Conception Philosophique De La Dignité Humaine Selon Kant

GENERAL Série Economique et Sociale 1996 š› š› SERIE ECONOMIQUE ET SOCIALE : Groupement 1 – Session Juin 1996 Peut-on être plus ou moins libre ? A quelles conditions une démarche est-elle scientifique ? Dégagez l’intérêt philosophique du texte suivant en procédant à son étude ordonnée : Chacun a pu remarquer, au sujet des opinions communes, que chacun les subit et que personne ne les forme. Un citoyen, même avisé et énergique quand il n’a à conduire que son propre destin

distinction entre science et technique, mais on parle plutôt de technoscience. Cette fusion n’est pas la seule objectivité de la raison. Il y a eu ceux qu’on considère comme les philosophes des Lumières. « Les Lumières, nous dit Kant , c’est la sortie de l’homme de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable (…) Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières ».[footnoteRef:2] Avoir le courage de se servir de son

.............................................................................................................................................................................................................................. Marita Gilli La conception de la Révolution d’un révolutionnaire allemand : Georg Forster Rupture ou reconstruction ? ...................................................................................................................................................

l’altérité devient un thème majeur de la littérature à partir de la Renaissance, et combien les auteurs varient les modes de sa représentation. Au XVIIIe siècle, Voltaire reprend cette réflexion dans une mise en scène originale : celle du conte philosophique, dont nous verrons les principales caractéristiques. L’auteur livre ainsi, avec Micromégas, une œuvre fantaisiste, brève et cependant riche, propre à renouveler la mise en scène de l’altérité. Micromégas, géant dont le nom signale la grandeur (mégas)

pierre taillé et le néolithique celui de la pierre polie. L’homme a donc constamment évoluer entre nature et technique, mais les relations entre ces deux notions, bien qu’intimement liées, peuvent aussi se relever être dévastatrices. Dans l’essai philosophique Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes publié en 1755, Rousseau disait « L’ homme est un être essentiellement bon, mais la société le déprave et le rend misérable ». L’homme serait

contraire au bonheur collectif, ne devient-il pas désormais nécessaire d’affirmer la supériorité du bonheur individuel sur tte autre forme de bonheur ?· Qu’est-ce qui façonne notre identité ? · En quoi, depuis la Renaissance, l’homme a-t-il modifié sa conception de l’identité et de tt ce qui s’y rattache ? A. L’émergence du sujet On peut considérer qu’il y a trois grd moments qui ont contribué à faire de la q° de l’identité individuelle un véritable objet de réflexion

: Tempéraments des principes ….................................................................16 Section 1. La personnalité juridique un pis-aller …...........................................................16 Section 2. La dignité humaine ou la consécration du bonheur humain............................. 17 Section 3. Applications et réflexion ….............................................................................. 19 CONCLUSION….........................................................

d’autres Lumières… © 1997 Normand Lacharité Dépôt légal: 2 e trimestre 1997. Ouvrage reproduit et relié par les Services de reprographie de l’Université du Québec à Montréal. Avant-propos À trois reprises, j’ai donné le cours Phi-4013 Kant — c’est un cours régulier de 45 h, donné en une session — à des étudiants du baccalauréat en philosophie de l’Université du Québec à Montréal. Le présent ouvrage reproduit les notes progressivement élaborées au cours de cet enseignement, ainsi que

habitude, coutumes.. -“force” renvoie aussi à l’idée de durée, de résistance, de solidité : on pourrait s’interroger sur ce qui fait la pérennité du droit. La force d’une loi se mesurerait dans sa capacité à durer, à demeurer inchangée. Or, cette conception immobiliste se heurte à une difficulté : le droit semble au contraire échapper à l’intangible et à l’universel : il est évolutif (sans cesse revu, corrigé) et relatif suivant les sociétés (chaque pays a son propre système juridique). Suivant les

morale », « lieu de vie, habitude, mœurs, caractère » et du latin ethicus, est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Son but est d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Plus clairement, elle correspond à une recherche de comportement et des choix propres que l’être humain va effectuer. Certains philosophes la caractérisent comme l’art de diriger sa conduite. Dans