Commentaire Incipit Colline

l’occasion de voir, était veuve depuis longtemps ; à peine connaissais-je ses enfants, beaucoup plus âgés que moi et de nature très différente. La « maison Plantier », comme on disait au Havre, n’était pas dans la ville même, mais à mi-hauteur de cette colline qui domine la ville et qu’on appelle « la Côte ». Les Bucolin habitaient près du quartier des affaires ; un raidillon menait assez rapidement de l’une à l’autre maison ; je le dégringolais et le regravissait plusieurs 18 fois par jour. Ce jour-là

du récit, chargées de traduire la complexité du réel. Ensuite, l’hétérogénéité et la multiplicité du matériau romanesque qui intervient dans la cohérence et l’unité des textes, réduisant ainsi la part de l’intrigue au profit d’interrogations, de commentaires, d’analyses et d’autres formes du discours. Enfin, une remise en question de l’autorité narrative : la structure énonciative devenant de plus en plus complexe, le lecteur est mis face à une diffraction de la voix du texte. Comme le souligne V.

le type… » ou « Mais non, ce n’est pas comme ça qu’il a tué l’Indien ! » Après les films du Far-West, c’étaient les films de guerre qu’ils préféraient. » (242) 25 Si l’on considère donc leurs affiches de prédilection, de même que leurs commentaires passionnés sur les meurtres d’Indiens et de soldats ou encore ceux sur le Far-West, il est évident que les jeunes de Dakar, de Thiès et de Bamako ne montrent pas seulement dans Les Bouts de bois de Dieu à quels types de films ils ont droit au

Inezlane. Roman. 304 p. 1998 Casablanca, Le Fennec, LAAKROUCHI, Rachida. Maroc Minorité: Emigrée (France) Minorité: Emigrée La Genèse de Victor. Roman. 110 p. 1998 Hors-Limite, Toulouse, ISBN 2-913367-00-3 LALLAOUI, Mehdi. Algérie La Colline aux oliviers. Roman. 236 p. 1998 SEDAG, 5, rue de Pontoise, 75005 Paris. Paris, ISBN 2-86227-163-2 NACCACHE, Jean-Yves. Tunisie Minorité: Emigrée Minorité: Emigrée Minorité: Minorité: Emigrée Emigrée Le 18° Chameau. Roman. 191 p. 1998 Alfil

narration en prenant appui sur les indications temporelles – à qui et quand raconte-t-elle son histoire ? – et de comprendre ainsi le choix narratif de l’auteur: une narration à la première personne, un récit linéaire ponctué de dialogues et de commentaires insérés dans des bulles qui, par moments, envahissent les illustrations à la manière de la bande dessinée. MOUNIER FABIENNE – HÉNON DANIEL petit * Histoire du p. – 10 €tabouret L’école des loisirs – 32 Difficulté de lecture : niveau 1 Le

va ravager comme des anémones à sec, et tout ce qui, d'être soudain laissé à son vacant tête-à-tête avec la mer, faute de frivolités trop rassurante, va reprendre invinciblement son rang plus relevé de fantôme en plein jour (6). 55 Cet incipit d'Un beau ténébreux est la lisière qui sépare l'œuvre et les rumeurs du monde. Il met en scène un retirement, où le narrateur laisse parler à travers lui la voix morte et vivante de la Littérature, "fantôme en plein jour". La mer et la foule des touristes

l'agneau sacrifié pour les hommes et la vie ; une Apocalypse apparaît en filigrane dans "Terreur future" ; "Le Sabot" montre la lutte des anges contre le démon, Satan lui-même est un acteur de ce conte. Monique Jutrin rapportant les paroles et commentaires de Gide[71], précise : "... les Juifs instruits mettant un point d'honneur à ne jamais avoir lu la Bible – ce qui n'était nullement le cas de Schwob !" Ainsi Schwob est un auteur de son temps qui s'exprime à travers les textes du passé, peut-être

Numéro: 1049 , 21-27 nov. 1985 MOUFFOK, Ghania. p. 32. A la recherche de l'aïeule. Commentaire sur 'L'amour la fantasia'. Numéro: 1119 , 26 mars-1er avr. 1987 M.C. p. 38. A l'ombre des jeunes filles en pleurs. Article critique. Présentation roman Assia Djebar : Ombre Sultane, Ed. Lattès, Paris 1987. 28 mai-3 juin Numéro: 1128 , ABABSA, L. p. 8. 'La zerda' de Assia Djebar. Commentaire. Présentation de la 'Zerda' par l'auteur et le critique Ahmed Bedjaoui. 1987 Numéro:

psychopathologie littéraire, selon les vœux de N. Rand et de M. Torok, qui nous donne les moyens d’explorer les états de dépersonnalisation : « Notre intervention esquisse à la fois une prise de position quant à la psychanalyse littéraire et un commentaire du texte. Cette double démarche s’impose à nous vu l’écart que souvent nous apercevons entre la vie des œuvres et les théories analytiques qui cherchent à les interpréter. Il conviendrait à notre sens de renverser les rapports habituels entre psychanalyse

recueil de correspondances d’un jeune soldat des conquêtes coloniales de son embarquement pour l’Afrique jusqu’à son retour. Mais on pourrait reconduire la même analyse de l’espace dans beaucoup d’autres œuvres à travers, par exemple, l’étude des incipits. L’objectif est ici de montrer comment, à partir d’une lecture de l’espace dans le texte, se reconstitue toute un réseau de sens, en deçà du plan, de la trame narrative, en deçà même de la classification en un genre littéraire et discursif. 2.1