Conformisme Anticonformisme

est toujours écouté avec attention. A Le conformisme, la pression en groupe Plusieurs expériences ont démontré comment les groupes peuvent inciter les individus à se conformer aux normes du groupe. L’expérience de ASCH (1951,1956) s’attache plus particulièrement à étudier le comportement d’un individu exposé à un groupe qui lui est unanimement opposé. Il met ainsi en évidence qu’un nombre important d’individus subit une pression forte au conformisme, c'est-à-dire renoncent à un point de vue personnel

Les attentes se trouvent dans nos a priori, les différentes théories concernent autrui et son appartenance. Nos théories implicites de personnalité (TIP) amènent les stéréotypes (Bruner et Tagiuri:1954), ils ont repris une expérience de Asch (conformisme) qui a observé que s'il donne une même liste de 10 adjectifs dont un diffère d'un côté, une aura chaleureuse (impression des personnes positives, la personne devient généreuse) et de l'autre froide (l'impression est négative, la personne serait

concernant son apparence et sa voix: « Jean encore plus vert », « voix méconnaissable », « la bosse de son front est presque devenue une corne de rhinocéros » (acte II, tableau 2). Donc, Jean se déshumanise peu à peu en devenant un sauvage. Conformisme : Le conformisme dans cette histoire provient du fait que la majorité des gens finissent par se transformer en rhinocéros. Ces gens suivent la masse et n’écoutent pas leurs propres raisons et ni leur bon sens. Cela n’aurait pas eu le même impact si seulement

Le conformisme, selon le psychosociologue Roger Mucchielli (1919-1981), est l'attitude sociale qui consiste à se soumettre aux opinions, règles, normes, modèles qui représentent la mentalité collective ou le système des valeurs du groupe auquel on a adhéré, et à les faire siens. Emprunté de l’anglais « conformist », le mot est dérivé du français, « conforme » et fait référence, au XVIIe siècle, à la personne qui menait une conduite traditionaliste et qui était en accord avec le contexte et le

l’individu va affirmer sa position (même si la position du sujet 2 n’est pas la même que celle du sujet 1). Mais si le sujet 2 (le sujet partenaire se rallie à nouveau au groupe, le conformisme augmente à nouveau et le sujet 1 va aussi aller dans le sens du groupe. D’autres facteurs influent aussi l’intensité du conformisme ou non (sexe, culture, ambiguïté du stimulus, cohésion du groupe...). C’est une expérience qui est toujours valable aujourd’hui. En effet, dans les organisations (qu’elles soient

ascendante : se rendre compte qu'on est « en dessous » → tire vers le haut support social : sentiment agréable, d’intérêt de valeur (ex : alcoolique anonyme et autres groupes de paroles) → se sentir moins seul types d'influence sociale : le conformisme : plus facile de suivre que de s'opposer facteur caractère la soumission à l'autorité : l'innovation influence qui vient de la minorité du groupe → l’expérience de Moscovici, Lage et Naffrechoux (1969) la dissonance cognitive

CONFORMISME Attitude sociale consistant à se soumettre aux opinions, règles, normes, modèles qui représentent la mentalité collective ou le système des valeurs du groupe auquel on a adhéré, et à les faire siens. Ce processus correspond à un changement d'opinion, de comportement ou même de perception des individus, que l'on observe dans des situations de pression sociale ou d'influence sociale. Ce processus est celui de l'influence des opinions, comportements, perceptions, d'une majorité sur

NORMES ET VALEURS Norme : règle de conduite ou de comportement qui détermine ce qu’un individu est censé accomplir en référence à des modèles culturels établis soit au niveau des usages, des mœurs, des lois. Usage : coutume, code de politesse ou de bienséance, de fêtes (anniversaire, tenir la porte…). Ne tombe jamais sous le cou de la loi. Mœurs : règles de conduite à très forte connotation morale et/ou sexuelle. (Homosexualité, alcoolisme, comportement délinquant) (dépend aussi des lois)

majorité provient de la souveraineté absolue du peuple, qui lui donne, croit-il, « le droit de tout faire » (citations de Tocqueville) , la croyance en son omnipotence. C’est pourquoi, afin que les minorités ne soient pas mises au pas, forcés au conformisme et à la bien-pensance, il faut ériger un obstacle à cette toute-puissance. Ce remède contre le premier mal guettant la démocratie est l’association politique.Tocqueville la distingue de l’association civile, dont l’objet est différent. Ce deuxième

que la police, la justice. Ces instances participent donc au contrôle social formel. Le contrôle social peut aussi prendre aussi une forme informelle grâce a la réprobation le rejet la moquerie. Le contrôle sociale informel maintien un certain conformisme social. Il permet aussi de stigmatisé les auteurs d’actes déviants cela sert aussi de confondre ses auteurs avec l’un de ses comportements. (Doc4 p245) Le contrôle sociale à travers l’injure permet de stigmatisé durablement la personne déviante