Comnène

Irène. − Que me demandez−vous ? quel motif d'entretien peut−il y avoir entre vous et moi ? Ibrahim. − Eh quoi ! Madame, l'aimable Irène ne me connaît−elle plus ? Irène. − Avant les malheurs de ma patrie, je connaissais un prince qui s'appelait Comnène, et qui sortait d'un sang illustre à qui le mien était allié, mais je ne le reconnais plus dans le favori de Mahomet, dans un homme infidèle à son Dieu, et qui a pu se résoudre à l'ignominie de s'appeler Ibrahim. Ibrahim. − Il est vrai, Madame, ma

par la volonté de Dieu mon intention dans les cinq mois à venir, sans doute au concile de Clairmont, de prêcher la croisade en terre d'Orient afin de libérer la très Sainte ville de Jérusalem. De nombreux appels à l'aide envoyés par Alexis Ier de Comnéne Empereur de Byzance nous demande de l'aider à sauver Constantinople des Turcs. Cet appel nous donne l'opportunité de mettre à nouveau un pied en Orient et réintroduire des communautés Chrétiennes dans les citées d'Antioche, Saint Jean d'Acre, Damiéte

l’usage de la prose dans la tragédie, il tenta d’y apporter une réponse empirique en composant :  ________________________________________________________________________________ ‘’Mahomet second’’ (1725) Tragédie en prose Ibrahim, un prince Comnène, allié à la famille impériale grecque, qui s’est converti à l’islam après sa capture par les Turcs, a été chargé par le sultan Mahomet second, dont il est devenu le favori, d’apprendre à la princesse grecque Irène, captive, comme lui, des Turcs, que

l'Allemagne et la Hongrie sans incidents, ils pillèrent Belgrade, ce qui leur valut des représailles. Nombre d'entre eux furent massacrés par les Bulgares. Pierre l’Ermite et Gautier unirent leurs forces à Constantinople où l'empereur Alexis Ier Comnène, peu soucieux de voir rester dans sa capitale ces gens de sac et de corde peu disciplinés, leur fournit le transport au-delà du Bosphore. Malgré les conseils de prudence et de modération de Pierre l'Ermite, les croisés attaquèrent immédiatement les

XIIe au XIXe siècle : la "croix d'Anseau" (quatre fragments), envoyée au chapitre en 1109 par un ancien chanoine de Paris, nommé Anseau, et devenu chantre à Jérusalem; la "croix palatine" (une portion), qui appartient notamment à l'empereur Manuel Comnène, puis à Anne de Gonzague de Clèves, princesse Palatine, relique entrée à Notre-Dame le 22 février 1828 ; la "croix de saint Claude" (une portion), que le roi René avait d'abord remise aux Célestins d'Avignon; les reliques saintes "de Saint Louis"

depuis la croisade de 1204, détournée par Venise. Il fut aidé par les Génois, grands rivaux des Vénitiens. Les Cantacuzènes, grande famille byzantine, sont d’abord connus par Jean, général byzantin du xiie s. qui épousa marie Comnène, petite-fille de l’empereur Jean II Comnène (1118-1143) et ancêtre de l’empereur Jean VI Cantacuzène Les derniers empereurs byzantins appartiennent tous à la famille des Paléologues, qui succède à celle des Cantacuzènes, mais les fils et petits-fils de Jean VI Cantacuzène

saint ascète pour lui demander pardon. Comme son état ne permettait pas un tel trajet, c’est en invoquant le pardon de Clément qu’il rendit l’âme. Par la suite, la réputation de sainteté de l’ermite du mont Sagmation parvint jusqu’à l’empereur Alexis Comnène, qui offrit au monastère en cours de formation un précieux fragment de la sainte Croix. Parvenu au terme de ses combats, saint Clément tomba gravement malade, et c’est après avoir donné ses dernières recommandations à ses disciples, qu’il remit paisiblement

siècle, menacer directement la Pologne, la Hongrie, l’Autriche, inquiéter enfin, par delà ce pays, l’Europe centrale tout entière. Sur le continent asiatique, le sultan a chassé de son trône, en 1462, le dernier empereur grec de Trébizonde, David Comnène ; il a pareillement conquis et réuni à ses États, en 1471, la dernière principauté seldjoucide, la Karamanie ou principauté de Koniah, depuis longtemps astreinte à lui payer tribut. De la chaîne Pontique et de l’Anti-Taurus, à l’est, jusqu’aux Alpes

pèlerinages chrétiens devinrent difficiles à Jérusalem. Surtout, en 1071, à Manzikert, les Turcs écrasèrent les armées byzantines et envahirent l’Anatolie, jusque-là préservée. L’Asie Mineure grecque devint alors la « Turquie ». L’empereur d’Orient, Alexis Comnène (1081-1118) -dont la fille raconta la vie glorieuse dans une magnifique biographie, YAlexiade -, appela fort naturellement à son secours les chrétiens d’Occident. Le pape Urbain II accéda à sa demande et prêcha à Clermont la croisade en 1095. (Ceux

particulier contre les juifs, ils furent décimés sur le long chemin qui mène à Jérusalem, notamment par les Turcs à Civitot. L’armée régulière, elle, s’empare d’Antioche en 1098 puis de Jérusalem en 1099. Le document 3 est un extrait du livre d’Anne Comnène, Alexiade, publié vers 1148. Fille de l’empereur Alexis Ier, admirative de son père, elle a écrit quize livres racontant les exploits de celui-ci. C’est une des principales sources que nous avons sur le monde byzantin de cette époque. Et ses écrits