Clytemnestre D Eschyle

Antigone, Sophocle Sophocle naquit vers les dernières années du Ve siècle avant JC à Colone près d’Athènes. Il est un des trois grands tragiques grecs dont l’œuvre nous est partiellement parvenue, avec Eschyle et Euripide. On sait qu’il est l’auteur d’environ 122 pièces, mais seulement sept nous sont parvenues : Ajax, Œdipe Roi, Electre, Les Trachiniennes, Philoctète, Œdipe à Colone et Antigone. Il emporta le nombre le plus élevé de victoires aux concours tragiques des Dionysies

sans relâche (à l'image du remord et de la culpabilité qui peuvent obnubiler un esprit suite à une faute). C'est donc à travers ce portrait que nous pouvons les retrouver dans l'Illiade d'Homère, la Théogonie d'Hésiode, ou encore chez Sophocle et Eschyle qui va jusqu'à leur consacrer une tragédie éponyme dans son Orestie. Giraudoux reprend à son tour le mythe des Euménides au XXème siècle en en reprenant quelques éléments. En effet, tout comme le mythe de Sophocle, les Euménides apparaissent au nombre

d’Eshyle, les Pensées sur la justice de Pascal, ainsi que Les Raisins de la colère de Steinbeck. I) Une justice imparfaite Le monde est enclin à l’injustice, le meurtre de casy par le vigile dans les RC et l’assassinat d’Agamemnon pas Egisthe et Clytemnestre, qui s’empare du pouvoir dans les choéphores en sont des exemples. On voit de plus que dans les pensées de pascal le thème de l’extermination de l’homme par un autre homme revient a plusieurs reprises. Pascal l’explique par le fait que l’homme

que l’on appelle « mythes » parce qu’elles relatent des faits imaginaires non consignés dans l’histoire et qu’elles ont une valeur symbolique. Le mythe se prête donc très bien à la réécriture, comme c’est le cas d’Electre, écrit initialement par Eschyle dans la trilogie intitulée L’Orestie, puis repris par Sophocle et Euripide. En 1937, Jean Giraudoux écrit son Electre qui met l’accent sur sa soif insatiable de la vérité et son amour pour son père, mêlant ainsi tragédie et roman policier. En effet

étant arrêtée par l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée «une fille du sang d'Hélène», c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât les noces avant le départ de la flotte. Pris de remords, il voudrait maintenant qu’Arcas aille porter aux deux femmes une lettre leur indiquant que le mariage est repoussé

étant arrêtée par l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée «une fille du sang d'Hélène», c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât les noces avant le départ de la flotte. Pris de remords, il voudrait maintenant qu’Arcas aille porter aux deux femmes une lettre leur indiquant que le mariage est repoussé

l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée « une fille du sang d'Hélène », c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât les noces avant le départ de la flotte. Pris de remords, il voudrait maintenant qu’Arcas aille porter aux deux femmes une lettre leur indiquant que le mariage est repoussé

étant arrêtée par l’absence de vent, les dieux avaient, par la voix du devin Calchas, indiqué que devait être sacrifiée «une fille du sang d'Hélène», c’est-à-dire sa fille, lphigénie, à qui il avait donc demandé de venir avec sa mère, la reine Clytemnestre, en prétextant l'impatience d’Achille, son fiancé, qui voulait qu'on célébrât les noces avant le départ de la flotte. Pris de remords, il voudrait maintenant qu’Arcas aille porter aux deux femmes une lettre leur indiquant que le mariage est repoussé

Playhouse (G.B) ainsi que les Danaïdes d’après Eschyle (coproduction théâtre de Craiova, Festival d’Avignon, Wiener Festwochen, Holland Festival). Nommé par le Ministre Français de la Culture, Silviu Purcarete prend la direction, le 1er janvier 1996, du Théâtre de l’Union-Centre Dramatique National du Limousin et crée en septembre 1997, l’Académie Théâtrale de l’Union, un centre de formation pour jeunes comédiens. À Limoges, il crée L’Orestie d’après Eschyle, Les Trois sœurs d’Anton Tchekhov, Dom Juan

et vous en rende digne. Votre âme et votre corps sont en eux-mêmes indifférents à l’état de batelier ou à celui de duc. » Pascal (Second Discours) : « Aux grandeurs d’établissement, nous […] devons des respects d’établissement. » Eschyle, Les Choéphores : V 123 Le Coryphée : « Aux ennemis, tu peux prier de rendre mal pour mal. » (La Loi du Talion permet d’éviter les dérives des punitions arbitraires, qui tiennent des conflits entre les Dieux ou de leur humeur, et ne lèse pas