Comportementaliste

l’amènent à réagir comme telle ou telle façon à l’égard d’un objet (s) Exemple : aimé ou détester une marque, être attiré ou repoussé un placement tous ces exemples sont des attitudes. 1. Les études comportementales du consommateur Les comportementalistes ont défini que le consommateur se réfère essentiellement À des intérêts nombreux qui conditionnent l’achat : - Le consommateur lui-même : ses besoins, ses désirs, ses motivations, sesfreins, les impressions poste- achat, détection de besoins

un état d'ac° (on garde quand même l'état de relaxa°). N.B : L'atten° à la respira° est très efficace pr obtenir la détente (ds domaine des TCC, on traite les attaques de paniques et angoisses aiguës ac des techniques respiratoires. Les comportementalistes attribuent leur rstats à technique respiratoire, ms il y a aussi le contact psychothérapique auquel ces malades st les + sensibles) b. Ex. d'auto-suggestion Puis une fois qu'on a atteint cet état d'autohypnose, de détente, Schultz

son corps que l'adolescent peut imposer son identité dans son environnement, par exemple, la façon de s'habiller peut être, d'une part, un reflet de la mode mais une expression symbolique de l'identité sexuelle d'une autre part. La psychologie comportementaliste a réalisé de nombreux travaux autour de la question de l'estime de soi. On note une dévalorisation de soi qui varie selon le sexe, généralement, l'estime de soi chez les filles est plus importante par opposition à l'autre sexe. II-4/ Le rapport

Fishbun : toute action est le fruit d’une décision. D’où « action planifiée ». La conséquence de ce postulat est qu’il ne faut pas chercher à comprendre le comportement, mais comprendre la décision, l’intention. On glisse d’une psychologie comportementaliste qui s’intéressait au comportement vers une psychologie cognitive, qui s’intéresse avant tout au traitement de l’info qui va aboutir à la décision, qui va aboutir au comportement. Dans ces modèles là, la décision est le fruit d’un traitement

récompense 19 Chapitre 8 DE LA CONSISTANCE COGNITIVE À L'ATTRIBUTION CAUSALE I – Heider (1958) : de la théorie de l'équilibre aux prémices d'une théorie de l'attribution Heider se considère comme l'un des pionniers de la psychologie comportementaliste. Ce psychologue considère l'être humaine comme un individu motivé et il est apte à acquérir des connaissances de son entourage; ces connaissances sont caractérisées par deux caractéristiques essentielles : elles sont équilibrées et causales

parole et si possible venir le dire lors d’une dernière séance, - éteindre les portables. Enfin, il leur est possible après le groupe de parole de se retrouver ensemble pour discuter dans la salle qui leur est mise à disposition. Selon l’approche comportementaliste, les groupes de parole sont basés sur les thérapies brèves centrées sur la solution. C’est un modèle formé à partir de Korzybski pour la réaction sémantique et la vision ontologique, de Binswanger pour « l’être-là » et le regard phénoménologique

pathologique en psychopathologie ................................ 78 V. Les modèles en Psychopathologie .................................................................................... 79 V.1. Le modèle biologique V.2. Les modèles cognitivo-comportementalistes 80 80 VI. La spécificité de l’approche biopsychosociale ............................................................... 81 VII. Des exemples .................................................................................................

1. Introduction 1.1. Acquisition des langues secondes et socioconstructivisme Toute tentative de retracer l'histoire des recherches en acquisition des langues secondes (ALS) mène naturellement à distinguer trois grandes phases : la période comportementaliste, où l'on considère l'apprenant comme simple objet déterminé par les habitudes créées par son environnement et dépourvu d'initiative intellectuelle ; l'ère du cognitivisme, pendant laquelle la métaphore dominante est l'apprenant comme ordinateur

praxéologique de T. Parsons, Structure of social action, le pouvoir, au contraire de l’influence, est une relation asymétrique structurante (« binding relationship ») qui se caractérise par la durée. Robert Dahl : a donné une définition behavioriste, comportementaliste, du pouvoir. L’acteur A détient un pouvoir sur l’acteur B si et seulement si B fait des choses qu’il n’aurait pas faites sans l’intervention de A (obligation ou interdiction). Il y a une relation causale de A vers B. Il y a un dominant (qui

pas de s’intéresser aux mécanismes de la cognition situés au niveau du cerveau puisque ceux-ci sont non observables. Deux questions par rapport au béhaviorisme : Que signifie le terme « apprendre » ? Dans la perspective des psychologues comportementalistes, apprendre c’est acquérir des connaissances, se les approprier d’abord, les conserver ensuite dans la perspective de modifier son comportement. L’apprentissage peut donc être défini comme une modification du comportement, de façon durable