, " le monstre ", doit son nom de Elephant Man au terrible accident que subit sa mère. Alors enceinte de quelques mois, elle est renversée par un éléphant. Impressionné par de telles difformités, le Dr. Treves achète Merrick, l'arrachant ainsi à la violence de son propriétaire, et à l'humiliation quotidienne d'être mis en spectacle. Le chirurgien pense alors que " le monstre " est un idiot congénital. Il découvre rapidement en Merrick un homme

Jason et de Créüse, en défiant l’autorité du roi Créon, en tuant Créüse et enfin en se vengeant de Jason en tuant ses propres enfants. Enfin, si l’on analyse la répartition des personnages, on remarque que la plupart des scènes représentent la confrontation de deux personnages. On le voit par exemple avec Médée qui se confie à Nérine, avec le face-à-face entre Jason et Médée, avec Jason et Créüse qui se déclare leur amour, avec Créon et sa fille qui se réjouissent de leur supposée victoire sur la

après le mythe de Sisyphe. I – Meursault a une existence monotone, assiste à son propre procès, puis comprend la raison de son existence. II – Meursault donne du sens à sa vie, assume cette absurdité, il est conscient de la vie et devient un héros romanesque. INCIPIT (Ouverture du roman, rôle informatif, peut indiquer le genre du roman par le contenu) Cet incipit s'ouvre sur une situation de deuil, tragique, la mère du narrateur est morte. Pourquoi cet incipit est original, déroutant, déconcertant 

mort d'Hippolyte, écrasé par un monstre marin. Phèdre s'est quant à elle empoisonnée et elle monte sur scène pour faire une confession publique avant d'expirer. Thématique Phèdre est un drame qui met en scène la culpabilité, la trahison et l'amour. Ces thèmes sont traités suivant les contre-modèles : plaire et instruire. Personnages HIPPOLYTE : fils de Thésée et d’Antiope, amoureux d’Aricie, ombre de son père. THESEE : fils d’Egée, roi d’Athènes, héros courageux, mari de Phèdre PHEDRE :

seulement à l’enfance. . Les héros de Nothomb subissent une expérience concentrationnaire à cause de leur réclusion dans un espace clos devenu infernal. À l’adolescence, elle lit tout ce qui traite des camps de concentration. . Ses personnages sont souvent brutalement isolés parce qu’ils perdent leur famille ou parce qu’ils sont exclus par celle-ci. Leur espace paradisiaque devient un espace de concentration qui se transforme en espace d’extermination. Les héros se trouvent dans un univers carcéral

=> raconter des histoires —> opposition muthôs/ philosophos. - M fascine à travers les cultures et le Δt. I/ Une figure de l’altérité: - Hegel => Grèce = berceau de l’humanité et universalité de la culture en Occident. - P se forme en confrontation avec la pensée mythique. A) Un scandale grec: - 19è s => mythologie (logos)- science: Andrew Lang, Max-Muller. - Detienne => ces S visent à expliquer comment les M peuvent contenir des « histoires insensées et immorales. ». - Max-Muller:

plusieurs de ses prédécesseurs, à transformer en amoureux le sauvage Hippolyte des modèles antiques. Il dissimule son obéissance aux codes de la tragédie française en la faisant passer pour un respect envers les critères aristotéliciens de la tragédie (le héros doit commettre une faute), suivant en cela Corneille, qui dans son Discours de la tragédie avait estimé que Rodrigue et Chimène "ne sont malheureux qu'autant qu'ils sont passionnés l'un pour l'autre. Ils tombent dans l'infélicité par cette faiblesse

Djebar (1996) ➟ Pistes de lecture, p. 115 ➤ Une œuvre complète : Émile Zola, La Bête humaine (1890) ➟ Séquence 5, pp. 92-111 ➤ Trois groupements problématisés : – Le refus de l’idéalisation ➟ Séquence 2, pp. 29-49 – Le personnage réaliste : un héros ? ➟ Séquence 3, pp. 50-75 – La description : du miroir au symbole ➟ Séquence 4, pp. 76-91 ➤ Dossier Histoire des arts : L’art et le réel (II) : l’héritage de l’Antiquité, le corps idéalisé, p. 48 ➤ Écho de l’Antiquité : Le mythe du Minotaure, p

d’Assia Djebar (1996) ➟ Pistes de lecture, p. 115 ➤ Une œuvre complète : Émile Zola, La Bête humaine (1890) ➟ Séquence 5, pp. 92-111 ➤ Trois groupements problématisés : – Le refus de l’idéalisation ➟ Séquence 2, pp. 29-49 – Le personnage réaliste : un héros ? ➟ Séquence 3, pp. 50-75 – La description : du miroir au symbole ➟ Séquence 4, pp. 76-91 ➤ Dossier Histoire des arts : L’art et le réel (II) : l’héritage de l’Antiquité, le corps idéalisé, p. 48 ➤ Écho de l’Antiquité : Le mythe du Minotaure, p. 85

traite le héros en sujet d’expérience. Les œuvres plus récentes d’Éric-Emmanuel Schmitt (celles de la trilogie, L’Évangile de Ponce Pilate) pourraient peut-être corroborer en partie les propos ci-dessus. Des textes pour approfondir certains aspects de l’œuvre Otto Rank s’intéresse dans son étude sur le Double au rapport de l’âme (symbolisée par l’ombre et par le Double) avec le sentiment de la culpabilité, de l’angoisse et du désir de mort. Dans la perspective littéraire, un héros peut se