Concile de Constance

foncier : La constitution de 346 exemptait l’impôt foncier les clercs, leur femme, leurs enfants et leurs serviteurs. Devant tant de générosités impériales, les Pères du concile de Rimini (359) crurent qu’ils pourraient obtenir encore d’avantage. Leur requête provoqua au contraire une restriction des privilèges. En 360, Constance, se prélevant de ce qu’il dit être l’avis de nombreux prélats italiens, espagnols et africains, réserve aux biens d’église l’exemption de l’impôt foncier. Désormais les clercs

chrétienté a fixé un système uniforme, surtout de par le territoire romain. Les règles d’organisation de cette Église seront arrêtées lors de conciles œcuméniques. Hors de ceux-ci, ce seront les évêques qui en auront la charge (= dès 325 après J.C., institution de conciles de justice => le dernier => concile de Vatican II au XXe siècle). Les décisions prises par ces conciles s’appliquent à toute la chrétienté, de même qu’aux évêques et à l’Église (= Droit canonique). La compétence de l’évêque s’impose à tout

Sainte Ligue de 1570-1571 contre les Turcs (qui amène la victoire de Lépante). La seule véritable structure de chrétienté est l’Eglise latine. Mais les XIVe-XVe siècles connaissent la division de la papauté (Grand Schisme), une querelle entre les conciles et le pape. La papauté, fixée à Rome, est restaurée, mais le conciliarisme reste fort à l’Université et chez les princes. Une Cour se développe à Rome avec le Sacré Collège (cardinaux, conseillers et électeurs du pape), la Chancellerie (correspondance

la chose publique et l’utilité des églises ? Certes, l’un et l’autre savaient, compte tenu des circonstances et de la raison, épargner leurs sujets et dompter les superbes. Témoin ce passage tiré des livres où sont consignés les résultats des conciles de leur époque avec une souscription des évêques : « La justice, pour le roi, consiste à n’opprimer personne par abus de puissance, à juger, sans acceptation de personne, entre tout homme et son voisin, à être le défenseur des étrangers, des orphelins

(mariage). Ce droit canonique existe depuis la christianisation de l’empire romain (édit de Milan 313) et surtout avec l’apparition du christianisme en tant que religion de l’état avec le règne de Théodose. C’est surtout les décisions des conciles (les canons des conciles). Ce droit canonique prend un véritable tournant au 11ème siècle (phénomène à relier avec les transformations notamment économiques à cette époque). Dans cette 2ème moitié du 11ème siècle on assiste à une réforme en profondeur de l’église

Sainy-Cybard et reçoit la prêtrise. Veut faire une histoire des Francs depuis leurs origines. Intègre des faits qui touchent l’ensemble de l’Occident, mais qui est surtout centré sur les affaires d’Aquitaine et surtout le comté d’Angoulême. BERNOLD DE CONSTANCE ou BERNOLD DE SAINT-BLASIEN, Chronique. ( 1086, moine de Saint-Blasien. Son œuvre correspond aux années 1054-1100. C’est un polémiste qui prend parti pour GREGOIRE VII contre son propre évêque OTTO (1071-1086). BERTHOLD DE REICHENAU, Chronique

c’est la fin d’un monde. Apres la mort d’Otton III , periode de succession difficile, pendant un temps les empereurs germaniques s’interessent moins à l’Italie jusqu’à 1050. Les grandes familles reprennent alors le pouvoir. en 1046, reunion d’un concile pour dépose le Pape, atribution du titre pontifical à plusieurs eveques germaniques en 1046 et 1049 : Clement II en 1046, Damase II, Leon IX, Victor II. Les papes des les années 1050 sont acquis à l’idée qu’il faut une reforme de l’Eglise. Bien que

vont profité des incertitudes du droit pour l’interpréter au mieux de leurs intérêts et pour le sanctionner de manière arbitraire. Les plébéiens sont le peuple, ils vont s’insurgés. Ils se réunissent dans des assemblées appelées conciles de la plèbe. Au sein de ces conciles ils élisaient des représentants, des tribuns. Par l’intermédiaire de ces tribuns, la plèbe va demander à partir de 462 avant JC, des lois écrites permettant de limiter l’arbitraire du magistrat. En 451 avant JC, les patriciens sont

d’ailleurs, à nombre d’hérésies, que l’Église s’est empressé de rectifier. Mais d’où lui vient cette quasi suprématie, cette majesté imposante qui a fasciné et fascine de nombreux disciples depuis 2000 ans ? La réponse se trouve dans ce que le quatrième concile œcuménique de Chalcédoine, en 451, a précisé : Jésus est vrai Dieu et vrai homme, deux natures en une seule personne. Étant Dieu, il émanait et rayonnait de la gloire qui vient de Dieu, cette gloire qui atteint son apogée dans la croix et la Résurrection

volonté propre, sur la charité et le respect des uns pour les autres, sur l’application des commandements de l’Évangile avec crainte de Dieu et foi orthodoxe. Rappelé à Césarée en 360, il fut ordonné diacre par son évêque, Dianios, et assista au concile de Constantinople, au cours duquel il put mesurer avec douleur combien l’Église du Christ était déchirée par les luttes interminables entre ariens, semi-ariens (homoioussiens) et orthodoxes. Le faible Dianios s’étant laissé entraîner à signer le formulaire