Conclusion Caligula

Sa sotte flatterie | |Eut un mauvais succès, et fut encore punie. | |Ce Monseigneur du Lion-là | |Fut parent de Caligula. | |Le Renard étant proche : Or çà, lui dit le Sire, | |Que sens-tu ? Dis-le-moi : parle sans déguiser. | |L'autre aussitôt

modes : infinitif de narration et de présent gnomique. Cette fable a une visée double : divertir/plaire mais aussi instruire. II) La représentation de l’animal A) Des types traditionnels Le lion représente la puissance, l’autorité, la force brute (Caligula), « et la griffe du prince » accentue cette impression. Le singe est la symbolique de la flatterie mais aussi de la bêtise. Le renard représente la ruse, il reprend la tradition du Roman De Renart. L’ours symbolise la maladresse, la lourdeur,

que Sénèque (=>philosophe de l'école stoïcienne, un dramaturge et un homme d'État romain du Ier siècle de l'ère chrétienne.) fut son précepteur, on se souvient de Néron comme un despote cruel, notamment pour avoir assassiné sa mère Agrippine (=la sœur de Caligula, , l’épouse de Claude, et la mère de Néron,.) en 59, à cause de sa persécution arbitraire des chrétiens, ainsi que pour avoir mis volontairement mis le feu à Rome en juillet 64. Il est présenté comme un prince poète, chanteur et musicien, grand organisateur

Calliste est un affranchi durant les règnes de Caligula et de Claude, qui profita de son influence sur Claude pour exercer le pouvoir avec les autres affranchis Pallas et Narcisse. Ils avaient tous des fortunes considérables. Selon Pline l’Ancien, Calliste accumula plus de richesse que le multi millionnaire du siècle précédent Crassus. En conclusion : Un esclave a encore de l’avenir, les plus intelligents et les plus compétents peuvent se faire

• " scène imaginée où de toute façon elle est celle qui se refuse puisqu'il essaie de la convaincre : même dans la rêverie, ne rêve pas à l'accomplissement de l'amour mais simplement au désir : confirme que Junie = une idole, et lui un pervers. CONCLUSION Tirade sous le signe du double : amour doublé de perversion, passivité et violence, clair-obscur, amour qui introduit une scission en Néron : ne se commande plus, il en devient inquiétant. Il est surprenant pour le spectateur que les premières

ses débuts dans la vie. Son implication politique Sa mort Ligne du temps. Tous ses efforts et toute son énergie,tout au long de ses écrits, visent la conquête de la sagesse -Mais qu’est-ce la philosophie et le stécoïsme ? -Ses ouvrages Conclusion Sénèque Sénèque est bien le plus grand écrivain du premier siècle, c’était un philosophe et un moraliste mais une personnalité douteuse toutefois. Il apparait comme un homme bien intégré dans la société de son époque et son expérience

parle de Caligula. « De Rome, pour un temps, Caïus fut les délices ; Mais, sa feinte bonté se tournant en fureur, » « feinte » reprend « déguise ». Elle ne croit pas à la sincérité initiale ni de Néron, ni de Caligula. « fureur » est un mot un peu plus fort que maintenant, la furor, la folie. On a également une allitération de f qui lie Néron et Caïus dans les sons employés. « Les délices de Rome en devinrent l’ horreur, » « les délices de Rome » est une périphrase désignant Caligula que rapporte

Au début de la scène, elle est dans une fureur extrême. Elle fait une analyse des caractères de sa belle-famille : les Domitius : « Je lis sur son visage / Des fiers Domitius l’humeur triste et sauvage ». Elle compare son fils à l’empereur Caligula (« Caïus ») qui était fou (« fureur » v.41). Elle analyse avec lucidité ce qu’elle considère comme une prédestination familiale à la cruauté et à la folie. Mais c’est peut-être les vers 43-48 qui apportent l’éclairage le plus intéressant sur

traits de caractère qui peuvent expliquer ses actes démesurés. 1) Une enfance malheureuse et instable Il est séparé de sa mère vers l’âge de deux ans, lorsque celle-ci, impliquée dans la conjuration contre son frère Caligula, est contrainte à l’exil. Son père est tué en 40 et Caligula confisque l’héritage à Néron son neveu. En 41, lors de l’avènement de Claude (frère de Germanicus dont Agrippine est la fille) et du retour de sa mère, Néron a quatre ans et a souffert jusque-là de l’absence de ses parents

dynastie sont tous issus de la même famille, bien que parfois de manière éloignée. Au départ les Julio-Claudiens sont issus de deux familles patriciennes : la gens Iulia et la gens Claudia. À la première appartiennent les empereurs Auguste, Tibère, et Caligula et à la deuxième les empereurs Claude et Néron. Néron provoque l'extinction de cette dynastie. Le pouvoir passe ensuite à la famille des Flaviens. Sa vie a été rapportée par l'historiographe Suétone dans son œuvre De Vita duodecim Caesarum libri