Commentaire Mort De Nana

La Bête Humaine de Zola, Commentaire Partiellement Rédigé de L’incipit : Introduction : Situation – 1890. La Bête humaine est le 17 Emme Roman des Rougon-Macquarts, « Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire », qui en comporte 20 (de 1869-1870 0 1893). Cette œuvre s’inscrit sans le projet naturaliste (dont Zola est le chef incontesté), elle relate un «  un procès verbal » des agissements politiques d’un régime sous le Second Empire et des actes d’une famille,

101 « Livre audio précédent | Livre audio suivant » 55 commentaires sur cette page. Ajoutez le vôtre ! Jean-Philippe le 11 février 2008 Magnifique ! Du Zola ! Merci Romy ! Je vais m’empresser de lire celui-ci que je connais pas. Avec « le rêve », cela fait le deuxième roman de Zola disponible sur le site. Je serai personnellement ravi d’entendre prochainement les incontournables mais fabuleux Nana, l’assommoir et la bête humaine. à bon entendeur… Encore merci

techniques permettant de produire des livres beaucoup moins chers). Le public s’élargit, le roman s’adapte à ses attentes. Avec le développement de la presse, se développe la parution de romans en feuilletons : ex Les trois mousquetaires de Dumas en 1844 ou Nana de Zola en 1880. La bourgeoisie, favorisée par la révolution industrielle, s’impose de plus en plus. Les villes se modernisent et la classe ouvrière se constitue. Une telle évolution conduit à une nouvelle vision de l’homme et du monde dont le roman

que l’on va étudier Annonce du plan de commentaire Partie I : Gervaise découvre le café-concert, l’alcool qui y est omniprésent et les femmes nues a)Gervaise s’essaie à l’alcool et à la pipe, elle a la tête qui tourne b)Gervaise un peu choquée observe Amanda, une femme nue qui fait son spectacle, et finit par admirer sa peau Partie II : Coupeau totalement alcoolisé et endormi, la chambre détruite a)Gervaise découvre avec horreur son mari Coupeau ivre mort et c’est avec un poids au cœur qu’elle

Commentaire Composé Dans la préface de ce roman, L’Assommoir, Zola déclare vouloir « peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l’ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l’oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement, la honte et la mort. » Il est important de rappeler que le romancier naturaliste a, tout d’abord, souhaité décrire le milieu populaire

tour une ZEP (zone d‟éducation prioritaire) une émeute la pauvreté la drogue la violence un gang / une bande une bavure (policière) un policier / la police battre (il a battu) le coma arabe (beur) juif africain une arme tuer mourir (il meurt; il est mort) le gymnase brûler le RER une zone de non-droit l‟état d‟urgence le couvre-feu la guérilla urbaine l‟exclusion la fracture sociale les casseurs prendre la tête rendre visite à + personne un trafiquant de drogue devoir (de l'argent) à à cause de arrêter

cette Vénus, elle est en fer blanc, donc bon marché. La femme est fortement associée à la baignoire dont elle partage certaines caractéristiques : la vieillesse, le peu de valeur et l’idée implicite de la mort : si la baignoire évoque un cercueil, c’est aussi pcq cette Vénus semble plus proche de sa mort que de sa naissance, ce qui opère un renversement fondamental par rapport aux représentations traditionnelles ! * Elle est représentée d’une manière prosaïque et vulgaire alors que dans les représentations

ne découvre son nom et son titre de noblesse qu’aux lignes 18 et 19. Le mystère est renforcé par les précautions prises par le narrateur : ligne 9, aucune personne vivante concernée, et lignes 13 et 20 la suppression des noms des deux personnes mortes et de l’amie. b) la présence de deux narrateurs et de deux entrées en matière qui constituent un effet d’emboîtement - le narrateur externe explique, dans un récit au passé qui relate un épisode de sa vie personnelle (lignes 1 à 10) comment il

ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. Au bout de l’ivrognerie et de la fainéantise, il y a le relâchement des liens de la famille, les ordures de la promiscuité, l’oubli progressif des sentiments honnêtes, puis comme dénouement la honte et la mort. C’est la morale en action, simplement. L’Assommoir est à coup sûr le plus chaste de mes livres. Souvent j’ai dû toucher à des plaies autrement épouvantables. La forme seule a effaré. On s’est fâché contre les mots. Mon crime est d’avoir eu la langue

naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire 1. La fortune des Rougon. 2. La curée. 3. Le ventre de Paris. 4. La conquête de Plassans. 5. La faute de l’abbé Mouret. 6. Son Excellence Eugène Rougon. 7. L’assommoir. 8. Une page d’amour. 9. Nana. 10. Pot-Bouille. 11. Au Bonheur des Dames. 12. La joie de vivre. 13. Germinal. 14. L’œuvre. 15. La terre. 16. Le rêve. 17. La bête humaine. 18. L’argent. 19. La débâcle. 20. Le docteur Pascal. 3 L’assommoir 4 Préface de l’auteur Les Rougon-Macquart