Commentaire La Belle Au Bois Dormant

APOLLINAIRE, ''Alcools'' 1 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Alcools’’ (1913) recueil de poèmes de Guillaume APOLLINAIRE On trouve ici les textes et les commentaires de : ‘’Les colchiques’’ (p.2), ‘’Palais’’ (p.4), ‘’Chantre’’ (p.5), ‘’Crépuscule’’ (p.5), ‘’Annie’’ (p.7), ‘’La maison des morts’ (p.8), ‘’Clotilde’’ (p.13), ‘’Cortège’’ (p.14), ‘’Marizibill’’ (p.16), ‘’Le voyageur’’ (p.17), ‘’Marie’’ (p.20), ‘’La blanche neige’’ (p.21), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’

qu'elle allaitait l'autre sur un long canapé d'Utrecht rouge et râpé, à l'angle du salon, mon père lisait. Moi je jouais à terre à ses pieds avec des morceaux de sureau que le jardinier avait coupés pour moi dans le jardin; je faisais sortir la moelle du bois à l'aide d'une baguette de fusil. J'y creusais des trous à distances égales, j'en refermais aux deux extrémités l'orifice, et j'en taillais ainsi des flûtes que j'allais essayer le lendemain avec mes camarades les enfants du village, et qui résonnaient

rapidement.Je ne connaissais pas grand monde ici. Mis a part Vanessa.Vanessa est la petite amie de mon père. Ils se sont rencontrés il y a deux mois. Mon père a craqué pour Vanessa dès le premier regard. Ils N'ont que 5 ans de différence. Vanessa est très belle , grande , mince, des cheveux noirs intenses et un peu bouclés. Et Surtout de grand yeux noirs en amandes. Elle a un bronzage parfait et des formes généreuses. Elle est toujours bien habillée. Mon père l'a vu le jour où il allait acheter un téléphone

tout fait dans l’ordre, le feu devrait prendre… 10. Devant tout le monde Osez lui dire « je t’aime » en public. Pour sortir avec lui au restaurant, vous promener ou, mieux encore, lors d’une soirée avec ses collègues de travail, faites vous trop belle, sexy à souhait. Lorsque tous les hommes de l’assemblée apprécieront votre présence avec ce petit rien de lubrique dans le fond de l’œil, ne regardez que lui, votre Amour, et dites-lui du regard ou au creux de l’oreille : « pour moi, il n’y en a qu’un :

Tres grande vallee Faataua Féminin Inconnu, on compte sur vous si vous savez Faatia Masculin de Tahu a-fa ati a-fare-aito : Constructeur de la maison des heros. Faatiarau Féminin de Te-arere-fa ati a-rau : La messagere aux divers commentaires. Faatuarai Féminin Inconnu, on compte sur vous si vous savez Faauea Féminin Commander Faimana Féminin Inconnu, on compte sur vous si vous savez Faimano Féminin Revelation Faimere Féminin Fai : revelateur - Mere : douleur

quatre, cinq lignes le fait divers qui pourrait être à l’origine de cette histoire. Vous le présentez tel que vous pourriez le lire dans un journal. - Lecture à voix haute de plusieurs propositions d’élèves, comparaison des productions et commentaires : quelles divergences repère-t-on ? Mise au point sur l’interprétation de la nouvelle. Quel style adopter ? Quel temps choisir ? Quelles informations garder ? • Distribution et analyse de différents faits divers. Repérage des récurrences thématiques

Texte B : Six personnages en quête d’auteur, Luigi Pirandello, 1921. LE SOUFFLEUR, lisant comme précédemment,-« Au lever du rideau, Léon Gala, qui a un bonnet de cuisinier et un tablier, est occupé à battre , avec une petite louche en bois , un œuf dans un bol. Philipe en bas un autre, habillé lui aussi en cuisinier .Guy Venanzi écoute, assis. » LE PREMIER ACTEUR, au Directeur –Excusez- moi :je dois vraiment me mettre un bonnet de cuisinier sur la tête ? LE DIRECTEUR, irrité par cette

Littérature française XX siècle Autour du Roman inachevé : L’explication de texte littéraire au programme Quelques rappels, quelques conseils De l’ « explication » ou du « commentaire », vous en avez déjà fait, et de bien des façons depuis le lycée… Nous ne jouerons pas sur les mots : « explication » ou « commentaire », vous savez depuis longtemps qu’on ne vous demande jamais d’expliquer le sens d’un texte, et qu’on n’attend jamais de vous que vous vous livriez à des jugements esthétiques

allaitait l’autre sur un long canapé d’Utrecht rouge et râpé, à l’angle du salon, mon père lisait. Moi je jouais à terre à ses pieds avec des morceaux de sureau que le jardinier avait coupés pour moi dans le jardin ; je faisais sortir la moelle du bois à l’aide d’une baguette de fusil. J’y creusais des trous à distances égales, j’en refermais aux deux extrémités l’orifice, et j’en taillais ainsi des flûtes que j’allais essayer le lendemain avec mes camarades les enfants du village, et qui résonnaient

délicieuses. Sitôt le jour paru, on s’empresse d’aller revoir les coins aimés du parc, et la fontaine, et le petit lac, et la ferme ; de s’enquérir des chevaux, du bateau, des plantations. On cause avec la fermière, qui vous présente, en souriant, une belle galette toute chaude. On suit le garde-chasse, qui vous raconte les histoires du voisinage tout en faisant sa tournée. Les clochettes des troupeaux vous charment, aussi bien que la chanson monotone du petit pâtre qui a grandi et aspire au grade de