Commentaire Monologue D Hermione

l’enchantement ou le cri de ralliement ? 1/Des formes d’expression riches, variées et nuancées Du cri (qui n’est après tout qu’une modalité de la parole)au chuchotement, de la plainte au gémissement, des confidences au murmure en passant par le souffle, du monologue à l’aparté en passant par le dialogue… , le théâtre est « bruit et fureur « : La vie […] : une fable/Racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur,/Et qui ne signifie rien. », Macbeth, Shakespeare Et en effet, que ce soit Figaro qui se lamente

Collection dirigée par Étienne Chantrel 20 dissertations avec analyses et commentaires sur le thème Le monde des passions Balzac – La Cousine Bette Racine – Andromaque Hume – Dissertation sur les passions Sous la coordination de Matthieu Bennet et Natalia Leclerc Par Matthieu Bennet : professeur agrégé de Philosophie, ancien élève de l’ENS Carine Luccioni-Sauvage : professeur agrégé de Lettres modernes, doc- Lyon teur ès Lettres Géraldine Deries : professeur agrégé de Lettres modernes, ancienne

est plutôt traité comme un personnage de comédie : enfermé dans le placard il est grotesque et n’a pas la dignité d’un roi. Pourtant, une fois élu empereur il se métamorphose en homme politique grave et sérieux, accorde sa clémence à Hernani. Son monologue de l’acte IV scène 5 peut en témoigner «  suis-je bien un autre homme ?  ». Il s’agit donc de mettre en scène des personnages complexes au sein desquels cohabitent sublime et grotesque, et mélange des registres. Un même personnage

délaisse sa fiancée, Hermione, qui attend les noces promises et pour lesquelles elle est venue de Sparte, la paix reposant en partie sur cette union. Comme Oreste aime passionnément Hermione, qui l’a cependant éconduit, il espère en secret que Pyrrhus refuse de livrer Astyanax, et laisse partir la princesse, qui pourrait alors accepter son amour. Scène 2 : Pyrrhus repousse la requête d'Oreste. Scène 3 : Devant son confident, Phoenix, Pyrrhus souhaite qu'Oreste remmène Hermione. Scène 4 : Pyrrhus

délaisse sa fiancée, Hermione, qui attend les noces promises et pour lesquelles elle est venue de Sparte, la paix reposant en partie sur cette union. Comme Oreste aime passionnément Hermione, qui l’a cependant éconduit, il espère en secret que Pyrrhus refuse de livrer Astyanax, et laisse partir la princesse, qui pourrait alors accepter son amour. Scène 2 : Pyrrhus repousse la requête d'Oreste. Scène 3 : Devant son confident, Phoenix, Pyrrhus souhaite qu'Oreste remmène Hermione. Scène 4 : Pyrrhus

d�laisse sa fianc�e, Hermione, qui attend les noces promises et pour lesquelles elle est venue de Sparte, la paix reposant en partie sur cette union. Comme Oreste aime passionn�ment Hermione, qui l�a cependant �conduit, il esp�re en secret que Pyrrhus refuse de livrer Astyanax, et laisse partir la princesse, qui pourrait alors accepter son amour. Sc�ne 2�: Pyrrhus repousse la requ�te d'Oreste. Sc�ne 3�: Devant son confident, Phoenix, Pyrrhus souhaite qu'Oreste remm�ne Hermione. Sc�ne 4�: Pyrrhus

(vers 969), dlaisse sa fiance, Hermione, qui attend les noces promises et pour lesquelles elle est venue de Sparte, la paix reposant en partie sur cette union. Comme Oreste aime passionnment Hermione, qui la cependant conduit, il espre en secret que Pyrrhus refuse de livrer Astyanax, et laisse partir la princesse, qui pourrait alors accepter son amour. Scne 2 Pyrrhus repousse la requte dOreste. Scne 3 Devant son confident, Phoenix, Pyrrhus souhaite quOreste remmne Hermione. Scne 4 Pyrrhus fait part

p. 152 – Ionesco, Les Chaises, p. 138 – Reza, Art, p. 139 L’un ou l’autre de ces groupements de textes peut servir de support à des exercices d’entraînement aux épreuves écrites et orales du bac. On se reportera notamment aux sujets d’écriture (commentaire, dissertation ou invention) proposés dans la rubrique « Expression » à la suite de certaines lectures analytiques, dans la partie « Expression écrite » p. 174-178 ou aux sujets complets des pages 181 et suivantes du manuel. En cours de séquence

utilisé, mais l’émotion se reflète par exemple très bien aussi dans les exclamations de Titus dévoré par les sentiments d’impuissance : Trop aimable princesse !/ Hélas ! (Bé, Titus, p. 289) Cette fois-ci, l’explication explicite suit sous forme de commentaire du confident de Titus : En sa faveur d’où naît cette tristesse ? (Bé, Titus, p. 289) La tristesse renforcée par la désespérance se lit même dans l’apostrophe suivant quand Titus se trouve sur le point de s’expliquer, mais qu’il y renonce par

4). Le désir devient d’autant plus intense que l’attente est suspendue : le corps contemplé est exposé et interdit. De là, les soupirs, de là les cris qui font du désir un mal d’autant plus cruel que la chose est délicieusement belle. Vers le commentaire Le poète montre dans ces poèmes son amour de la liberté dans l’expression du désir amoureux comme dans l’écriture du poème. À genoux au bord du lit de Cloris, la dévorant des yeux, le poète n’hésite pas à se comparer à un dévot. Le dévot est à genoux