Comment La Littérature Met Elle En Doute Nos Certitudes

(entretien), Robert Solé, Michel Contat, etc. Inspirée de la presse, la mise en pages met en valeur l’information et facilite la mémorisation des points importants. Sélectionnés pour leur pertinence par rapport à un thème précis du programme, les articles sont accompagnés : • de fiches de cours claires et synthétiques, assorties des mots clés et repères essentiels à retenir ; • de sujets de bac analysés et commentés pas à pas pour une meilleure compréhension. Sans oublier la méthodologie des épreuves

trop effacé pour que la famille pense à lui déléguer, comme elle le fait si souvent aujourd’hui, sa responsabilité en matière d’éducation. Si quelqu’un, en dehors des parents, reçoit cette mission, c’est plutôt le pédagogue : un simple esclave sans doute mais qui, du moins, appartient à la maison et qui, par le contact quotidien, l’exemple si possible, en tous cas par les préceptes et une surveillance vigilante, contribue à l’éducation et surtout à l’éducation morale, infiniment plus que les leçons

c'est-à-dire ceux qui ont des préjugés (l.4 : Il semble que … à l.7 : en toutes choses). Répétition de « parfait »  sentiment de supériorité de tout groupe, de toute société (ici les européens) à l’égard de ceux qui sont différents. Montaigne met en relief des comportements très répandus, il essaye de combattre les préjugés. Montaigne s’appuie sur une analyse lexicale en particulier celle des mots « barbares » et « sauvages ». La thèse que veut démontrer Montaigne est qualifié de barbares

l’Europe humaniste. Le succès de l’œuvre de More a continué, avec, en France en particulier, cinq rééditions de 1643 à 1780. De nombreuses éditions et rééditions, nouvelles traductions se sont succédé, faisant ainsi de l’Utopia un monument de la littérature politique. Thomas More, pourtant, n’est pas précisément ce qu’on appelle un fantaisiste : il est né en 1478 dans une famille de petite noblesse, issue de la bourgeoisie. A vingt ans, il est juriste, puis magistrat, après des études à l’université

questions Identifier les sentiments et en évaluer l’intensité La valence émotionnelle La gamme émotionnelle Le senti-mètre Exprimer de façon neutre les faits objectifs Qu’est-ce qu’une observation objective ?Au royaume des interprétations Mettre en doute la certitude des interprétations Du point de vue unique à la pluralité de points de vue Attention aux « parce que » Aller au-delà de l’évidence Les infidélités de la mémoire Les erreurs de raisonnement L’épreuve de réalité Des cas particuliers METTRE EN

journalistiques de 1881 et 18834 . « Adieu mystères », au titre significa- tif, évoque la disparition du merveilleux en raison de la transformation des mentalités, conséquence du progrès scientifique. L’auteur, qui s’est peu ex- primé sur la théorie de la littérature, poursuit sa réflexion dans « Le Fantasti- que », où il écrit que « le surnaturel est sorti de nos âmes». En effet, les lec- teurs étant moins superstitieux et plus rationnels, l’auteur de récits fantasti- ques se doit désormais de créer « des effets

n’est aucunement nécessaire à sa subsistance : elle se définit donc en face du réel par une contingence radicale, qui appelle une riposte, raison d’être de la création artistique. Voilà ce que Sartre nous dit, dans cet extrait de Qu’est que la littérature ? Le texte se laisse analyser en trois moments successifs, qui se trouvent correspondre aux trois paragraphes. Dans le premier paragraphe, Sartre souligne le rôle constituant de la conscience humaine dans la mise en forme du monde, puis, dans

Cet article analyse en détail et de façon critique la relation entre le territoire et l’innovation en montrant sa complexité. Celle-ci est en effet fondée sur une hypothèse implicite dont la réalité ne peut être mise en doute mais dont la portée peut être relativisée notamment à l’aide du concept de proximité. Cette mise au point effectuée, il s’avère alors possible, selon les auteurs, de proposer un cadre général à la relation innovation/territoire en intégrant notamment le concept de projet. THOMAS

divinité nocturne, ou du prince des ténèbres), et d’en 14 unifier les manifestations, elle ne permet pas vraiment d’en comprendre le mystère. Comment le mal, substance toujours séparée du bien, corrompt-il l’individu ? Si le mal est le « tout autre du bien », s’il est irréductible à lui, est-il vraiment dangereux ? S’il est transcendant, extérieur à moi, comment peut-il me corrompre de l’intérieur ? Il apparaît comme une existence objective, et à partir de là, jusqu’à la fin des temps, il ne sert à

démonstration est-elle une démonstration? b) Mais comment démontrer le point de départ de la démonstration de la démonstration et ainsi à l'infini? 2) S'il faut alors reconnaître que tout n'est pas démontrable, a) quel statut accorder à ce qui échappe à la démonstration (c'est-à-dire aussi bien le point de départ de la démonstration que ce qui échappe à la vérification expérimentale): est-ce de la simple croyance, sans valeur et sans justification? b) Comment une justification rationnelle qui ne soit pas