Cire

Réalisant des modèles en cire peint au naturel qu'il « accessoirise » ensuite, ces sculptures frappèrent ses contemporains par leur réalisme. Sur les dizaines de modèles conservés de nos jours un seul fut présenté de son vivant, lors de l'exposition impressionniste de 1881 : La Petite Danseuse de quatorze ans. Cette sculpture (dont un tirage en bronze, daté entre 1921 et 1931, est conservé au Musée d'Orsay) représente, en grande taille, une jeune danseuse de 14 ans. À l'origine en cire peinte, elle était

l'idée, pour fuir la Crète, de fabriquer des ailes semblables à celles des oiseaux, confectionnées avec de la cire et des plumes. Il met en garde son fils, lui interdisant de s'approcher trop près de la mer, à cause de l'humidité, et du soleil, à cause de la chaleur. Mais Icare, grisé par le vol, oublie l'interdit et prenant trop d'altitude, la chaleur fait fondre progressivement la cire. Ses ailes finissent par le trahir et il meurt précipité dans la mer qui porte désormais son nom : la mer Icarienne

faire ressortir l'aspect insolite, parfois fantastique. La sculpture de Him : Maurizio Cattelan : Him (2001) Sculpture en cire de face. Maurizio Cattelan: Him Travaux antérieur de l'artiste. Présentation de la sculpture : Cette sculpture a était crée par Maurizio Cattelan, nommé 'HIM' qui signifie 'LUI' , elle est aite en résine de polyester, en cire et pigment avec des vrais cheveux et un vrai costume. La dimension de cette statut est (101x41x43cm). En 2001 elle a était exposer

comprendre de quoi il s’agit. Cette œuvre est une installation car elle intègre l’espace de présentation. Actuellement cette œuvre est au Salomon Guggennheim Museum de New-York. -Ses dimensions sont de 101x41x53 cm. Les matières utilisées sont de la cire, des cheveux humains, des vêtements, de la résine, du polyester. -En arrivant dans la pièce : on dirait un enfant, les mains jointes, peut-être en train de prier. Mais en s’approchant, on se rend compte que c’est Hitler, le spectateur passe de la

forte. Entre macabre, comique et absurde, il matérialise en cire la trajectoire d’une balle dans le cerveau. L’artiste montre le vide que laisse la balle c’est-à-dire ce qui normalement après l’impact d’une balle n’est plus là. L’œuvre de Gilles Barbier propose un scénario critique face à une réalité de plus en plus affirmative et médiatiatiquement atténué. Cette sculpture est prise en plongée, constituée de plusieurs matières comme la cire, les pigments et les fibres et de plusieurs couleurs macabres

Toucher gras, peu sensible à l’oxydation. 2 Les lipides simples : les acides gras mono et poly insaturés Les corps gras : agents émollients 3. Les corps gras d’origine végétaleHuiles riche en ester linéaire • L’huile de jojoba : Simmondsia Chinensis, cire liquide contenue dans les graine de jojoba. Ester d’acide gras et d’alcool gras insaturés en C20 ➢ Toucher sec non gras, bon étalement et peu sensible à l’oxydation • L’huile de Limnanthes alba ou Meadowfoam oil ➢ extraite des graines d’une plante

à son fils et à lui-même des ailes faites de cire et de plumes afin de s’enfuir par les airs. Dédale avait averti Icare qu’il ne fallait voler ni trop bas à cause de l’humidité qui aurait pu alourdir les ailes, ni trop haut à cause de la chaleur du soleil. Malheureusement, enivré par la sensation délivrée par ce pouvoir de voler, Icare a désobéit à son père et, en voulant prendre de l’altitude, s’est rapproché du soleil provoquant la fonte de la cire. Ainsi, Icare est mort de sa chute dans la mer

a l'idée, pour fuir la Crète, de fabriquer des ailes semblables à celles des oiseaux, confectionnées avec de la [cire] et des plumes. Il met en garde son fils, lui interdisant de s'approcher trop près de la mer, à cause de l'humidité, et du soleil, à cause de la chaleur. Mais Icare, grisé par le vol, oublie l'interdit et prenant trop d'altitude, il fait fondre progressivement la cire. Ses ailes finissent par le trahir et il meurt précipité dans la mer qui porte désormais son nom : la mer Icarienne

qualités secondes qui sont trop subjectives et l’objectivité définira la réalité. Il y a un passage très célèbre des Méditations métaphysiques où Descartes pose cette question de la réalité du sensible. Descartes prend l'exemple d'un morceau de cire tiré de la ruche. Il en décrit les qualités ainsi : "il n'a pas encore perdu la douceur du miel qu'il contenait, il retient encore l'odeur des fleurs dont il a été recueilli; sa couleur, sa figure, sa forme sont apparentes, il est dur, il est froid

mieux pour obtenir ce qu’on désire. Soit nous y parvenons, soit c’est pour nous impossible et alors, nous n’avons rien à regretter car nous avons fait le maximum. • 4ème maxime. Que faire de sa vie ? Rechercher la vérité. Qu’est ce qu’un morceau de cire ? S’il faut bien agir, il n’en demeure pas moins que rien, d’un point de vue théorique, ne nous assure que le monde existe. A ce moment du doute, il ne reste comme évidence, que l’existence de notre pensée. Et pourtant, nous continuons à saisir