Comparaison Socrate Platon

philosophie naît au IVème siècle av. J.-C. en Grèce avec la figure de Pyrrhon d’Elis. Ce contemporain d’Epicure, bien qu’il n’ait rien écrit, a traversé les siècles grâce au témoignage de son élève timon de Phlionte. Inspirée de la philosophie de Socrate et de la sagesse hindoue, la philosophie de Pyrrhon repose sur le concept fondamental de suspension du jugement ou épochè en grec. Pyrrhon et les sceptiques soutenaient que l’Homme est incapable de déterminer le vrai du faux dans la nature, faute

pas faire autrement, sa survie étant en jeu. Cette exception joue à la fois sur le plan individuel et sur le plan collectif. Nous éliminons ce qui nous nuit, et la société corrige ses criminels. L’exemple de la « mouche » semble bien futile en comparaison du châtiment des criminels, mais il n’est pas anodin. Qui se sentirait coupable de tuer une mouche ? On n’en éprouve aucun « scrupule » (l.7), tant le sentiment d’être dans son droit est évident. Il suggère par là qu’il n’y a pas de différence au

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certaine autorité le gouvernant pour mener une vie « bonne ». Or il existe des autorités différentes selon chaque pays. Mais existe-t-il une justice universelle pour tout le monde ? Ce texte, écrit par Platon (427-347 avant J.-C.), est un dialogue entre Calliclès et Socrate qui a pour thème la justice en soi selon la pensée de Calliclès. Il pose la question suivante : la justice en soi doit-elle être liée aux lois de la nature ? A cette question le protagoniste, Calliclès, répond que

le moyen de les racheter. Cette analyse conduit finalement Nietzsche à distinguer deux types de morales : celle des maîtres et des esclaves. La première est négative et doit déprécier les valeurs existantes pour imposer ensuite les siennes, par comparaison ; elle diminue les valeurs adverses pour faire croire à la grandeur des siennes ; c'est une morale de dévalorisation, fondée sur le ressentiment. La seconde est à l'inverse positive et s'en tient à affirmer ses propres valeurs, absolument, sans

PLATON OEUVRES COMPLÈTES LA RÉPUBLIOUE LIVRE VII 514 Maintenant, repris-je, représente-toi de la façon que 514a voici l'état de notre nature relativement à l'instruction et à l'ignorance. Figure-toi des hommes dans une demeure souterraine, en forme de caverne, ayant sur toute sa largeur une entrée ouverte à la lumière; ces hommes sont là depuis leur enfance, les jambes et le cou enchaînés, de sorte qu'ils ne peuvent bouger ni voir ailleurs que 514b devant eux, la chaîne les empêchant de tourner

Voici ce qu’il écrit : On peut dire que More préside une seconde académie, semblable à celle de Platon, mais où les chiffres et la géométrie sont remplacés par les vertus domestiques. Tous les membres de sa famille se livrent à quelque occupation. Aucune parole dure n’est jamais prononcée chez lui, mais la discipline y règne par douceur et politesse (...). Vous croiriez ressuscitée l’Académie de Platon, sauf que dans l’Académie les discussions portaient sur la géométrie et la puissance des nombres

d’exécution au service de la collectivité. C / Un modèle philosophique : la réflexion sur la cité et sur le droit : Le découpage entre la philosophie et le droit est artificiel. Planton était un Athénien, élève de Socrate ; Aristote est un Macédonien il est l’élève de Platon, il a été le précepteur d’Alexandre le Grand, il a créer une école de pensée «  le lycée » : a Athènes c’est une grande avenue. A partir de ces auteurs, aux alentours du 5ème et du 4ème siècle au moment ou les cités grecques

remémorer certains de nos agissements passés et de constater que le temps peut jouer en notre faveur en permettant de réagir non pas « à chaud » mais de façon réfléchie et posée. Enfin, il ne faut pas oublier que les autres sont un moyen de comparaison : avoir des points communs avec d’autres personnes, cela nous fait méditer sur nous-mêmes. Mais les autres peuvent aussi avoir des opinions différentes et nous amener à réfléchir à cette éventualité et essayer de choisir la meilleure des opinions

 d’Aristote  était  :   quels  types  de  raisonnements  (syllogisme)   sont  valides  d’un  point  de   vue  formel  et  lesquels   ne  le  sont  pas  ?  Avec  son  syllogisme,   Socrate  construit  les  prémices   d’un   raisonnement,   avec  des  proposi+ons  qui   en   découlent.   Ces   réflexions  sur   les  méthodes  de   la   connaissance  sont  appelés  la