Conflit d'intérêts

milieu des turbulences financières l’a affaibli. Des tensions inflationnistes sont apparues. Pour éviter les fluctuations monétaires excessives et préserver la stabilité financière, les autorités ont initialement conjugué le relèvement des taux d’intérêt et des réserves obligatoires avec une intervention sur le marché des changes et une taxe temporaire sur les entrées de capitaux à court terme (l’IOF). Mais, face à l’aggravation des perspectives mondiales, le policy mix s’est orienté vers un assouplissement

6 3.3.1.L’illiquidité des banques islamiques........................................................56 3.4. Les risques de marché..................................................................................57 3.4.1.Le risque de taux d’intérêt ou de taux de référence et le risque de marge .................................................................................................................. ...................................................................................

inévitablement par des opérations de transformation d’échéances-emprunter à court terme et prêter à plus long terme. Cette dernière est la source de décalage entre actifs et passifs et par conséquent des risques de liquidité et de prix (risque de taux d’intérêt et risque de change) dont la gestion constitue le fondement même du métier des banques. Pour faire face aux risques de transformation, les banques ont mis en place une gestion des actifs et des passifs qui a connu de nombreuses évolutions :

politique monétaire Différents instruments : - le desserrement de l’encadrement du crédit : l’Etat aX le montant ds crédit que ls banques st autorisées à accorder. (abandonné dps an. 80) - La baisse des tx directeurs : en diminuant certains taux d’intérêt sur des opérations qu’elles noue ac ls banques, la BC réduit leur coût de refinancement (tx qu’elles doivent supporter lorsqu’elles empruntent ds liquidités) et dope ainsi la création mon et dc l’activité. - les opérations d’open market - la diminution

valeurs politiques bien précises. Mais cette idée ne semble pas à l’ordre du jour. Directement lié au premier principe vicié, le second est que l’Union Européenne se refuse à toute politique de puissance. En effet ce refus, semble être la zone de conflit entre les personnes qui désire une Europe non-structurée, ambitieuse et qui s’appuie sur le libre-échange avec les personnes désireuses d’une Europe structurée qui s’affirme au niveau mondial. Enfin, le troisième est dernier principe vicié est encore

tant du point de vue des taux d'intérêt que de celui des avantages comparés pour les intermédiaires financiers, commande d'étudier en parallèle les deux circuits de capitaux. En revanche, la dette publique sera ici prise dans son acception la plus stricte, celle qui est susceptible d'agir sur les marchés de capitaux, soit la dette intérieure de l’État, hors dette extérieure et dette sociale. Dans l'évolution économique et financière de la France, le premier conflit mondial marque le véritable tournant

ou inexistante d’assouplissement de la politique monétaire. • Les rendements obligataires à long terme ont encore reculé et se situent à un plus bas historique dans beaucoup de pays avancés. Dans la mesure où ce repli tient à une baisse des taux d’intérêt réels, et non à une diminution des anticipations inflationnistes, il soutient la reprise. • La baisse des prix du pétrole, qui s’explique dans une large mesure par des facteurs influant sur l’offre, stimule la croissance à l’échelle mondiale et

Retraitements au titre de l’inflation et des subventions 27 5.3 ( Rentabilité 29 5.4. Efficacité 30 5.5 ( Analyse du portefeuille de crédits 31 5.6 Gestion des liquidités 35 5.7 Analyse des taux d’intérêt 35 5.8. Analyse des dettes et du coût des ressources 37 5.9 Gestion des fonds propres (solvabilité) 39 Annexe Calcul du rendement théorique des intérêts 40 Encadré 1 Documents de référence viii

l’entreprise, pour que le prix bas profite au dirigeant (on peut lui vendre mais a un prix normal). Autre exemple : l’entreprise n’a pas à accorder des prêts au dirigeant ou aux salariés à un taux d’intérêt inférieur au prix du marché, car l’entreprise n’est pas une banque mais elle doit respecter le taux d’intérêt en cours. Dernier exemple : les cadeaux démesurés en fin d’année sont considérés comme un acte anormal de gestion (ex. des billets d’avion en fin d’année). Toute la jurisprudence montre que

l'abri en les convertissant en dollars, ni les investisseurs internationaux qui multiplient les précautions pour échapper aux dévaluations. Face à ce manque de crédibilité, les gouvernements n'ont pas beaucoup de choix. Ils peuvent augmenter les taux d'intérêt, retenir les fonds nationaux et attirer des fonds étrangers dont l'économie a besoin pour se développer, mais des taux trop élevés asphyxient l'économie : quand l'argent est trop cher, on n'investit plus et la croissance baisse. Ils peuvent également