Commentaire Le Cabaret Vert

Dès lors, la piste était donnée ; et, sans se prononcer, le commissaire de surveillance et le chef de gare échangèrent un regard, d'un air entendu. Un long mouvement avait agité la foule, qui sentait que l'enquête était finie, et qu'un besoin de commentaires tourmentait : tout de suite des suppositions circulèrent, chacun avait une histoire. Depuis un instant, le service de la gare se trouvait comme suspendu, le personnel entier était là, obsédé par ce drame ; et ce fut une surprise que de voir entrer

»Dès lors, la piste était donnée ; et, sans se prononcer, le commissaire de surveillance et le chef de gare échangèrent un regard, d’un air entendu. Un long mouvement avait agité la foule, qui sentait que l’enquête était finie, et qu’un besoin de commentaires tourmentait : tout de suite des suppositions circulèrent, chacun avait une histoire. Depuis un instant, le service de la gare se trouvait comme suspendu, le personnel entier était là, obsédé par ce drame ; et ce fut une surprise que de voir entrer

vingt-quatre. La police manque sérieusement d’effectifs. Je passe le voir aussi souvent que je peux. À en juger par le silence à l’autre bout du fil, sa sœur n’en croyait pas un mot. — J’ai parlé avec Gertrud hier, poursuivit-elle sans commentaire. J’ai eu l’impression qu’elle me répondait de manière évasive quand je lui ai demandé comment allait papa. — Et pourquoi aurait-elle répondu de manière évasive ? demanda Wallander avec étonnement. — Je ne sais pas. C’est pour ça que je t’ai

Dès lors, la piste était donnée ; et, sans se prononcer, le commissaire de surveillance et le chef de gare échangèrent un regard, d’un air entendu. Un long mouvement avait agité la foule, qui sentait que l’enquête était finie, et qu’un besoin de commentaires tourmentait : tout de suite des suppositions circulèrent, chacun avait une histoire. Depuis un instant, le service de la gare se trouvait comme suspendu, le personnel entier était là, obsédé par ce drame ; et ce fut une surprise que de voir entrer

Dès lors, la piste était donnée ; et, sans se prononcer, le commissaire de surveillance et le chef de gare échangèrent un regard, d’un air entendu. Un long mouvement avait agité la foule, qui sentait que l’enquête était finie, et qu’un besoin de commentaires tourmentait : tout de suite des suppositions circulèrent, chacun avait une histoire. Depuis un instant, le service de la gare se trouvait comme suspendu, le personnel entier était là, obsédé par ce drame ; et ce fut une surprise que de voir entrer

Dès lors, la piste était donnée ; et, sans se prononcer, le commissaire de surveillance et le chef de gare échangèrent un regard, d'un air entendu. Un long mouvement avait agité la foule, qui sentait que l'enquête était finie, et qu'un besoin de commentaires tourmentait : tout de suite des suppositions circulèrent, chacun avait une histoire. Depuis un instant, le service de la gare se trouvait comme suspendu, le personnel entier était là, obsédé par ce drame ; et ce fut une surprise que de voir entrer

caractère rigoureusement analogue. En somme, on verra que l’homme in- – 36 – génieux est toujours plein d’imaginative, et que l’homme vraiment imaginatif n’est jamais autre chose qu’un analyste. Le récit qui suit sera pour le lecteur un commentaire lumineux des propositions que je viens d’avancer. Je demeurais à Paris, – pendant le printemps et une partie de l’été de 18.., – et j’y fis la connaissance d’un certain C. Auguste Dupin. Ce jeune gentleman appartenait à une excellente famille, une

assassiné car pro serbe. On donnerait alors un pouvoir d’égalité aux slaves. Dès que l’Autriche-Hongrie commence à se mobiliser contre la Serbie, Guillaume II envoit un général pour dire aux austro-hongrois qu’ils les suivraient si la guerre éclatait. Feu vert de l’Allemagne donc envoi de l’Autriche-Hongrie à la Serbie un ultimatum à la Serbie (arrêté tout les terroristes, accepter la police et les services d’espionnage austro-hongrois pour les aider, savent que la dernière close sera refuser, c’est ce qu’il

pp. 86-87. 388 Ibidem, pp. 106-107. 380 381 121 Qu’accompagne l’immense orgue des vents grondeurs, / De cette fonction sublime de berceuse ? La mer, la vaste mer, console nos labeurs ! »… Le même poème évoque, de manière nostalgique, « le vert paradis des amours enfantines » ou « L’innocent paradis, plein de plaisirs furtifs ». Le beau navire 389 , poème amoureux, est également une bonne occasion de comparer les jambes de la « majestueuse enfant » avec « deux sorcières qui font / Tourner

jeune homme d'en face, revient à trois reprises, pour s'envoler définitivement un beau jour dans tous les bastringues de Montmartre et des Batignolles [93]. A dix-huit agis, c'est une de ces galopines de Paris qui gardent longtemps la maigreur du fruit vert; on dirait un chien coiffé, elle a une pluie de petits cheveux blonds sur un nez délicat, une grande bouche rieuse dans un museau rose. Ayant la passion des artistes, avec le regret qu'ils ne soient pas assez riches pour se payer des femmes à eux tout