Commentaire ô Triste Triste était Mon âme

dévorent le regard de l’imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiées, ces étoiles noires qui commandent la curiosité et l’admiration. A quel démon bienveillant dois-je d’être ainsi entouré de mystère, de silence, de paix et de parfums ? O béatitude ! ce que nous nommons généralement la vie, même dans son expansion la plus heureuse, n’a rien de commun avec cette vie suprême dont j’ai maintenant connaissance et que je savoure minute par minute, seconde par seconde ! Non ! il n’est plus

à partager une vision particulière du monde… ‘‘ le fond ’’ « ce que dit l’auteur » ce qu’exprime le texte = les idées ‘‘ la forme’’ « comment il le dit » comment est formulé le texte = le style Le but d’une lecture analytique ou d’un commentaire est de montrer le lien entre les idées (le fond) et le style (la forme). DOC 1. Lettre à M. de Coulanges par Mme de Sévigné 1) Quel message ce texte transmet-il ? Que constatez-vous ? 2) Dans quel but Mme de Sévigné a-t-elle travaillé le style

publiée dans le journal Gil Blas du 9 octobre 1883 sous le pseudonyme de Maufrigneuse (nom d’un personnage de Balzac), puis publiée dans le recueil Toine en 1886. Quand Sabot entrait dans le cabaret de Martinville, on riait d'avance. Ce bougre de Sabot était-il donc farce ! En voilà un qui n'aimait pas les curés, par exemple ! Ah ! mais non ! ah ! mais non ! Il en mangeait, le gaillard. Sabot (Théodule), maître menuisier, représentait le parti avancé à Martinville. C'était un grand homme maigre, à l'œil

continue d’utiliser un champ sémantique appartenant à ce terme. Souvent la métaphore filée commence par une sorte de comparaison déguisée. « L’empereur était là, debout, qui regardait. / Il était comme un arbre en proie à la cognée. / Sur ce géant, grandeur jusque là épargnée, / Le malheur, bûcheron sinistre, était monté ; / Et lui, chêne vivant, par la hache insulté, / Tressaillant sous le spectre aux lugubres revanches, / Il regardait tomber autour de lui ses branches. » (V.H.,

servirez essentiellement des parties qui sont sur fond gris. Vous aurez soin d’aller vous renseigner lorsque des mots comportent ce signe : * -1°/- Les Contemplations- Victor Hugo présente cette œuvre lyrique* comme « les mémoires d’une âme » (autobiographie ?), c'est-à-dire : « […] toutes les impressions, tous les souvenirs, toutes les réalités, tous les fantômes vagues,, riants ou funèbres, que peut contenir une conscience, […] l’existence humaine sortant du berceau et aboutissant

fut hors de la case, Que le monde, dit-il, est grand est spacieux ! Voilà les Apennins, et voici le Caucase : La moindre taupinée était mont à ses yeux. Au bout de quelques jours le voyageur arrive En un certain canton où Thétys sur la rive Avait laissé mainte Huître ; et notre Rat d’abord Crut voir en les voyant des vaisseaux de haut bord. Certes, dit-il, mon père était un pauvre sire : Il n’osait voyager, craintif au dernier point. J’ai passé les desserts, mais nous n’y bûmes point. D’un certain

hors de la case, Que le monde, dit-il, est grand est spacieux ! Voilà les Apennins, et voici le Caucase : La moindre taupinée était mont à ses yeux. Au bout de quelques jours le voyageur arrive En un certain canton où Thétys sur la rive Avait laissé mainte Huître ; et notre Rat d’abord Crut voir en les voyant des vaisseaux de haut bord. Certes, dit-il, mon père était un pauvre sire : Il n’osait voyager, craintif au dernier point. J’ai passé les desserts, mais nous n’y bûmes point. D’un certain

1997 (tous droits réservés) © Editions Anne Carrière, Paris, 1998, pour la traduction française Paulo Coelho du m anuel Guerrier Lumière de la Éditions Anne Carrière Traduit du portugais (Brésil) par Françoise Marchand-Sauvagnargues Ô Marie conçue sans péché priez pour nous qui faisons appel à Vous Amen Rio de Janeiro, samedi 31 août 1996 Note de l’auteur À l’exception du prologue et de l’épilogue, tous les textes du présent ouvrage ont été publiés dans la rubrique « Maktub »

Quand même l’Angleterre et même l’Amérique Diraient à l’exilé : - Va-t’en ! nous avons peur ! Je ne fléchirai pas ! Sans plainte dans la bouche, Calme, le deuil au cœur, dédaignant le troupeau, Je vous embrasserai dans mon exil farouche, Patrie, ô mon autel ! Liberté, mon drapeau ! Mes nobles compagnons, je garde votre culte ; Bannis, la République est là qui nous unit. J’attacherai la gloire à tout ce qu’on insulte ; Je jetterai l’opprobre3 à tout ce qu’on bénit ! Je serai, sous le sac de cendre

fut hors de la case, Que le monde, dit-il, est grand est spacieux ! Voilà les Apennins, et voici le Caucase : La moindre taupinée était mont à ses yeux. Au bout de quelques jours le voyageur arrive En un certain canton où Thétys sur la rive Avait laissé mainte Huître ; et notre Rat d’abord Crut voir en les voyant des vaisseaux de haut bord. Certes, dit-il, mon père était un pauvre sire : Il n’osait voyager, craintif au dernier point. J’ai passé les desserts, mais nous n’y bûmes point. D’un certain