Concurrents Jules

siècle) Entre la date de la fondation de Rome en – 754 et la chute de la dynastie carolingienne de nombreux systèmes politiques se succèdent. L’influence de Rome est importante parce que la Gaulle est soumise par les romains dès 120 avant JC et c’est jules César qui achève la conquête -151 du pays. Ce sont les romains qui vont fixer le régime administratif du pays et qui vont intégrer la Gaulle à l’empire romain et cette intégration est déterminante pour l’histoire du droit et les institutions car la

signifie corruption. Poussé par Pompée, Cicéron accepte de défendre Gabinius, qui, pourtant, l’avait fait exiler en 58 av. J.-C. Cicéron ne parvint pas à le faire acquitter du deuxième chef d’inculpation. Gabinius est alors exilé, mais il est rappelé par Jules César en 49 av. J.-C. et envoyé comme légat en Illyrie, où il meurt en 47 av. J.-C. En tant que tribun de la plèbe, Gabinius fait voter la lex Gabinia. Cette dernière donne au consul Pompée les pouvoirs exceptionnels pour lutter contre la piraterie

cardinal Mazarin, peu avant sa mort le 9 mars 1661, recommande à Louis XIV de prendre Colbert à son service. On peut dire que Colbert était alors aux côtés du roi ce qui signifie que l’angle du texte est plutôt élogieux pour Louis XIV et que son concurrent Fouquet est alors dénigré. Ce document commence par évoquer la mort du cardinal Mazarin, qui est un tournant essentiel dans l’histoire du règne de Louis XIV. On peut alors se demander en quoi ce texte évoquant la chute de Fouquet expliquée

en 2014 livre des informations sur l'occupation pré-romaine de la colline de Fourvière. Les restes d'un mur de défense gaulois sur plus de trente mètres, possiblement édifié par des ségusiaves, a été mis au jour. Conforme à la description que fait Jules César dans le Guerre des Gaules des système de fortifications gaulois, il est composé par « un important remblai conforté par un assemblage en couches entrecroisées de poutres horizontales fixées entre elles par de grands clous en fer. Le tout étant

ouvrier renaissant. Marxistes et « travaillistes » se séparent en 1882. Les Socialistes français avant la crise boulangiste (1889) sont divisés en trois grands groupes : Le Marxisme naissant est structuré autour du Parti Ouvrier Français de Jules Guesde (1845-1922), Paul Lafargue (1842-1911) et Laura Marx son épouse : prônant un marxisme vulgarisé, ils subordonnent tout à la prise du pouvoir par les prolétaires ; La Fédération des Travailleurs Socialistes de France perpétue

pirates croates qui nuisaient à leur commerce. Comme les trois autres grands ports d’Italie, Gênes, Pise et Amalfi, Venise était une ville-État qui établit son pouvoir par la proximité maritime, en italien Repubblica Marinara. Elle distança ses concurrentes en plusieurs étapes, la première étant la quatrième Croisade. En 1202-1204, les Croisés l’aidèrent à conquérir plusieurs étapes sur la route de l’Orient (Zara, les îles ioniennes) puis se lancèrent à l’assaut de Constantinople bien que ce n’était

monde ouvrié très diverse et fragmenté, les conditions de vie entre les ouvriers et les patrons ont peu d'écart. La commune de Paris vient en plus de marquer un coup d'arrêt au socialisme avec l'arrêt et l'exil d'un grand nombre de chefs socialistes. Jules Guesde, exilé en Angleterre, se familiarise avec la pensée marxiste alors très peu présente en France. Quand ces chefs socialistes reviennent en France en 1879 avec la loi d'amnistie, c'est la renaissanc du mouivement socialiste. EN octobre 1879 a

de l’évocation d’un jeune Sartre en futur grand homme, il y a dans ces lignes le constat du caractère faussement exemplaire et à coup sûr stéréotypé dont le roman-fleuve risque quelquefois de souffrir. On retrouve un peu la même exemplarité chez Jules Romains (1885-1972), inventeur de l’unanimisme, théorie selon laquelle une âme collective peut être l’émanation d’un groupe humain dont elle transcende et unifie les différences. Il a voulu, avec Les Hommes de bonne volonté, faire plus ou moins Les

| [pic] [pic] Disposition des troupes lors de la bataille d'Actium Le 2 septembre de l'an 31 av. J.-C. pendant la guerre civile romaine qui suit l'assassinat de Jules César, une grande bataille navale se déroule près d'Actium, sur la côte occidentale de la Grèce, dans le golfe Ambracique, au sud de l'île de Corfou. Elle met aux prises les forces d'Octave et celles de Marc Antoine et Cléopâtre. Elle marque la fin

chrétienne). La Cisalpine, intégrée à l'Italie, devint une extension de Rome, tandis que la Narbonnaise constitua une « province » romaine située hors d'Italie (le mot latin provincia a donné le nom Provença en occitan, « Provence » en français). Jules César divise la Gaule transalpine en trois parties : la Celtique (plus tard lyonnaise), l'Aquitaine et la Belgique (cf. carte). Il est probable que ce découpage schématique ait correspondu à des considérations géopolitiques propres aux Romains (comme