Comparaison Sartre Nietzsche

causes, c'est se donner les moyens de le conduire vers la liberté, vers la plus grande puissance possible de penser et d'action, vers l'épanouissement. Le programme de Spinoza est étonnamment moderne. Par son refus de la morale, il s'apparente à Nietzsche. Par son souci de donner à l'homme une maîtrise de lui-même qu'il n'a pas de prime abord, il s'apparente à Freud. Spinoza nous a appris à dissocier la morale de la recherche du bien individuel et collectif. Il est légitime que sa devise : « Ne pas

peut il émettre un jugement objectif sur ce dont il fait partie ? [pic] • I) Je peux juger la culture à laquelle j'appartiens. a) Il faut relativiser les valeurs de notre société. b) Observer autrui permet de meiux se connaître. c) La comparaison autorise le jugement. • II) Je ne peux pas juger ma propre culture. a) Je n'ai pas conscience de ma culture. b) Pour juger sa propre culture, il faut s'en extraire. c) Il n'y a pas de point de Sirius extra-culturel La diversité des cultures

la méthode.                                  Méditations métaphysiques. Nietzsche:                 Le gai savoir. Bergson:                   L’énergie spirituelle. Freud:                       Essais de psychanalyse.                                  Nouvelles conférences de psychanalyse.                                  Métapsychologie. Alain:                        Eléments de philosophie. Sartre:                       L’Etre et le Néant. Merleau-Ponty:         Sens et

l’âge classique de Michel Foucault. Elle a donné lieu à de fertiles échanges. Une seconde séance, sous la conduite de Ronald Bonan, a présenté un extrait de la préface de Signes de Maurice Merleau-Ponty. Hannah Arendt, Pierre Bourdieu, Jean-Paul Sartre, Nelson Goodman, etc., constitueront l’objet de futurs séances. A l’issue de la première séance, l’auditoire a manifesté le désir de prolonger la réflexion sur Foucault. Le cercle essaiera donc de conduire des approfondissements parallèles. Que tous

sociologie : il s'agit de la perte de son identité, conséquence de diverses pratiques sociales (politiquement, le peuple est privé de ses droits par le pouvoir de la classe dominante ; économiquement, il ne peut jouir du fruit de son travail). Pour Sartre, la liberté de chacun prend la forme d'actes qui risquent à tout moment de le figer, de le chosifier à cause de l'interprétation qu'autrui peut leur donner (thème du regard). ALLEGORIQUE : du grec "allogon" "différent" ou "autre" ; le sens allégorique

« comme maître et possesseur de la nature » , mais s’il peut le croire c’est en oubliant la nature de cette conjonction de subordination qu’utilise Descartes et qui marque davantage une relation de comparaison et de ressemblance qu’une réelle relation de pouvoir et d’asservissement. La puissance humaine est ainsi limitée de toute part, tant par la nature extérieure qu’il ne connaît jamais totalement, que dans les propres limites internes de

entourée de sommeil…". "To be or not to be…" Calderón de la Barca : « Qu'est-ce que la vie ? Une folie. Une illusion, une ombre, une fiction et le bien suprême a peu de valeur car la vie n'est qu'un rêve…» (pièce "La vie est un songe"). Le thème de la comparaison entre vie et rêve était déjà dans le conte arabe des « Mille et une nuits ». Mais aussi bien avant, en Inde et en Chine, par exemple un vieux sage chinois Tchouang-tseu (env. 350 av. J.C.) : « Un jour j'ai rêvé que j'étais un papillon, et à présent

comme l’essentiel de l’humain son plein développement, contre tout sous développement. C'est l’ensemble des interventions par lesquelles l’esprit d’un homme cherche à se développer par et pour lui-même au maximum de ses aptitudes (cf Cicéron et Nietzsche in Lumières I-C-2-). Processus par lequel l’individu développe avant tout son âme par une fréquentation des œuvres de l’esprit. La culture, c’est ici, un processus, un effort, un travail par lequel l’homme s’assimile ce qui lui est étranger afin

la personne. 2. La mauvaise foi comme impossibilité d’être soi-même On peut songer alors à ce que disait Sartre de la « mauvaise foi ». Il ne faut pas entendre cette expression dans sa signification courante, où est « de mauvaise foi » celui qui s’obstine, contre toute évidence, à maintenir un mensonge qui ne trompe personne... et surtout pas lui-même. Est de mauvaise foi au sens de Sartre ce garçon de café qui s’identifie au personnage qu’il joue : dans sa démarche, dans ses mimiques et dans ses

authenticité de Sartre, le projet de Renan  se réapproprier le monde la lutte avec l’Ange  « l’art est un anti-destin »  affronter la mort III : le paradoxe autobiographique le temps révolu  temps existentiel et achronie scripturale  le défaut de mémoire et l’après-coup : la fresque stendhalienne, la fécondité de l’oubli l’écriture et le mouvement  Montaigne déjà  Transmuer un événement en épisode  Recomposer le parcours d’une existence : structure des Mots de Sartre, fonder la règle