Comportement Charles Bovary

redoutable’’, alors qu’il pense à un mariage avec elle. Il est également fort ambitieux. (p21 j’ai voulu venir ici pour faire fortune, alors que Forestier lui demande ce qu’il fait à Paris.) Moral. Nous comprenons, au vu de ses différents comportements, qu’il n’a pas de moral. Il n’a aucun sens moral et est excessivement opportuniste et égoïste : il cherche toujours à tout tourner à son avantage, comme lors de la mort de Duroy, où le soir même, il faisait sa déclaration à Madeleine Forestier

motifs d’aigreur, notre héros se laissait charmer par les douceurs de la prison. Stendhal, La Chartreuse de Parme, partie II, chapitre XVIII, extrait, 1839. 1. Geôliers : gardiens de la prison. 15 Sujet 1 | Énoncé › Texte 2 Emma a épousé Charles Bovary, un officier de santé. Elle mène une vie plate et médiocre, bien différente du bonheur que lui faisaient imaginer ses lectures romanesques au couvent où elle a fait ses études. Elle sombre peu à peu dans l’ennui et la mélancolie. 5 10 15 20

Charles BAUDELAIRE LE SPLEEN DE PARIS (PETITS POEMES EN PROSE), 1869 Ed. Livre de poche 16120 I. LA FRESQUE QUOTIDIENNE/URBAINE DU « PEINTRE DE LA VIE MODERNE » Poète est un flâneur qui glane des fragments de la vie moderne. Il est le « peintre de la vie moderne », à l’ère industrielle, capitale du Second Empire. Doc compl : C.Baudelaire, « Le peintre de la vie moderne », dossier p.3 sur l’artiste Constantin Guys (cf illustration couverture de notre édition). le travail prealable a la creation :

avec des procédés. En effet, le personnage peut être d'abord : • un cadre où il se projette (Mme Vauquer et la pension dans Le Père Goriot) • un rôle dans l'action (traditionnelle opposition : sauveur /méchant...) • une constante dans un comportement (Salamano et son chien, in L'Etranger) • une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »

constitué avec des procédés. En effet, le personnage peut être d'abord : un cadre où il se projette (Mme Vauquer et la pension dans Le Père Goriot) un rôle dans l'action (traditionnelle opposition : sauveur /méchant...) une constante dans un comportement (Salamano et son chien, in L'Etranger) une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »...

41-54) : Le Christianisme désacralise le rire en le plaçant du côté du diable. Il exprime ainsi les faiblesses humaines. - (lignes 92-106) : L’époque moderne associe le rire à une existence vide de sens où le sacré est absent. Document 9 – Charles Baudelaire, De l’essence du rire, 1855 - Quels sont les deux aspects du rire que l’auteur distingue ici et en quoi sont-ils contradictoires ? Dans le rire, Baudelaire distingue l’élément satanique et l’élément angélique. Il souligne la

l'histoire d'une femme qui cherche à se sentir à l'aise dans le flux des images contrariées de ce qu'est une femme accomplie, demeure toujours pertinent. Personnages Laurence : personnage principale, voix narrative Jean-Charles : mari de Laurence, architecte moderne Vergne : collègue de Jean-Charles et dirigeant de la firme Lucien : amant et collègue de Laurence à Publinf Catherine : fille aînée de Laurence, affligée par les troubles du monde Brigitte : petite amie de Catherine, précoce Louise : fille cadet

qui détruisent le discours mensonger des colonisateurs. Au XVIIème siècle, outre le moraliste la Bruyère déjà évoqué, nous pouvons penser à Molière qui prétendait avec la comédie « corriger les mœurs par le rire ». Dans Tartuffe, il dénonce le comportement des faux dévots qui deviennent des directeurs de conscience abusif et qui ne font pas correspondre leurs principes et leurs actes. Enfin, certains écrivains ont essayé d’imaginer un monde meilleur : c’est ce qu’on appelle les utopies. La plus célèbre

romanesque ne se limite pas à raconter des histoires, il ne se contente pas de la fiction. Le point de départ pour la fiction, c'est la frénésie des livres pour tout voir, tout savoir, tout dire, tout raconter ... - Flaubert raconte le périple d'Emma Bovary mais son roman psychologique dit la désespérance sourde de son héroïne, emmurée dans son impossible jouissance de la vie. Les romans autobiographiques, à l'image de « Stupeur et tremblements » d'Amélie Nothomb (récit publié en 1999 qui nous embarque

dans le souci de façonner un ordre moral qui venait redoubler l’ordre social hiérarchisé. Ainsi, la bourgeoisie se montrait autant soucieuse d’exhiber sa morale que sa richesse. Son refus et son mépris de l’alcoolisme, de la prostitution, des comportements délictueux, renforçaient sa distinction en venant creuser l’écart avec les couches défavorisées, et lui conférait une cohésion plus serrée que sa stratification ne pouvait le faire. Sa morale s’enracinait dans l’idéologie dont elle était dotée