Commentaire J Avais Beau Essayer De Me Perdre

interrompt le torrent de sornettes lance d'autres tirades propose peut-être d'autres charades mais pour mieux me ramener vers le rivage bourbeux où je ne cesse de me lancer ces reproches à la figure velléitaire velléitaire et me voici encore à ne pas même essayer de me justifier moi-même de tout cela feux mal éteints et feux qui n'ont jamais pris aussi me trouvé-je vingt vaines justifications improbables même si certaines sont justes par ailleurs comme dans le cas du projet de traduire régulièrement et pensais-je

bien les gens qui publient des statuts pas intéressant comme " pt1 jean nez marre 2 la life.." avec les points de suspensions, pour bien avoir l'air triste et qui mettent le dernier mot en anglais. On ne sait pas pourquoi, dans l'espoir d'avoir un commentaire qui dise " mé kesski spasss ? " alors que la personne s'en bat strictement les couilles, et veut juste passer pour quelqu'un de confiance devant de sombres inconnus, et qu'ils répondent " go mp.. " en se la jouant super mystérieux et qu'avec les

la jeune veuve après la disparition de son mari. On retiendra de ce portrait essentiellement le champ lexical mélioratif du raffinement : « joli entresol », « beau jardin », salon « garni d’objets et de meubles exceptionnellement rares et simples, d’un goût pur et sobre ». Le portrait s’achève par l’échec subi par tous les amis qui ont essayé de la séduire. A noter que ce portrait s’achève deux pages plus loin (p.61-62) lorsque le narrateur procède à la description physique de la jeune femme qui souligne

faire d’emblée ressentir l’ambiance qui règne entre les personnages. Le vocabulaire simple et répétitif semble mimer la vie des personnages, une vie simple et répétitive comme nous le verrons par la suite. 3. Un narrateur très présent - Commentaires du premier et du dernier paragraphe : le narrateur émet des réflexions quant aux décisions des personnages. Le pronom indéfini « on » semble désigner tout autant les personnages que l’humanité en général. - prolepse l. 16-17 : Cette phrase qui

interrompt le torrent de sornettes lance d'autres tirades propose peut-être d'autres charades mais pour mieux me ramener vers le rivage bourbeux où je ne cesse de me lancer ces reproches à la figure velléitaire velléitaire et me voici encore à ne pas même essayer de me justifier moi-même de tout cela feux mal éteints et feux qui n'ont jamais pris aussi me trouvé-je vingt vaines justifications improbables même si certaines sont justes par ailleurs comme dans le cas du projet de traduire régulièrement et pensais-je

interrompt le torrent de sornettes lance d'autres tirades propose peut-être d'autres charades mais pour mieux me ramener vers le rivage bourbeux où je ne cesse de me lancer ces reproches à la figure velléitaire velléitaire et me voici encore à ne pas même essayer de me justifier moi-même de tout cela feux mal éteints et feux qui n'ont jamais pris aussi me trouvé-je vingt vaines justifications improbables même si certaines sont justes par ailleurs comme dans le cas du projet de traduire régulièrement et pensais-je

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II – Solitude volontaire A/ l’envie d’être seul Le Parfum, Patrick SÜSKIND. La solitude, Marc Antoine Gérard Sieur DE SAINT AMANT. B/ la solitude acceptée L’étranger, Charles BAUDELAIRE. Les Contemplations, Victor HUGO. COMMENTAIRE SUR « Les Rêveries du Promeneur Solitaire », Jean Jacques ROUSSEAU. Ce texte est un extrait du roman « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques ROUSSEAU. Il traite le thème de la solitude à travers un personnage qui, rejeté par