Comices tributes

forme des colonies. Cette cité est une communauté de citoyens qui sont soumis à des lois. Elle doit être indépendante et doit avoir une autonomie (celui qui fait ses propres lois). Elle est maitresse de son régime politique. La cité doit payer un tribut (impôt) en signe de dépendance. Les grecs opposent la cité aux empires orientaux. Pour les grecs, il y a les hommes libres et les sujets des rois orientaux qui sont presque comme des esclaves. Le titre de citoyen n’est accordé que de façon très

perd beaucoup de ses pouvoirs. On s’oriente vers une monarchie. Le deuxième roi (Servius Tullius) est à l’origine de deux notions importantes : le cens (le recensement des citoyens) et une assemblée qui regroupe ces citoyens qu’on appelle les comices centuriates. Les citoyens sont recensés en fonction de leurs richesses (ex : la cité n’équipe pas ses soldats, c’est à lui d’acheter ses armes, ses vêtements…). Les plus riches sont les chevaliers, puis les fantassins cuirassés et les plus pauvres

qu'il y a des discriminations). La citoyenneté romaine ne se développe pas comme une démocratie (comme à Athènes) car le pouvoir est entre les mains d'une instance supérieure , le sénat. Pour organiser la répartition des citoyens, ils existent des comices (dont nous avons vu la définition plus bas) mais celle-ci sont très inégalitaires car avantages les personnes les plus riches au vote. La citoyenneté est extensible hors du territoire: la Romanisation. Les premières conquêtes romaines en Italie

exercent le pouvoir au nom du peuple, ils sont d’ailleurs élus dans les assemblées populaires (les comices). Sont élus par les comices centuriates les magistrats supérieurs (censeur: le recensement de tous les citoyens et l'évaluation de leurs fortunes, préteur : organisent des procès, protègent les étranger, consuls dont on verra leurs fonctions dans un instant). Sont élus par les comices tributes les magistrats inférieurs (les édiles : veillent sur l'approvisionnement en blé, organisent les jeux

magistrats, participation aux comices. Le citoyen n’a pas forcément le droit d’être élu, le système romain est censitaire, la participation à la vie politique est lié à des contingences financières. L’égalité était proportionnelle : il dépendait du cens (un niveau de richesse). Les riches qui ont plus de droit on aussi plus de devoir. De plus, les charges de magistrats sont extrêmement coûteuses et le magistrat doit rendre des comptes à la ville. 2 - Les comices : - Les comices centuriates (comitia centuriata)

n’existait pas à Athènes était qu’il y avait plusieurs types de citoyens. Il y avait les citoyens de droits inférieurs, qui eux n’avaient pas de droits politiques. Certains peuples ont le droit de ne pas respecter la loi de l’empire a condition de payer un tribut mais ils ne peuvent pas etre citoyens romains (ex : peuples Juifs en palestine). LES ASSEMBLEES : Au siècle de Périclès à Athenes, l’assemblée des citoyens se nommait l’Ecclésia, c’était une réunion de tous les citoyens. Elle avait lieu du levé

pas se prévaloir d’ancêtre communs. La marge est étroite entre la Plèbe et les clients placés sous la protection de familles patriciennes. Changements de statut dans les deux sens. b) Les prérogatives des assemblées populaires Les comices curiates ont des prérogatives politiques limitées puisqu’elles ne disposaient que d’un rôle consultatif sur des projet soumis par l’autorité royale. Cependant l’assemblée curiates détenait des pouvoirs plus importants en matière juridique, en particulier

la citoyenneté (la guerre sociale) - Les classes censitaires et l’égalité géométrique - La noblesse - L’ordre équestre - Les esclaves et les affranchis - Les institutions romaines : le Sénat, les assemblées du peuple (comices curiates, comices centuriates, comices tributes et concile de la plèbe), les magistratures (questure, édilité, préture, consulat, censure, dictature, tribunat de la plèbe) - Les réformes gracchiennes : Tibérius Gracchus (la réforme agraire et les autres tentatives de réformes)

qui entérine les décisions que les nobles ont pris (ex convoquer à l’armée) Il y a 3 assemblées (3 façons différentes de réunir le peuple) appelée les comices (= réunion) : - comices curiates - convoquées pour les testaments - recrutées pour investir les consuls et les préteurs de l’imperium - ses membres sont les licteurs - comices tributes - peuple réuni en tribus selon les circonscriptions géographiques du territoire de Rome - chargées d’élire les magistrats inférieurs (ce n’est pas un

politiquement mineures et exclues de la plupart des droits. Pour autant, c'est un abus de langage et un anachronisme de dire que les femmes libres romaines ne sont pas citoyennes, même si elles ne portent jamais les Tria Nomina, ne participent pas aux comices ni ne peuvent exercer la moindre magistrature, ce qui d'un point de vue contemporain n'en fait pas des membres du corps civique : on relève en effet des inscriptions évoquant la collation du droit de cité par l'empereur à des anciens soldats en même