Comparaison Rousseau Descartes

forme de commentaire à la marge de la découverte platonicien ou du noyau platonicien de la théorie. Deux trois points de repères : ce qui vient après l’Antiquité c’est l’apparition des religions monothéistes. Renaissance de la philosophie avec Descartes le cogito « je pense donc je suis » la certitude d’être par la pensée est une vérité absolue aussi immuable et éternelle que la découverte de Platon. Le problème est de savoir comment est-ce qu’on peut articuler l’idée de théorie telle qu’on l’a

régime démocratique sans se soucier des conditions le rendant possible ou souhaitable ? Cela ne vient-il pas du fait qu’on ait traité cette question comme un tout, au lieu de la traiter comme la partie d’un tout ? Car, comme le dit un grand esprit, Rousseau, il faut d’abord qu’un peuple soit un peuple avant qu’il ne songe à se gouverner ou à être gouverné. Si tel est le cas (nous y reviendrons), on peut déjà conclure que l’un des principaux enseignements du texte de Léo Strauss réside moins dans la

sans âme et d'exhortations à défendre l'esprit, où se retrouvent, adaptés à l'époque contemporaine, nombre des thèmes lancés déjà dès le XVIIIe siècle, avec l'éclat que l'on sait, par l'auteur des Promenades d'un Rêveur solitaire, par Jean-Jacques ROUSSEAU. L'antithèse est facile : on montre les richesses s'accumulant, les machines se multipliant, les vitesses s'accélérant ; mais les hommes n'ayant plus le temps de penser par eux-mêmes, de se cultiver intérieurement, de reconquérir une personnalité

scientifiques. Qu’est-ce que le libéralisme? C’est une doctrine économique « classique » d’après laquelle une société prône le primat des droits de l’individu sur ceux du groupe, en général (contrairement à ce que l’on retrouve par exemple chez Rousseau) : incarné par les choix opérés quant à la libre entreprise, la libre concurrence et le libre jeu des initiatives individuelles, etc. De plus, cette doctrine économique est largement aidée par la juxtaposition d’une autre force en cours, soit celle

humaine ou religieuse : pour Hobbes, il ne doit pas exister au sein de la société un pouvoir spirituel autonome (le devoir de l’Eglise est de se placer sous l’autorité du pouvoir politique) = le Souverain a vocation a être le chef de l’Eglise = Comparaison Hobbes et Bodin : Hobbes va plus loin puisque le Souverain n’a à respecter aucune obligation. Pour Hobbes, il n’existe aucune morale naturelle, ni aucune vérité éternelle. Pour lui, ce sont des actes posés par l’Homme (la morale est un artifice

renversement s'opère au sein de opinions éclairées. On commence à remettre en cause les certitudes de la vieille Europe en la confrontant avec d'autres peuples. Rousseau dénonce l'ethnocentrisme dont font preuve les philosophes. Selon lui, on ne peut connaître l'homme qu'en le comparant avec ses semblables. Pour être féconde, cette comparaison doit se faire avec les peuples les plus éloignés. La raison vient de ce que ces peuples ont des habitudes differentes de celles des occidentaux. Les grands voyages

importantes, elle fait le fond des doctrines de Platon, Aristote, Pascal des stoïciens et des néo-platoniciens. Au contraire, les dogmes sont rejetés par des écoles philosophiques comme le rationalisme et le scepticisme. Plus tard, elle se retrouve chez Descartes, Leibniz et Spinoza. Dans l'histoire de la philosophie, il s'oppose d'ordinaire au scepticisme. Pourtant, dès l'Antiquité, une solution intermédiaire qu'on appelle le probabilisme, a été proposée par Carnéade. Le débat de la connaissance est encore

(différence entre l’essence et l’existence). Il invente une science de la politique. I. Une science de la politique A. La fondation de la science politique 1) Les fondements et la méthode Biologiste, La règle d’or est l’observation du réel. Souci de la comparaison en politique (compare les constitutions) et établit une typologie des régimes politiques. Sa méthode est résolument déductive. Sa vaste synthèse ordonnée est le primat du normatif. Cependant embarras p/ à l’esclavage (conforme à l’ordre de la nature)

(1724-1804), l’Aufklärung invite l’homme « à sortir de sa minorité et à se servir avec courage de sa raison ». Pour autant, il n’existe pas de rupture complète entre « les Lumières » et l’Europe des XVIe et XVIIe siècles. Le Discours de la méthode de Descartes (1637), la découverte des lois mathématiques de la chute des corps puis de la gravitation universelle par Galilée et Newton, le Traité théologico-politique de Spinoza (1670), le Dictionnaire historique et critique (1697) de Pierre Bayle avaient ouvert

âges et conditions ? III. Etude d’un corpus : Corpus EAF de découverte des épreuves autour de l’éducation des femmes : Lettres d’une Péruvienne, XXXIV, Françoise de Graffigny (1747), L’Education des filles, Voltaire (1761), Emile, V, Jean-Jacques Rousseau (1762). IV. Travail sur : 1) Les formes de l’argumentation : la fable, le dialogue théâtral, l’essai, le roman épistolaire. 2) Le vocabulaire de l’argumentation. 3) Le vocabulaire de l’analyse littéraire. 4) L’évolution de la condition de la femme