Commentaire L Echange De Paul Claudel

Idée principale 1 : D’une part, dans l’œuvre de Paul Claudel « L’annonce faite à Marie », l’auteur vise à atteindre les spectateurs afin de renforcer leur foi en s’identifiant aux personnages par le biais de la catharsis. Idée secondaire 1a : La catharsis se manifeste à travers le sentiment de jalousie éprouvé par Mara. 1re preuve : « Mara : Vous l’avez toujours préférée! Oh, quand vous parlez de votre Violaine, c’est du sucre. C’est comme une cerise qu’on suce, au moment que l’on va cracher

Association Camille Claudel | Camille CLAUDEL 1864-1943 Fille d'un conservateur des hypothèques, Camille Claudel naît le 8 décembre 1864 à Fères-en-Tardenois, petite cité de l'Aisne. Elle passe son enfance à Villeneuve-sur-Fère, habitant le presbytère que son grand-père, le docteur Athanase Cerveaux, avait acquis. Aînée de quatre ans de Paul Claudel, elle impose à celui-ci, ainsi qu'à leur soeur Louise, sa forte personnalité. D'après Paul, ayant annoncé son désir d'être sculpteur, elle prévoyait

Textes : Alfred De Vigny : "Chatterton" Paul Claudel : "Le Soulier de Satin" Samuel Beckett : "Oh les beaux jours" 12/20 I – Question sur le corpus (4 points) : Quelle est la fonction/quelles sont les fonctions des didascalies dans ces trois textes de théâtre ? Ces trois textes sont trois extraits de théâtre Ponctuation le premier est d'Alfred De Vigny tiré de la pièce Chatterton Ponctuation le second est de Paul Claudel tiré de la pièce Le Soulier de Satin et le dernier de Samuel Beckett

Almuth Gresillon : "La double contrainte : texte et scène dans la genèse théâtrale" Ce n'est qu'au feu de la rampe qu'une œuvre dramatique commence vraiment à vivre. Paul Claudel à Jean-Louis Barrault Je ne pense pas que les metteurs en scène et les acteurs soient plus importants que les poètes, je pense tout le contraire: ce sont les poètes dramatiques qui font avancer le théâtre. Parce qu'ils proposent aux acteurs et aux metteurs en scène [...] des tâches irréalisables. Antoine Vitez

jeu de l'intertextualité, fait souvent référence aux amants mythiques, Rousseau dans La Nouvelle Eloïse, Balzac dans Le Lys dans la vallée. Au XIXème siècle, Joseph Bédier publie une œuvre qui reconstitue toute l'histoire de Tristan et Iseult. Paul Claudel, en 1906, transpose le mythe au théâtre dans Le Partage du Midi. Puis, Cocteau en 1942 avec L'éternel retour. Trois mythes sont apparus en Europe Occidentale : · Tristan et Iseult au XII ème siècle au pays anglo-normand, ·

contre le logos ? 18 2) La valeur de l'opsis 22 II) L'image cinématographique dans la représentation : l'exemple de Piscator 26 1) Piscator et l'utilisation du cinéma 28 2) Piscator et la puissance de la fable 33 III) Claudel : le Mythe total enfin possible ? 40 1) Le visible et l’invisible 41 2) Le rêve de l’œuvre totale 47 Partie 2 : Conquêtes et remises en cause 51 I) Le cinéma à la conquête des « mythes » 55 1) Le cinéma : sus au scénario

qu’il porte dans son esprit -, l’en ayant fait sortir » texte D, au théâtre les comédiens jouent devant les spectateurs ce qu’ils ont dans leur esprit et représentent leur vérité, grâce à la fiction. Commentaire : Vous commenterez le texte de Marivaux (document A) Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est un auteur de pièces de théâtre du XVIIIème siècle. Très inspiré par la commedia dell’arte, il est souvent question dans ses pièces d’amour légères

textes tirés d'oeuvres d'époques et de genres variés : une comédie de Molière, La Critique de l'École des femmes (1663), deux drames de registre et de style différents – Cyrano de Bergerac (1897) d'Edmond Rostand et Le Soulier de satin (1929) de Paul Claudel – et une tragédie de Jean Anouilh, Antigone, jouée pendant la guerre. Dans tous ces textes, les auteurs s'interrogent sur le rôle du public dans la représentation théâtrale. Les personnages des textes A et B sont des spectateurs qui, chez Molière

efficacité. Ce sont ces éléments que l’on peut essayer de définir. » Tout se passe comme si le spectateur surprenait une série de dialogues mais ce langage n’a rien de spontané. C’est un « langage en représentation » même si apparemment les propos échangés ne se distinguent en rien des propos quotidiens. « Si tout au théâtre est langage, une œuvre dramatique est avant tout parole » : le langage dramatique est un langage total : éléments verbaux, gestes, contexte, action, situation, … ont plus d’importance

Chambre ; la République est aux républicains) - l’hymne national devient La Marseillaise, les Chambres rentrent à Paris (Furet : « La Révolution française entre au port ») - début du plan Freycinet (construction de chemins de fer, jusqu’en 1914) - loi Paul Bert : les « hussards noirs » (Charles Péguy) de la République sont formés dans les Ecoles Normales (cf La gloire de mon père, Marcel Pagnol, 1957) 1880 - la République adopte le 14 juillet comme fête nationale (ainsi que le drapeau tricolore)