Conclusion De Gustave Flaubert

1950/1970. Enfin, la tendance actuelle au foisonnement des genres et le retour au héros de gloire ou de l’autofiction auraient pu être abordés, justifiant ainsi une troisième partie. Dernière remarque, il faut éviter de citer d’autres exemples dans la conclusion, surtout n’appartenant pas au genre que l’on examine. Malgré ces réserves, cette copie est excellente ! Ce serait un bonheur à l’examen ! Bravo ! A l’origine, depuis l’Antiquité, le roman est un récit contant les aventures merveilleuses

de fées. Pasticher ne relève pas de la transformation, comme pour la parodie, mais de l’imitation pure du style. Les Pastiches et autres mélanges de Marcel Proust, par exemple "L’Affaire Lemoine par Gustave Flaubert", stigmatisent ainsi l’utilisation du passé simple et de l’imparfait chez Flaubert ainsi que l’emploi de la conjonction de coordination "et". c.Réécriture Anouilh et Giraudoux et les mythes antiques.  Reprise d’un thème récurrent : le personnage de Dom Juan (Molina, Molière, lord

éléments constitutifs dans Madame Bovary ? Condamnation des dangers du romantisme Madame Bovary est essentiellement une condamnation de cette propension de l’esprit à tout enjoliver, à parer la réalité la plus triviale des feux de l’imagination. Flaubert dénonce un certain romantisme par refus de l’invraisemblance et haine des lieux communs. Il se moque de la littérature dont Emma se gorge au couvent : « Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons

qui ont entraîné la mondialisation, les grandes guerres qui ont entraîné des génocides…Pour revenir aux personnages, les personnages sont caractéristiques, souvent ce sont des héros et par leurs qualités ou leurs défauts, le lecteur en tire des conclusions et comprend donc certains mécanismes de notre monde, c’est justement ce à quoi la question nous amène à débattre : « Pensez-vous que les personnages de romans puissent vous aider à mieux comprendre le monde ? » Cette question nous amène à une autre

dérivation : la transformation qui s'en prend à un texte ; l'imitation qui reproduit à un style, une manière. => distinguer la parodie (dans Ulysse Joyce transpose l'Odyssée) du pastiche (Proust, dans l'Affaire Lemoine imite les styles de Balzac, Flaubert, etc.). — Trois « fonctions » (intentions et effets) pour chacune ces relations de transformation ou d'imitation : régimes ludique, satirique ou sérieux. Soient six catégories : trois par transformation: PARODIE(Boileau, Chapelain décoiffé) TRAVESTISSEMENT

TEXTE 1 : Gustave Flaubert, célèbre romancier également l’auteur de …, publie le roman Madame Bovary dans la seconde moitié du XIXème siècle (1857). Le titre a un rapport avec le personnage principal mais n’a pas de lien direct avec l’œuvre, c’est donc un incipit original et romanesque qui a pour but de séduire et informé le lecteur mais aussi « in medias res », en plein cœur du récit. Cela à un intérêt narratif ; l’entrée dans le roman est dynamique. Madame Bovary est la femme de Charles Bovary

toujours différent de notre monde réel. Il est le porte parole de celui qui en est le créateur car c’est l’aboutissement d’un travail rude pour nous offrir une vision du monde qui à chaque fois est si spécial suivant les écrivains. Agatha Christie, Gustave Flaubert, Emile Zola, Victor Hugo et tant d’autres des plus grands romanciers ont écrit des chefs-d’œuvre dans lesquels ils ont donné vies à des personnages qui resteront à jamais des composantes incontournables de la réussite de leur géniteur. Toutefois

décide de faire refléter le peuple pauvre et travailleur, et non pas la haute société et les bourgeois à qui l’on accordé une importance considérable jusqu’à lors, car l’on avait honte des personnes défavorisées. Enfin dans Madame Bovary, Gustave Flaubert peint les mœurs de la société de l’époque de façon identique de telle sorte que les femmes s’identifient à la provinciale abandonnée car ses sentiments se rapprochent de ceux des femmes du même rang social qu’elle. La plupart du temps, le roman

Question du corpus : Le corpus soumis à notre étude «  Le personnage du roman, du XVIIe siècle à nos jours » comporte trois extraits de roman. Le texte A est l’incipit de Madame de Bovary, œuvre écrite par Gustave Flaubert en 1857. Le texte B est extrait du roman de Victor Hugo L’homme qui rit, 1869. Le dernier texte, texte C, est un passage du roman Le Moulin de Pologne rédigé par Jean Giono en 1953. L’enchainement de ces trois expose un contraste au niveau d’un même thème commun :

Commentaire littéraire sur « Madame de Bovary » Introduction Gustave FLAUBERT est un grand écrivain réaliste français du 17ème siècle, auteur du roman « Madame de Bovary ». Il l’écrit entre 1851 et 1856, et fait l’objet d’un procès, à cause du style d’écriture et des pensées retranscrit dans l’ouvrage, c’est jugée « immoral », malgré tout le roman est publié en 1857 et cette œuvre connait un grand succès. L’histoire de son roman est très simple : la vie banale, routinière d’une femme et d’un