Close combat

Ce tableau de Jacques Louis David (1748-1825) est typique du mouvement néo-classique. Il en est même le manifeste. Réalisé en 1787-1785, Le Serment des Horaces est une huile sur toile de 3,30 x 4,25 m. La présentation en frise, comme un bas-relief, est inspiré de l'antiquité. L'architecture est romaine avec des colonnes doriennes. L'ensemble est statique, l'instant est figé, ce qui est caractéristique du néo-classicisme. Il se dégage une sensation de rigueur due à la forte géométrisation

meilleurs guerriers. Albe choisit les frères Curiace et Rome les frères Horaces. Sabine et Camille essaient de dissuader leurs bien-aimés, mais le vieil Horace leurs dit de ne pas écouter les femmes et de servir leur pays. Les hommes sont allés au combat. Julie vient annoncer au vieil Horace que ses deux fils se sont fait tués et qu’Horace s’est enfui. Son père indigné ne veut plus le revoir, ne le veut plus comme fils et ne veut plus en entendre parler. Peu de temps après Valère vient annoncer la

Autrichien d'origine, qui se nommait Adolf HITLER. On était en septembre 1919. Quelques mois plus tôt, en Italie, un instituteur déçu par le socialisme, ayant embrassé la carrière de journaliste, mis sur pied des groupes de combat baptisés " Fascio di Combattimento " ( Faisceaux de combat ), qui se multiplièrent tellement, qu'en 1921, cet homme nommé Benito MUSSOLINI put les réunir en un seul et grand parti : le Parti national fasciste. Dans les deux cas, les frustrations nées des traités de paix devaient

- Impuissance totale des partis politiques italiens. Instabilité politique. Les extrêmes en profitent. · Benito Mussolini, ancien instituteur socialiste, crée le fascisme. Il regroupe tous les mécontents dans des « faisceaux de combat » (1919)qui deviennent bientôt le « Parti national fasciste » (1921). Son programme immédiat : rétablir l’ordre, briser les mouvements révolutionnaires. Ses bandes armées, les squadre, font des expéditions punitives (coups de bâton

la guerre. Lorsqu'il eut parfaitement exercé la jeunesse, il osa provoquer les Albains, peuple redoutable, et qui avait longtemps tenu le premier rang. Mais comme, par l'égalité de leurs forces, les deux nations s'affaiblissaient dans de fréquents combats, on voulut abréger la guerre; trois frères de part et d'autre, les Horaces et les Curiaces, furent chargés des destinées de leur pays. La lutte incertaine, mais glorieuse, eut une issue miraculeuse. D'un côté, en effet, les trois combattants étaient

le choix ? […] -Vos deux frères et vous Tite-Live : Chapitre 24 : « Par hasard, il y avait alors dans les deux armées trois frères, égaux en âge et en force […] A ces trois freres, chacun des rois demande de combattre pour leur patrie » 3) Le combat : deux Horaces sont morts, le seul survivant a pris la fuite. Ce dernier n’avait fui que pour diviser ses adversaires inégalement blessé ; cette action lui a donné la victoire. Corneille : Acte III scène 6 et IV scène 4 Tite-Live : Chapitre 25

conservé au Musée du Louvre. Il représente un grand sujet de l’histoire légendaire de la Rome Antique, où les frères Horaces défendent en combats singuliers la cité de Rome face aux Curiaces champions de la ville d'Albe. Liés par mariage à leurs sœurs respectives, le sacrifice des Horaces et des Curiaces exalte les vertus patriotiques. Le seul survivant du combat fut l'ainé des Horaces, qui à son retour fut maudit par sa sœur Camilla pour la mort de son mari. Les frères Horaces jurent à leur père par

Horaces, choisis par les romains pour défier les Curiaces, qui jurent de vaincre ou mourir et reçoivent de leur père les armes du combat devant leurs épouses et mère. Description de l’œuvre : Elle s’articule autour du chiffre 3 (3 Horaces, 3 épées, 3 femmes) Sur le premier plan nous voyons les trois frères Horaces, très proches les uns des autres ne tenue de combat de l’époque, bras tendus de façon énergie, qui évoquent la force la stabilité (de par leur position stable) et l’unité de leur

Les romans philosophiques : Voltaire Les romans réalistes : MarivauxL’abbé Prévost Romans épistolaires : Restif de la Bretonne Lesage Le roman d’imagination : Mercier Roman fantastiques : Jacques Cazotte Les romans libertins : Crébillon filsDiderot LaclosMarquis de Sade Les romans des sentiments : RousseauBernadin de St Pierre La poésie du 18è : Nicolas GilbertJacques Delille Evariste ParnyAndré Chénier Paysage avec troupeau"de Jean Pillement+"Le chat angora"de

fasciste Le Parti national fasciste (en italien, Partito Nazionale Fascista : PNF) était le parti politique italien qui représentait l'idéologie fasciste. Fondé en novembre 1921 par Mussolini, il trouve ses origines dans les Faisceaux italiens de combat, créés en mars 1919 alors que le Royaume d'Italie est en proie à des troubles économiques et sociaux, liés à la sortie du premier conflit mondial. Entre 1919 et 1921, ces Faisceaux font régner en Italie une agitation dirigée essentiellement contre