Commentaire Incipit La Condition Humaine

........................................................................................2 4. Conclusion........................................................................................................................................2 5. Commentaire....................................................................................................................................2 6. Biographie de l'auteur......................................................................................

texte • Comique • Historique • Poétique • Tragique • Épique • Lyrique • Réaliste • Fantastique • Pathétique • Satirique Document conçu à partir des ouvrages suivants : • Françoise Carrier Nayroles, Le commentaire composé, Paris, Hachette, 1993, 190 p., ISBN : 2-01020582-0 • Hélène Sabbah, Le commentaire composé, Paris, Hatier, 1993, 91 p., ISBN : 2-218-5470-1 1. LA MISE EN PAGE La mise en page concerne la disposition du texte, le choix d’une typographie particulière : majuscule, italique. • PROCÉDÉS

reprise en main du discours par le romancier à des fins morales, pour accentuer les contrastes et montrer l’isolement du personnage. Au travers de l’introspection de Thérèse, nous pouvons discerner l’évocation de trois pistes principales : une condition féminine blessée dans sa sexualité, la révolte contre une société provinciale étouffante et l’expression d’une « libération » de la femme. Ce cheminement dans le labyrinthe de la conscience s’effectue plus ou moins facilement, tant la jeune femme

phantasmes ? La part de provocation n’est sans doute pas à négliger non plus, Jarry s’inscrivant certainement en faux contre les représentations (plus) traditionnellement enjolivées de l’auteur. LE DÉNOUEMENT 10. La dernière scène fait l’objet d’un commentaire composé. Nous y renvoyons donc pour son étude détaillée (texte 23 p. 118) et ne proposons ici que des éléments de réponse. La scène finale reprend un certain nombre de conventions habituelles : c’est tout le camp du Père Ubu qui est présent sur

de l’artiste de deux dangers : la peur du monde des salons, et la peur de la femme d’un type nouveau, apparue en cette fin de siècle. L’incipit : intéresser et informer Le pacte de lecture : réalisme et histoire de cœur Le dialogue révèle un incipit in « medias res ». Travailler sur les sens de la dénotation et de la connotation : mondanité et réalisme qui se dégagent des expressions telles que « le célèbre auteur », « le jeune et illustre. Maître », « une des femmes les plus intéressantes du

 La déréliction Le topos de la femme abandonnée est présent dès le début de la littérature latine. Pourquoi ? Raisons sociales et politiques du fait de l’éternelle minorité de la femme ? Raisons religieuses ? Raisons humaines, la femme pouvant être un obstacle à la conquête du héros. L’abandon des femmes est le mieux raconté par des hommes, jamais de retrouvailles Avant de comprendre ce qui fonde dans la poésie antique l’esthétique de la lamentation amoureuse il faut d’abord voir ce qui crée

échapperainsi aux griffes de la censure. Derrière les monde utopiques imaginésse cachent en effet souvent une critique virulente du mondecontemporain.• Une fonction morale : l’apologue propose le plus souvent unemorale, qui prend la forme d’un commentaire explicatif dans laparabole ou le conte philosophique, une moralité explicite ou implicitedans les fables. Cette fonction morale se veut moins prescriptive quepréventive : la morale de l’apologue est davantage une mise en garde,une incitation à la

de l’Ingénu ; le passé simple, renvoie au contraire aux actions rapides et brèves et met en relief l’arrivée de l’Ingénu : « Comme ils s’attendrissaient l’un et l’autre à ce souvenir, ils virent entrer dans la baie de Rance… » (p. 12). 2 Cet incipit mêle réalisme et merveilleux. Relevez les passages qui en témoignent. Le réalisme apparaît à travers des indications géographiques précises (« Irlande », « Notre-Dame de la Montagne »), ou encore à travers les activités des personnages : les Kerkabon

s'opposent la croyance et la réalité, la révolte, les pensées enfouies et la nuit estivale mais aussi deux subjectivités : celle du condamné et la condition humaine. Annonce des axes Deux axes de lecture constitueront notre étude, le premier : La révolte de Meursault et le second, le regard de Meursault « l'homme absurde » sur la vie. Commentaire I. La révolte de Meursault     Meursault a toujours fait preuve d'impassibilité, là, dès le premier paragraphe, la colère l'a envahit sans qu'il

1830) • Même extérieur à l’histoire, le narrateur peut intervenir dans le récit : - par des commentaires à la première personne : ce sont des intrusions d’auteur : Les habits rouges ! les habits rouges ! criaient avec joie les hussards de l’escorte, et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque tous les cadavres étaient vêtus de rouge .[…] Notre héros, fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge