Comment Rendre Un Texte Comique

L’illusion comique, Pierre Corneille Mise en scène Frédéric Fisbach En amont du spectacle Enjeux littéraires En montant l’Illusion comique de Corneille, le metteur en scène Frédéric Fisbach manifeste non seulement le désir de faire un geste implicitement politique- proposer en contrepoint au statut problématique des intermittents du spectacle un éloge du théâtre- mais aussi d’une façon plus générale, celui d’ exhumer la réjouissante modernité de ce

en scène et ce faisant il en qualifie la nature proprement théâtrale. Tout cela va théâtraliser l'ensemble et donner l'impression que Cyrano joue une pièce dans la pièce. Au théâtre on joue ce que l'on a appris. Or Cyrano est l'auteur de son propre texte. Il parle à la place du Vicomte, joue ce rôle en prenant sa place momentanément et en le ridiculisant : bègue et stupide, incapable d'articuler un discours cohérent (multiplication d'aposiopèses). Il joue le rôle que le Vicomte aurait dû jouer, qui

trouve dans l’impossibilité de ses situations et à sa grande part d’imaginaire ? Dans un premier lieu, nous discuterons du fait qu’il est impossible pour le théâtre de représenter fidèlement le monde. Puis, dans un second lieu, nous expliquerons comment, finalement, le théâtre arrive à montrer avec réalisme la vie et la société. ▬▬ Le Théâtre est avant tout un Art. Et par définition, l’art est un espace de création totalement libre. Les pièces de théâtre sont vues et lues par des gens de tous

direct avec Dieu. Il s’agit donc de croire en un « Dieu de tous les êtres, de tous les mondes, de tous les temps ». «  De l’esclavage des nègres » De l’Esprit des Lois  de Montesquieu Montesquieu dénonce l’esclavage. Le caractère argumentatif du texte est énoncé dès l’entrée en matière, qui souligne une situation hypothétique. L’ironie jour donc un rôle essentiel. - « si » : l’idée de condition est évoquée, renforcée par « je dirais ». Peut avoir une valeur de potentiel ou d’irréel dans le présent

premier acte et sont étonnés de se plaire. Maintenant, c'est au tour des valets de se trouver seuls. On sait à partir de I, 1 que Arlequin éprouve une attirance pour Lisette (récit de Lisette) on s'attend donc à une scène galante. Problématique : Comment cette scène fait écho de façon burlesque au badinage amoureux de Silvia et Dorante ? Ia symétrie avec la tête à tête galant de Silvia et Dorante : 1-L'opposition entre l'homme qui courtise et la femme qui modère : Comme entre Silvia et Dorante, la

et une tragédie, et on se posera la question du genre des textes C et D. Le texte de Tardieu doit facilement être identifié comme une comédie. On pourra parler de comédie héroïque à propos de Cyrano, sans définir encore précisément le terme (( séquence 2 Mme Baumert) - sujet des textes : il s’agit systématiquement de scènes d’aveu. Question à se poser avant une analyse plus précise : qui avoue quoi à qui ? - texte A : Phèdre avoue à Œnone, sa confidente, la cause de son désespoir, l’inavouable :

INITIATION A LA LECTURE ANALYTIQUE Quelles questions poser au texte ? |LECTURE DU TEXTE ET DU PARATEXTE |Texte difficile – texte explicatif ? argumentatif ? Qu’est-ce que le jugement pour | | |Montaigne ? | |Premières impressions ? Premières |Impression de tâtonnement. N’est sûr de rien. Va à droite, à gauche. | |hypothèses ?

Spleen, poème angoissant et mélancolique, parle d’une des périodes la plus sombre de la vie du poète (dépression), associe la beauté de son style d’écriture à la mélancolie Projet de lecture : comment Baudelaire transforme la boue de sa dépression en or poétique ? Plan du texte :· 1er mouv : montée de la crise (strophe 1 à 3)· 2ème mouv : éclatement de la crise (strophe 4)· 3ème mouv : victoire de la folie (strophe 5)Étude linéaire :1.· 3 1ère strophes = description Spleen = état

triomphe ; et je voudrais, Monsieur, que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonné de tous les médecins, désespéré, à l'agonie, pour vous montrer l'excellence de mes remèdes, et l'envie que j'aurais de vous rendre service. Argan - Je vous suis obligé, Monsieur, des bontés que vous avez pour moi. Toinette - Donnez−moi votre pouls. Allons donc, que l'on batte comme il faut. Ahy, je vous ferai bien aller comme vous devez. Hoy, ce pouls−là fait l'impertinent :

tousjours fraisches ? » ou encore son ignorance notable ainsi que son manque caractérisé de piété dans sa religion. Mais malgré cela il présente deux qualités qui en font un compagnon idéal pour Gargantua, ainsi son courage immense est la première. Comment ne pas appeler courageuse son action mener lorsqu’il défendit l’abbaye où il vivait ? Ou à lui seul il tua non moins de 13000 soldats ennemis. Cette action, toute démesurée qu’elle soit, est supplantée par son qualité, Frère Jean ne fait jamais preuve