Comment La Poésie Peut Elle Exprimer Les Sentiments Intimes Du Moi Face Au Monde

et Horace, lut Chateaubriand et éprouva une grande ferveur religieuse. Au sortir du collège, marqué par la Révolution, ne voulant pas servir «l’usurpateur», il mena à Milly la vie d’un aristocrate oisif, consacrée à la rêverie, à la lecture, à la poésie chrétienne (1808-1811). Pour dissiper son ennui, il entreprit avec son ami Aymon de Virieu un voyage en Italie (1811-1812) où il noua une charmante idylle avec une jeune Napolitaine dont il allait faire l’héroïne de “Graziella”. L’Empire s’écroulant

individuelle), dès qu’on raconte un « moi » public, nous sommes dans le genre des « mémoires » (= un « moi » qui se met en scène dans la vie publique. Une autobiographie est forcément écrite par une personne réelle. Le lyrisme : expression d’un « je » intime, exprimant ses émotions et pensées personnelles, expression d’une subjectivité et écriture sur des thèmes existentiels. Sujet : En quoi pouvons-nous considérer que l’œuvre poétique des Contemplations de Victor Hugo est bien l’expression d’un

signification éternelle. L’art doit acquérir une beauté et non une perfection. C’est dans cette perspective que l’on devrait lire la poésie de Verlaine car son écriture est moins expression que création. Ainsi, on peut dire que la poésie et l’art ne peuvent pas être des outils, leur beauté est en eux. Théophile Gautier affirme qu’ « il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid.»1. Cette citation traduit la devise des parnassiens :"l’Art pour l’Art ". Verlaine

style à son caractère et à sa vie. Chacun se tire de cette tâche comme il peut : il n'y a pas de règles générales et universelles pour devenir soi-même. L'inégalité natu- relle des individus est une des croyances profondes de Nietzsche : chacun doit se créer lui-même sa vérité et sa morale ; ce qui est bon ou mauvais, utile ou nuisible pour l'un ne l'est pas nécessairement pour l'autre. Tout ce que peut faire le penseur, c'est donc, en définitive, de con- ter l'histoire de son àme

aborder la littérature française du19ème siècle dans son ensemble, nous l’avons choisie car il est reconnu par « le siècle des Lumières » c’est pour cela nous sommes intéressés à ce siècle. L’histoire de la littérature française du 19ème siècle peut se diviser en trois périodes ou bien trois grands courants littéraires : romantisme, réalisme et symbolisme. Nous avons des grands auteurs qui ont réussit à s’installer comme des auteurs professionnels dans la littérature française comme : Balzac

mais aussi une proximité spatiale. 2. Le registre lyrique Le poème a un lexique affectif important : « chère indolente »... qui montre une intensité amoureuse. Emerveillement du poète, qui est renforcé par des intensifs : « si beau ». Les sentiments sont exprimés à travers une ponctuation expressive, les strophes 1 et 9 se terminent par des points d'exclamation. Le lyrisme est très clair, c'est une véritable déclaration amoureuse. B. L'éloge du corps aimé 1. L'importance du champ lexical du corps

compte la nature particulière de la communication littéraire (Jakobson). Ds cette perspective, la spécificité linguistique de la litté par rapport aux autres arts est de constituer un signifiant second (Barthes). "Œuvre seconde", le discours littéraire peut ainsi dénoncer les représentations idéologiques que véhiculent le langage ordinaire (Macherey). Mettant l'accent sur "l'interaction fondamentale pour tte œuvre littéraire entre sa structure et son destinataire", la théorie de la réception présente

elle saura ; un jour où elle saura le monde métaphysique et moral, comme elle sait déjà le monde physique ; un jour où le gouvernement de l'humanité ne sera plus livré au hasard et à l'intrigue, mais à la discussion rationnelle [p. 152] du meilleur et des moyens les plus efficaces de l'atteindre. Si tel est le but de la science, si elle a pour objet d'enseigner à l'homme sa fin et sa loi, de lui faire saisir le vrai sens de la vie, de composer, avec l'art, la poésie et la vertu, le divin idéal qui seul

d’incompréhension. 2. Communiquer c’est transmettre une information. Lorsqu’on pense une information on communique. Pour communiquer il faut forcément un récepteur. Les journalistes communiquent bien car ils transmettent des informations. Cependant on peut très bien communiquer sans donner la moindre information, car c’est d’abord la relation. La communication est beaucoup plus vaste, large. Transmettre n’est qu’un élément de la communication. 3. S’exprimer correctement est dur dans la communication

mouvementée de l’auteure car Zilia — comme Mme de Graffigny — se trouve seule et égarée à Paris où elle a du mal à se faire une identité dans cette société immergée dans la vie mondaine. La femme prota- goniste recourt aux lettres pour exprimer ses opinions sur le monde qui l’entoure et, de plus, pour exposer un archétype de femme. L’héroïne évolue du modèle de femme soumise vers un autre type de femme émancipée (Mallinson 2002 : 3). La lettre devient pour les écrivains un substitut de la conversation